Honte aux otaniens intégristes responsables de cette boucherie. Je ne le dirai jamais assez, nous subissons un odieux lavage de cerveau depuis trente mois. Tout le narratif otanien n’est que mensonge et tromperie pour justifier cette guerre qui ne sert que les intérêts des Américains, lesquels rêvent de dépecer la Russie pour s’emparer de ses immenses richesses géologiques, estimées à plus de 50 000 milliards de dollars, soit plusieurs décennies de PIB russe.
Ceux qui s’imaginent que l’Occident défend le droit international et vole au secours du peuple ukrainien agressé par l’Ours russe sont aussi naïfs que des perdreaux de l’année.
Washington et ses valets ont en réalité décidé de sacrifier le peuple ukrainien, qui est en train de disparaître dans le chaudron du Donbass, à raison de 2 à 3 000 soldats mis hors de combat chaque jour. Un massacre assumé et financé par l’Occident, qui ferme les yeux sur les centaines de millions de l’aide otanienne détournés par le régime corrompu de Kiev.
Tant que Zelensky accepte de sacrifier son armée ou du moins ce qu’il en reste, le « camp du Bien » continue de payer, en se drapant dans le manteau de la vertu. Les tentatives de négociations ont été sciemment torpillées et la paix n’est pas à l’ordre du jour.
L’aide occidentale dépasse largement les 200 milliards de dollars, ce qui commence à faire cher pour une guerre perdue d’avance. Quant au bilan humain, je vais y venir.
Les causes historiques de cette tragédie remontent à 1990, les Anglo-Saxons, “vainqueurs de la guerre froide”, n’ayant jamais accepté que la Fédération de Russie adhère un jour à l’UE et constitue ainsi une puissance économique et militaire colossale, possédant des cerveaux de premier plan et des ressources énergétiques à profusion. Une perspective insupportable pour Washington.
35 ans après la chute du Mur de Berlin, l’Europe est devenue une colonie des États-Unis, qui imposent leur loi dans tous les domaines, militaire, économique, culturel, sans oublier leurs délires sociétaux qui détruisent peu à peu la civilisation occidentale.
Un bilan humain apocalyptique soigneusement occulté par les médias.
Voici les chiffres que donne l’historien Marc Legrand concernant les pertes des deux camps au 24 août 2024. Ils sont issus de sources croisées confidentielles tout à fait fiables.
Pertes totales depuis le 24 février 2022
“Estimations des pertes militaires (24/08) – RUSSIE : 44 700 tués, 115 300 blessés (dont graves : 15 %) ; UKRAINE : 585 000 tués, 620 000 blessés (dont graves : 67 %) + 6 400 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US.”
On notera que le taux de blessés graves est beaucoup plus faible côté russe que côté ukrainien. Ceci est dû aux moyens sanitaires conséquents et à la rapidité d’intervention des secours côté russe. Beaucoup de blessés ukrainiens ne sont pas secourus à temps.
Au total, ce sont donc 1,2 million de soldats ukrainiens qui ont été mis hors de combat.
Bilan secteur de Koursk depuis le 6 août :
“L’armée ukrainienne a perdu 2 700 tués et 3 350 blessés, depuis le 6 août, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… ainsi que 70 chars, 476 véhicules blindés, 186 véhicules et 58 pièces d’artillerie.”
Bilan des dernières 24 heures sur l’ensemble du front (au 27.08.2024) :
“Ce lundi, Kiev a perdu 1 210 KIA (tués au combat) et 1 430 WIA (blessés au combat).”
On imagine le nombre ahurissant de veuves et d’orphelins qui paient le prix fort de cet odieux acharnement otanien.
Aucun média ne vous dira la vérité, à savoir que Poutine n’avait qu’une exigence : faire respecter les accords de Minsk pour protéger les populations russes du Donbass et éviter la guerre. Mais les faucons du Pentagone lui ont ri au nez en promettant la victoire aux Ukrainiens.
Ces crétins de va-t-en-guerre n’ont oublié qu’un détail : pendant que l’Occident récoltait les dividendes de la paix depuis 1990, Poutine reconstruisait son armée depuis l’an 2000, pour en faire un outil de combat inégalé. Dans la course aux armements du futur, les Russes sont largement en tête.
Citez moi un seul pays autre que la Russie, capable de résister à une cinquantaine de nations qui lui font la guerre et tentent de torpiller son économie par tous les moyens. Je n’en connais aucun.
L’Otan finira vaincue et humiliée, une fois de plus. Il est grand temps de stopper l’hécatombe. Et la France de Macron ne sortira pas grandie de cette tragédie.
Jacques Guillemain
Source : Riposte Laïque via Strategika
Non, la vraie raison n’est pas économique, il s’agit d’une logique de puissance:
il s’agit d’éliminer la Russie en tant que compétiteur mondial.
Les Judéo-Protestants ont éliminé la France en 1815 à Waterloo, l’Allemagne en 1945 à Nuremberg, maintenant, c’est le tour de la Russie, puis, ce se sera la Chine.
Enfin, les Judéo-Protestants se battront entre eux pour savoir qui avait raison.
Les deux sont intimement liés! Balckrock est en train de piller les terres agricoles et toutes les richesses de l’Ukraine! Ils veulent faire pareil avec la Russie comme ils pillent avec la complicité de nos politiques et le premier d’entre eux en tête toute notre économie!
Là aussi, d’autant plus que vous êtes passionné d’histoire, il faudrait faire peut-être un peu d’histoire comme pour votre précédent article sur l’entourage du Kaiser.
Entrevoir une volonté « judéo-protestante » plusieurs fois séculaire s’employant à affaiblir et à anéantir l’Europe me parait derechef assez hasardeux et d’un aloi assez douteux. Cette vision simpliste, pour ne pas dire conspi, nous empêche de voir que chaque Etat a ses propres intérêts, sa propre géopolitique, et que malgré cette « guerre judéo-protestante » conduite d’où je ne sais où contre l’Europe depuis des siècles d’après vos affirmations, il y avait tout de même certains Etats « non judéo-protestants » en Europe rêvant de voir la Russie démantelée et soutenant déjà l’Ukraine.
On oublie que l’empire des tzars possédait avant 1918 une forte minorité allemande qui vivait surtout dans les pays baltes. Les Allemands arrivés dans ces contrées avec la Hanse et les chevaliers teutoniques y étaient installés depuis des siècles, leur groupe constituait depuis des siècles les classes supérieures de la Lettonie et de l’Estonie. Le patriciat urbain de Riga et Tallin était d’origine allemande comme la noblesse dans les campagnes. On appelait ces Allemands les « Germano-Baltes » (Deutschbalten), l’idéologue en chef du nazisme Alfred Rosenberg était un de ceux-ci, un écrivain célèbre de l’entre-deux-guerres et de l’après-guerre Werner Bergengruen, mort à Baden Baden d’ailleurs, était d’origine germano-balte également. Beaucoup sont revenus en Allemagne vers 1900 pour fuir la politique de russification des tsars dans les provinces baltes.
Il suffirait de s’enquérir des positions de certains de ces Germano-Baltes pour constater que beaucoup étaient très hostiles à la Russie, ne considérant pas les Russes comme des Européens, voir comme des hommes, mais comme des Tatares hostiles à toute forme de vie libre, culture et encore plus de culture supérieure. Parmi ceux-ci, on peut citer les deux champions de ces positions: l’écrivain et haut-fonctionnaire de l’empire allemand avant 1918 Paul Rohrbach et son compatriote Theodor Schiemann, universitaire et créateur de « l’école d’Europe de l’Est »(osteuropäische Schule). Ils furent tellement influents que Schiemman lia commerce amical avec le Kaiser. Toute la politique de l’empire allemand en guerre avec la Russie en 14-18 eut pour objet le démantèlement de l’empire multiethnique russe avec la création sur sa frontière ouest de plusieurs Etats, ce qu’on a appelé la Randstaatenpolitik, laquelle comprenait le soutien indéfectible au nationalisme ukrainien (il y avait déjà de fortes tendances anti-russes à l’ouest du Dniepr dans l’Ukraine de 14) et le détachement de l’Ukraine de la Russie, politique qui correspondait exactement à ce que proposait Schiemann et son école. On en a d’ailleurs vu les résultats au traité de Brest-Litvosk du 3 mars 1918. Si l’Allemagne avait gagné la guerre en 1918, la Russie existerait peut-être encore aujourd’hui, mais très amoindrie, d’une superficie beaucoup moins importante et dont le territoire se situerait beaucoup plus à l’est.
Sur ce remarquable site « Jeune Nation » et ailleurs, j’ai toujours défendu le principe d’une analyse dénuée de tout sentiment, les intérêts divergents de chaque nation étant seuls à prendre en compte, et toute notion de « bien » ou de « mal » relevant d’une propagande simpliste, s’agissant de politique internationale.
De sorte qu’avant de situer de potentiels alliés ou adversaires, je me suis posé la seule question qui vaille : QUI ?
– QUI colonise culturellement la France, avec la Gay Pride et le wokisme ?
– QUI sponsorise les ONG « no borders », faisant déferler chez nous une immigration massive ?
– QUI est allé, en 2015, jusqu’à faire pression sur nos gouvernements en incarcérant un cadre de notre industrie afin de s’emparer de nos techniques nucléaires, démantelant l’un des fleurons de notre industrie (affaire Alsthom) ?
– QUI, depuis plus de quarante ans, favorise les carrières politiques et médiatiques de ses « young leaders » imposant au peuple français des « élites » échappant au processus démocratique ?
– QUI ? Les Russes ou les Américains ?
Dès lors, la réponse étant évidente, j’ai constaté combien était justifiée l’analyse du Président Mitterrand « Les Français ne le savent pas, mais nous sommes en guerre contre l’Amérique. Une guerre sans morts apparents, MAIS UNE GUERRE A MORT ! »
Et c’est donc une analyse rigoureuse, raisonnée et dépourvue de tout affectif qui m’a amené à constater que la Russie, agressée par l’OTAN sous contrôle US, était notre allié naturel.
Et, qui plus est, un allié remarquablement efficace qui, ne se contentant pas du combat sur le terrain, a frappé notre adversaire au point le plus sensible, celui qui conditionne son leadership mondial : l’hégémonie du dollar, remise en cause par les « BRICS », ce qui ne manque pas d’inquiéter Washington.
Cependant, je ne sais pas si cela vous fait le même effet qu’à moi… Mais bien que (très) âgé et peu sensible aux enthousiasmes juvéniles, je constate avec étonnement que je passe d’une analyse jusqu’ici froidement raisonnée à une indignation intensifiée chaque jour davantage par le martyre imposé à cette malheureuse Ukraine qui, ne l’oublions pas, a toujours été un élément ET UN ELEMENT ESSENTIEL de l’Empire des Tsars, le nom même de « Russie » provenant de l’expression « RUSS’ de Kiev » !
Non ! Poutine n’est pas et n’a jamais été un ennemi de ces Russes qu’ont toujours été les Ukrainiens. Lesquels sont dépouillés de leurs terres à blé, les plus riches du monde, par des gestionnaires de fonds US tels que Vanguard, Blackrock, et NCH Capital, ce dernier ne contrôlant pas moins de 290 000 hectares… Ceux-là sont les véritables prédateurs !
Et les marionnettes de l’Otan leurs complices.
Attention aux articles toujours grotesquement caricaturaux des contributeurs du site Riposte Laïque qui est un site exclusivement au service de l’Etat de l’Israel et de ses diasporas.
Si on peut être en accord avec l’analyse que fait cet auteur des causes de cette guerre, les chiffres qu’il donne concernant le nombre respectif des victimes n’est pas crédible. Mais cela reste évidemment un carnage.
Les Etats-Unis sont le premier état voyou de la planète et leur hégémonie malfaisante justifie qu’on les qualifie « d’Empire du Mal ».
Malheureusement, ils sont en train de gagner en Ukraine, non pas que l’Ukraine soit plus forte que la Russie, mais parce que la Russie ne déploie pas la force qu’il aurait fallu et qu’elle va sortir humiliée et déclassée de cette campagne, quand les Etats-Unis siffleront la fin de la partie.
Les Ukrainiens, on s’en fout, ils se sont jetés dans les bras des Etats-Unis, qu’ils assument maintenant ; le problème, le vrai problème, le seul problème, c’est la mondialisation qui va poursuivre son cours, d’autant plus et d’autant mieux que l’occasion qu’avait la Russie d’y mettre un frein a été manquée.
Tsatitsa… Jetés dans les bras des Etats Unis ? Vous oubliez quelques réalités aisément vérifiables :
– Qu’ils ont voté pour un président pro Russe.
– Que, c’est après que le président Ianoukovitch ait refusé une association avec l’Union Européenne que le chef de la CIA en personne s’est déplacé pour organiser contre ce président la révolte de la place de Maïden.
– Que c’est après cet épisode organisé par la CIA que le président élu démocratiquement par les Ukrainiens a dû se réfugier en Russie.
Il semble que Ianoukovitch n’était plus du tout populaire au moment où il a déclaré vouloir tourner le dos à l’UE pour se rapprocher de la Russie, et les Ukrainiens ensuite n’ont pas mal accueilli le guignol que la CIA installait à sa place…
Dès le début des hostilités avec la Russie, on a bien vu que les Ukrainiens détestaient les Russes. Je pense que c’est quelque-chose dont on ne s’était pas bien rendu compte à l’époque de la Guerre Froide, tant le « bloc » soviétique était homogène et hermétique, mais l’irrédentisme ukrainien ne date pas d’hier, et les Russes ne sont pas très bien vus non plus dans maintes républiques musulmanes du Caucase (et pas seulement…). C’est d’ailleurs quelque-chose qui devrait nous donner à réfléchir, car une autre conséquence de l’échec de la Russie contre l’Ukraine que l’on voit se profiler actuellement (malheureusement) pourrait bien être l’amorce d’une implosion de la Fédération de Russie : nombreux seront ceux qui, à la suite de la Tchétchénie, de la Géorgie, voudront s’en détacher. Le Kazhakstan a déjà prévu de ne plus utiliser l’alphabet cyrillique d’ici quelques années… Il y a des signes qui ne trompent pas !
Je souhaite que la suite ne vous donne pas raison… Mais il n’est pas exclu – hélas ! – qu’un funeste destin contrarie mes souhaits concernant la Russie.
Soljenitsyne, dont le père était Moscovite, s’élevait vivement contre tout éclatement de l’ancien Empire des Tsars, et plus particulièrement concernant l’Ukraine, dont sa mère était originaire.
Mais les déportations, les tueries massives et la famine mortifère dite « holodomor » perpétrées par les bolcheviques sont à l’origine d’une terrible rancœur dirigée – à tort et par ignorance ! – contre la Russie.
Rancœur pourtant injustifiée, comme le démontre l’étude magistrale de Soljenitsyne, puisque les Russes furent en réalité autant – et même davantage ! – victimes de cette répression sauvage perpétrée, comme il en apporte la preuve, par les « judéo » bolcheviques.
Lesquels furent des Ashkénazes originaires de ce même Kazakhstan, dont vous parlez par ailleurs…
Je ne pense pas que l’occasion soit manquée.
Vladimir Poutine est un bon jour d’échec, il ne jette jamais d’huile sur le feu, il laisse prendre l’initiative à ses ennemis, il répond modérément aux attaque mais avec une grande lucidité, rappelez vous en février 2023 il a dit nous n’avons encore rien commencé, c’est ce qu’il faut retenir, si l’otanistan se débarrasse à prix d’or de son armement obsolète, il pratique lui aussi la guerre du hachoir avec de vieille machine mais plus nombreuses.
Il va arriver un moment où n’ayant plus d’arme à férailler l’otanistan va essayer la manière forte.
Nous verrons à ce moment qui a une avance technologique sur l’autre, il y aura des millions de morts et l’otanistan ne pourra même pas riposter.