L’indignation est grande chez les Américains après la tentative d’assassinat contre Trump, du moins, dans le camp Républicain. Côté Démocrates et médiats, c’est plutôt une impression de déception silencieuse qui plane, et des appels à la prudence quant aux spéculations.
Mais deux questions restent en suspens :
1 – Comment Thomas Matthew Crookes (encore présenté comme « suspect » dans nos médiats) pouvait-il savoir – ou imaginer – que le toit du bâtiment ne serait pas gardé par la police et que l’accès au bâtiment ne serait pas contrôlé ?
2 – Comment peut-on se promener avec un AR15 en bandoulière dans un rayon de 100 mètres autour de Trump ?
Dans le film « Le Chacal », qui date pourtant de 1973, un anglais payé par l’OAS tente d’assassiner de Gaulle, son fusil est déguisé en béquille, et s’il y a des snipers sur les toits du lieu de l’attentat, c’est pour protéger de Gaulle, pas l’inverse.
I – Incompétence et relâchement
La première idée qui vient, c’est l’incompétence, on trouve à la tête du Secret Service une femme, Kimberly Cheatle, nommée à ce poste par un gauchiste sénile, Joe Biden – en France, il aurait probablement mis Sandrine Rousseau à la tête de la DGSE (qui n’a vraiment pas besoin de ça), c’est à peu près de ce niveau – comme le remarque Elon Musk sur X au vu du CV de cette Cheatle, qui avant d’être au Secret Service était à la tête de la sécurité de PepsiCo :
« Donc si je comprends bien, avant d’être chargée de la sécurité du Président, elle était chargée de surveiller des paquets de chips (des Cheetos, inconnus en France = un peu comme des Curly, des trucs apéritifs au fromage) ! ».
Autrement dit, c’est Cheatle et les Cheetos, une Shit-Tale (une histoire de m…)
II – Incitation politico-médiatique au meurtre contre Donald Trump
L’incompétence, passe encore, après tout, elle pourrait aussi jouer contre Biden (ce que nous ne souhaitons pas), mais le relâchement est inadmissible compte tenu de l’atmosphère que les Démocrates et les médiats américains entretiennent en ce moment autour de Trump, « ce nouvel Hitler », dont Biden nous dit qu’il est temps d’arrêter les parlotes et qu’il faut l’avoir dans « l’œil du taureau », la tentative d’assassinat était prévisible et prévue par Tucker Carlson, immédiatement qualifié de complotiste.
Finalement, la balle aura, heureusement, sifflé du mauvais côté de l’oreille du taureau, mais reste la question : « Dieu a sauvé Trump, et l’Amérique ? » – selon la conclusion de Ria Novosti.
Source : Tweets on the Assassination Attempt – The Occidental Observer
M.àJ. du 17.07.2024 : Sur les manquements du Secret Service dans la protection de Trump
Susan Crabtree (@susancrabtree sur X) est correspondante à la Maison-Blanche de RealClearPolitics et journaliste pour The Hill et pour le Washington Examiner. Elle a de nombreux contacts au sein du Secret Service, qui lui ont fourni les informations suivantes :
1) les ressources du Secret Service avaient été réduites pour Trump le 13 juillet, et détournées au profit de Jill Biden, la femme de Biden, qui tenait au même moment une réunion dans un restaurant italien de Pittsburgh, non loin de la ville de Butler où Trump tenait son meeting de campagne.
2) le Secret Service a “appliqué le protocole” et traité Trump comme un ex-président, sans prendre en compte le fait qu’il est le candidat en tête pour l’élection présidentielle et qu’il est l’homme le plus menacé du monde.
Donc, pour protéger Jill Biden, qui n’est menacée par personne, les meilleurs agents ont été envoyés à l’intérieur du petit restaurant où ne se trouvaient qu’une vingtaine de Démocrates. Mais pour protéger Trump, qui est l’homme le plus menacé du monde, en raison des tombereaux de calomnies et de diabolisations déversés sur lui par les Démocrates depuis 2015, et qui tenait un meeting en plein air (donc bien plus exposé) devant 18 000 personnes, une équipe réduite avait été mise en place.
3) l’équipe qui protège habituellement Trump était au repos, sauf l’agent principal, car ils étaient épuisés, ayant travaillé 7 jours sur 7 sans repos depuis des mois, en raison des refus répétés de Mayorkas (secrétaire américain [ministre] de la Sécurité intérieure) d’augmenter les effectifs du Secret Service protégeant Trump.
4) les agents temporaires assignés le 13 juillet à la protection de Trump avaient été puisés dans divers services, et n’étaient pas habitués à protéger Trump ni à travailler ensemble. La majorité des ressources disponibles dans la région dépendant de Pittsburgh (où se trouve Butler) avaient été attribuées à Jill Biden.
5) une seule équipe de 2 contre-snipers avait été approuvée par le bureau de Pittsburgh, et cela seulement la veille du meeting, ce qui ne laissait pas assez de temps à ces deux agents pour repérer correctement les lieux et mettre en place une sécurité adéquate. Selon une des sources de Crabtree, pour un événement en plein air de cette taille, il faut au moins 3 équipes de 2 contre-snipers pour couvrir les menaces potentielles.
6) depuis que Biden squatte la Maison-Blanche, il a mis en place une politique d’extrême gauche dans tous les services de l’État fédéral, consistant en l’embauche de femmes plutôt que d’hommes, et de personnes de couleur plutôt que de Blancs, politique appelée DEI (Diversity, Equity and Inclusion) qui est en réalité sexiste et raciste. À cause de cette politique, la nouvelle dirigeante du Secret Service, Kimberly Cheatle, nommée en 2022, est l’ancienne directrice de la sécurité de Pepsi Cola… ce qui a conduit Elon Musk à twitter : “Elle s’occupait de garder des canettes de soda, et maintenant elle doit protéger Trump ?”
7) cette directrice a décidé que le Secret Service doit recruter au moins 30 % de femmes, sans se soucier de savoir si une femme est aussi efficace qu’un homme pour les missions de cette agence. Le site du Secret Service déclare que “notre mission est d’embaucher plus de femmes”, et non d’embaucher des personnes compétentes.
8) le résultat, c’est que, sur la vidéo de la tentative d’assassinat de Trump, on voit trois femmes du Secret Service qui tentent de protéger Trump en plus de 4 ou 5 hommes. Comment une femme de 1 m 65 (taille moyenne) peut-elle faire écran avec son corps pour protéger un homme de 1 m 88 comme Trump, alors que c’est l’une des obligations de son métier ? Comment une femme de 55 kg (poids moyen), ou même trois femmes de 55 kg, peuvent-elles porter un homme de 100 kg au pas de course pour l’extraire en cas de besoin, alors que c’est une obligation de leur métier ?
9) à la fin de la vidéo, on voit ces trois femmes devant la voiture blindée dans laquelle Trump est entré : elles ont l’air désorientées, l’une d’elle n’arrive même pas à remettre son arme dans son holster (preuve de manque d’entraînement ou d’incompétence).
Voir :
PS : Dans Le Chacal, le tireur avait prévu un silencieux, ainsi, il pouvait se permettre de tirer une deuxième fois au cas où il aurait raté le premier coup. Le cinéma est parfois plus intelligent que la réalité.
Trump a été sauvé par un miracle de Dieu il sera le prochain président des usa il va arrêter la guerre avec la Russie et détruire l’état satanique profond aux USA les autres diables en Europe vont tomber l’histoire est à un tournant
Non pas « de » Gaulle mais « De Gaulle ». Il n’a rien de noble ce personnage.
A lire & relire : « L’homme qui faisait se battre les Français entre eux – Histoire du Gaullisme » de Roger Holeindre. Impressionnant témoignage d’un Homme inoubliable qu’est Roger <3
Bravo GB !
S’agissant d’attentats contre les chefs d’Etat dont les exemples ne manquent pas, choisir de se référer à un film particulièrement irréaliste est puéril !
Imaginer que les chefs de l’OAS, qui disposaient de commandos, paras, légionnaires, fanatisés et formés au combat, certains dans la résistance contre les Allemands, d’autres dans la brigade SS Charlemagne, puis en Corée, en Indochine et pendant huit ans en Algérie aient recours à un truand tel que ledit « Chacal » pour les débarrasser de De Gaulle est une parfaite sottise.
Des truands voulant jouer à la guerre… la VRAIE ? De Gaulle en a récupéré plus de 300 dans les bas-fonds de la pénitentiaire, qu’il a engagés à Alger contre l’OAS. Celle-ci en a supprimé plus de 200 en quelques semaines, avant que les survivants soient exfiltrés in extrémis !
Quand des bavards n’ayant, comme disait Roger Holleindre « jamais entendu siffler que des balles de tennis » se mêlent d’analyser des attentats, cela donne ce que nous pouvons lire ici : c’est ridicule !
Comme est ridicule l’idée d’une balle tirée pour impressionner Trump. Ce qui aurait pu être discuté, s’agissant d’un projectile passé à 20 centimètres. Mais inenvisageable raisonnablement s’agissant d’un projectile passé à 5 millimètres de la boite crânienne. Un risque que personne n’aurait pris !
Quant aux manquements dans le domaine de la sécurité ? Ils sont simplement à dimension humaine. Je suis bien placé pour savoir que nombre des attentats tentés contre De Gaulle n’ont pas été soupçonnés par sa sécurité rapprochée.
Telle la tentative de Pont-sur-Seine, telle celle du Petit Clamart, telle celle du Mont Faron, telle cette tentative d’un certain Venturini qui avait chargé de poudre l’un des canons en bronze ornant les Invalides… Ce sont au moins six tentatives contre De Gaulle qui n’ont pas été découvertes…
Je l’ai déjà dit. Je le répète : A quoi reconnait-on un analyste à peu près sérieux ? A sa capacité à dire : Je ne sais pas ! Première condition pour aborder sérieusement la recherche d’une vérité…
Non. C’est « de Gaulle » son nom. C’est comme ça.
« GB » a parfaitement raison. Pour bien comprendre l’imposture du nom prétendument à consonance noble « de Gaulle », il faut avoir quelques notions de néerlandais, de linguistique, d’anthroponymie et bien connaître l’histoire médiévale de nos vieilles Flandres. Il est dans l’usage de tous les pays de nationaliser les noms étrangers qui s’enracinent chez eux. On l’a constaté à la Renaissance avec certains patronymes italiens. L’Italie a joué un tel rôle dans l’histoire intellectuelle et politique de l’Europe au XVe et XVIe siècle que nous avons parfois été contraints de rendre plus français certains noms et prénoms italiens, afin de les prononcer et de les entendre plus facilement. Les noms des savants italiens étaient dans tous les traités et dans toutes les conversations en Europe à cette époque, dont en France. Quand un patronyme étranger est souvent prononcé chez des locuteurs autochtones, il finit souvent par perdre son identité phonétique propre et s’adapte aux coutumes articulatoires des peuples qui le prononcent. Ce processus est commun au peuple et aux personnes instruites, lesquels ont dû instinctivement, à force de prononcer aussi souvent de nombreux noms italiens, les franciser. C’est ainsi que « Giovanni Pico della Mirandolla » est devenu Jean Pic de la Mirandole (en français ou du moins en gallo-roman septentrional, les voyelles finales s’amuïssent toujours); Agnelo Poliziano : Ange Politien (nasalisation en fin de mot quand l’occlusive bilabiale nasale sonore est intervocalique); Poggio Bracciolini : Le Pogge; Marcili Ficino : Marsile Ficin, etc. Le grand historien italien de la Renaissance, le Florentin Francesco Guicciardini au XVe siècle est souvent appelé par son nom francisé « François Guichardin », idem pour Paolo Giovio au XVIe siècle souvent appelé « Paul Jove », ce qui peut amener parfois à des confusions fâcheuses, on peut tenir pour des hommes de lettres français des hommes de lettres transalpins. Songeons aussi à Pietro Aretino connu sous le nom français de « Pierre l’Arétin », Ludovicio Ariosto connu sous le nom de « l’Arioste », etc.
Il en fut donc de même pour le super mythomane général Micro De Gaulle et même son épouse calaisienne Yvonne Vendroux. Sa famille descend de paysans néerlandais ayant fui les guerres de Hollande à la fin du XVIIe siècle, dont le nom d’origine est Van Droog, ce qui a donné en picard Vendroux.
Mais il en est aussi de même pour le Lillois de Flandre romane « De Gaulle » et non « de Gaulle ». C’est un patronyme flamand mal francisé procédant de « De Wael » signifiant en roman d’oïl littéralement « Le Gaulois », « le Français » « le Galou », « Legal ». Le « De » est l’article défini épicène néerlandais correspondant à notre article défini « le » ou « la ». « De Gaule » aurait dû faire en roman d’oïl « Legal » ou « Le Gallou ». Wael vient d’une vielle racine germanique désignant les Celtes romanisés : *wal, pensons aux Welche en haut allemand, au Waal en néerlandais, ce qui a donné l’ethnique «Wallon » et le Pays de Galle en Grande Bretagne se dit en anglais Wales. Il est donc de convention en français d’écrire les patronymes d’origine néerlandaise ou flamande avec un d majuscule pour ne pas les confondre avec les particules nobiliaires. De Clerck (Leclerc) ne s’orthographie donc pas de Klerck, De Witt (Leblanc) de Witt, De Kegel (Laboule) de Kegel. Les états civils au XVIIIe et XIXe siècle ne connaissaient pas le néerlandais et ont confondu le « de » néerlandais avec notre préposition, ils n’ont donc pas cherché à traduire le « de » néerlandais. Attention donc aux impostures, le dernier cas est authentique. J’avais quand j’étais au lycée plus jeune chez moi en basse Auvergne à Riom une condisciple qui s’appelait De Kegel, laquelle faisait la bourge ou l’aristo, c’est selon, dans la cour, alors qu’elle portait simplement un patronyme flamand. Tout le monde croyait à ses ascendances historiques lointaines, alors qu’elle descendait vraisemblablement de paysans flamands venus travailler en France au XIXe siècle. On oublie que la France était un pays riche et prospère au XIXe siècle, les Français n’émigraient pas, alors que 6 millions d’Allemands par exemple ont émigré aux Etats-Unis à cette époque (dont les grands-parents paternels de Trump d’ailleurs au début du XXe siècle, originaires de Kallstadt dans le Palatinat non loin de Mannheim, à 70 km au nord de la frontière alsacienne).
Le patronyme général comique et micro s’écrit donc « De Gaule », en roman d’oïl « Legal », nom ethnique signifiant le « celte romanisé » chez les peuples germaniques.
Les Legal proprement dits sont surtout présents en Bretagne, c’est un nom ethnique désignant simplement les Bretons de langue romane (il y a deux Bretagne, la Bretagne celtique ou bretonnante et la Bretagne romane ou française de langue d’oïl, de langue gallo, on n’a jamais parlé un mot de breton à Rennes et à Nantes…, mais on n’y parle depuis des siècles un dialecte de langue d’oïl qu’on appelle le gallo, en face de la bibliothèque municipale à Nantes, il y une association qui donne des cours de langue gallo), ne parlant pas la langue de leurs compatriotes de langue celtique.
Voici ce que vous pourriez lire sur le blog des journalistes du Courrier Picard :
L’arbre agnatique (par les hommes) des De Gaulle remonte, de sources certaines, à Thibault (ou Thiébault) de Gaulle (né autour de 1475, décédé autour de 1518), un vigneron établi à Châlons-en-Champagne (Marne).
Les Degaulle ou de Gaulle vont ensuite être, au fil des générations, laboureurs et vignerons, s’alliant à des familles similaires, telles les Perrin, les Grandjehan, les Bochet…
Jean de Gaulle (né autour de 1609, décédé en 1672), marchand de grains épouse Marie Joannès (1616-1680) en 1636 et fit peu à peu partie de la bourgeoisie chalonnaise.
Les De Gaulle poursuivirent leur ascension sociale avec Antoine Jehanin (1669-1730), marchand, juge consulaire et notable de Châlons. Mais c’est surtout son fils, Jean-Baptiste de Gaulle (1720-1796) qui franchit un pas, en s’installant dans la capitale peu avant son mariage en 1736 où il devint Procureur au Parlement de Paris. Jean-Baptiste Philippe de Gaulle (1756-1832), son fils, sera lui avocat au Parlement de Paris et d directeur des Postes générales des armées, il épouse Anne-Sophie Gaussen (1761-1840), artiste peintre parisienne et miniaturiste réputée.
Le petit « de » que se sont attribués les Degaulle ou De Gaulle lorsqu’ils sont montés sur Paris est bel et bien une manière grotesque de singer l’aristocratie.
Cette notice n’explique en rien l’étymologie du patronyme De Gaulle. Il est fort probable que cet ancêtre originaire de Flandre et des Pays-Bas se soit installé en France au XVe ou XVIe siècle.
J’ai certes un petit QI contrairement à vous, mais j essaie toutefois d’aller au fond des choses.
Et encore Dieu merci, vous n’avez pas recouru à une étymologie complètement fantaisiste à l’instar de certains dingos conspis analphabètes et incultes (mais sans doute HPI) qui font dériver le patronyme De Gaulle d’un mot juif, je ne me rappelle plus lequel. C’est consternant! On va être crédible avec tous ces types…
Ça pouvait me faire rire il y a 20 ans, mais désormais non, car de plus en plus de monde incline à raconter n’importe quoi au-delà de toute morale, de toute rationalité et de toute vraisemblance.
Si j’admets que nous sommes totalement « hors sujet » selon le terme universitaire, je n’irai pas jusqu’à écrire, comme Pierre Olivier que le débat est « sans intérêt ». D’autant que j’ai gardé le souvenir du fou rire des militants flamands du Vlaams Block, avec lesquels j’ai milité dans les années 1960/70, commentant le « de » du pitre de Colombey, sachant qu’en Flandre d’où son nom était issu, ce « De » est toujours majuscule.
Quant à mes appréciations hatives de votre QI, ne répondent-elles pas à votre définition du « conspi imbécile » ?
Son extraction nobiliaire m’importe peu. S’il y a des reproches à lui faire, une telle usurpation ne me viendrait pas à l’esprit en premier lieu. Et puis, il est à l’état civil « Charles de Gaulle » :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Gaulle#/media/Fichier:Acte_de_naissance_de_Charles_de_Gaulle.png
Ainsi donc, selon vous, il serait malvenu de prendre en compte la différence entre une aristocratie ayant acquis et maintenu l’honneur de ses blasons au prix du sang, et au fil des siècles, de génération en génération aux frontières du Royaume…
Et une famille de paysans se hissant au niveau de la bourgeoisie de province puis s’offrant le ridicule de s’attribuer une particule au moment de « monter » à Paris ?
Chacun appréciera… si toutefois vous ne supprimez pas ma réponse comme vous l’avez fait lorsque, sur cette même page, j’ai souligné le ridicule qu’il y avait à se référer aux metteurs en scène du film « Le chacal »… censés avoir plus d’expérience du combat clandestin que les colonels de l’OAS.
Oui, c’est sans intérêt. Charles de Gaulle a été déclaré à l’état civil dès le lendemain de sa naissance alors déjà sans majuscule à la particule. Âgé de 1 jour, le bonhomme y est-il pour quelque chose ? Si l’on peut critiquer de Gaulle, quel intérêt de focaliser sur l’usurpation de la minuscule de la particule par un de ses plus ou moins lointains ancêtres, quelques siècles en arrière ?
Il n’est pas d’extraction nobiliaire, ce débat n’a pas lieu d’être!
Tous les anthroponymistes s’accordent à dire que De Gaulle ne peut qu’être un patronyme d’origine flamande ou néerlandaise, sauf que la linguistique romane a fait des progrès entre-temps. Quant aux dits anthroponymistes, aucun n’est néerlandophone, moi j’y ai vécu, je parle cette langue et j’y ai même traduit un livre.
Il n’y aucun De Gaulle en France! Ce patronyme n’existe pas. C’est une mauvaise francisation du « De Wael » flamand ou du « De Waal » néerlandais. Dauzat pense que De Gaulle procédé de « Van de Walle », c’est impossible au vu de la transposition dans un dialecte d’oïl au XVe ou XVIe siecle. Le van signifie la préposition « de » en néerlandais, le « de » néerlandais l’article défini épicène en français le ou la, ce qui ferait « du rempart » en français. Je doute qu’un officier d’état civil au XVIe siècle ait pu le comprendre. « De Wael » etait beaucoup plus facile à transposer en français, sachant que les w germaniques deviennent toujours « gu » dans toutes les langues romanes sauf en picard et en wallon à cause d’une présence plus importantes de Germains dans la constitution ethnique initiale de ces régions. Par exemple *wastil > gâteau dans les dialectes d’oïl centraux, mais wateau en picard; *woestijn > wastine en picard, gâtine en français central, pensez au Gâtinais avant d’arriver à Paris, ça signifie plaine, désert en vieux français. On a aussi beaucoup de patronyme en De- dans le nord et l’est de la France. Un patronyme comme Degrand par exemple vient obligatoirement de « De Groot ». Les officiers d’état civil ont traduit Groot, mais ont laissé le « De » inchangé au lieu de le transformer en Legrand. Legrand est un sobriquet typiquement français. De Groot est son équivalent néerlandais. Mais dans sa transposition en français, on laisse en principe le De. Il en fut de même pour De Gaulle. On a sû traduire le « Wael » par Gaulle (on aurait pu le traduire par « gal » et on a laissé l’article défini néerlandais. Le tout est de savoir quand les ancêtres flamands ou néerlandais du général mytho et micro sont arrivés en France. Mais au Moyen Âge, les lois phonétiques qui donné naissance au français à partir du latin ne s’appliquaient plus, le français s’est formé du VIe au XIIe siècle. Le « De Wael » doit donc être une traduction d’un officier d’état civil dans la mesure où tous nos patronymes en Europe de l’Ouest se sont formés entre le Xe et le XIIe siècle. Les ancêtres « De Wael » dudit général parjure ont dû arriver en France du nord au XVe ou au XVIe siècle.
Dieu merci, il lui a juste touché l’oreille et il s’en sort indemne. Du moins, je le souhaite et il sera réélu. C’est même plus que sûr désormais.
Il va faire le ménage et arrêtez la guerre. Merci.
Un Trump la mort ce Donald, mais l’attentat arrive un peu tôt, novembre est encore loin.
Une vidéo sauvage montre le tireur en train de ramper pour se mettre en position pendant que des gens le désignent aux forces de l’ordre lors d’un rassemblement de Trump.
https://twitter.com/i/status/1812648353169060042
Ajoutée à celle-là déjà bien connue
https://twitter.com/i/status/1812284572241220012
Apparemment, le Secret Service n’avait pas inclus le bâtiment du tireur dans le périmètre de sécurité, mais ça, comment le tireur pouvait-il le savoir?
Biden « il faut avoir Trump dans l’œil du taureau »
Si quelqu’un en France dit ça de Netanyahou, c’est un ticket pour la ligne numéro 13 du métro parisien, arrêt porte de Clichy, mais aller simple je veux dire, même pas la peine de prévoir un ticket de retour.
Trump sauvé par un miracle de Dieu ? Je crois fermement en Dieu, mais ici je pense qu’il y a un plan humain diabolique derrière cette apparente tentative d’attentat.
Les événements importants, qui marquent l’opinion et la structurent, sont en règle générale le résultat d’habiles manipulations, qui font s’opposer réalité et apparence. Un exemple parmi mille : le prétendu avion qui entre dans le Pentagone le 11/09/2001.
La manipulation est souvent perceptible à un regard critique. Ici, le scénario est trop parfait. Des services de sécurité incompétents à la puissance 1000, une balle qui frôle Trump et en fait presque un personnage christique. Soyons clair tout de suite : Trump et son équipe n’ont rien organisé, et font face à des évènements imprévus d’eux.
Que s’est-il passé selon moi ? Le présumé tireur, Crooks, un tout jeune homme à l’air gentil, est présent sur les lieux avec l’accord d’au moins un important responsable de la sécurité. C’est ce qui explique qu’il se déplace librement dans la zone.
Le plan est le suivant : Crooks est là pour braquer les regards sur lui, il lui a été demandé de monter sur le toit, comme pour un exercice en temps réel. Il n’a aucune intention de tirer sur qui que ce soit. Les tireurs sont d’autres personnes, non visibles.
La balle qui a frôlé Trump est une balle guidée, comme celles sur lesquelles travaillaient déjà les sociétés américaines Sandia et Teledyne en 2015, avec l’agence américaine DARPA. Les résultats de l’époque étaient impressionnants. La balle est guidée pour toucher Trump en haut de l’oreille, provoquant un saignement bien visible, et lui laissant une trace qu’il ne pourra pas oublier.
Les autres tirs sont effectués avec l’arme qui sera retrouvée près de Crooks, mais par quelqu’un d’autre que Crooks. Ils sont destinés à crédibiliser l’opération.
Pourquoi cette opération ? Parce que, selon moi, Trump a été choisi par l’état profond pour devenir à nouveau président et pour mener les guerres qu’il s’est engagé à ne pas faire. Un précédent bien connu est celui de Woodrow Wilson pour la première guerre mondiale. Trump aura son Lusitania, du nom du navire coulé qui sera le principal prétexte à l’entrée en guerre des USA à cette époque. L’attentat qui vient de se produire est l’assurance pour Trump de remporter les élections.
Seul Trump est capable de conduire les USA dans la guerre contre l’Iran, la Russie, la Chine, avec un large assentiment populaire aux États-Unis et dans le reste du monde. Biden en serait bien incapable. Trump est la meilleure carte de l’état profond pour cette mission. Il y sera conduit sur des bases en apparence rationnelles, qui ne lui laisseront guère de choix. Mais il saura aussi que sa vie tient à sa soumission. Sa cicatrice à l’oreille sera là pour le lui rappeler.
Suite du commentaire :
Si par extraordinaire Trump se rebiffe, une fois élu président, il sera assassiné, et son assassinat sera attribué à l’Iran, qui a toutes les raisons d’avoir une dent contre lui (dénonciation des accords passés, Soleimani). Le successeur de Trump sera alors automatiquement engagé dans la guerre.
Le gentil garçon sans histoires qui veut tuer le candidat favori à l’élection, ainsi que des spectateurs, les failles opportunes et incroyables des services de sécurité, la balle presque magique qui place Trump sur un piédestal et lui assure une extraordinaire aura, je n’y crois que comme à un spectacle de prestidigitateur sur une scène de théâtre. Trump président, c’est quasiment fait, et le monde entier s’en réjouira. Attendons-nous au pire après son élection.
Autant j’ai trouvé votre commentaire sur le Tunisien, auteur de l’attentat du 14 juillet à Nice en 2016, roboratif et juste, autant votre commentaire ici est très décevant, voire affligeant. Vous sacrifiez donc vous aussi aux tropismes ultra-conspis de la fachosphère dès que survient un événement spectaculaire.
Il était inévitable que cet attentat fît naître après sa consommation des conjectures les plus absurdes les unes que les autres et vous y avez participé. Vous nous parlez d’Etat profond, de manipulations, d’intelligence avec les services de sécurité, on dirait Soral (lui comme le complotisme me faisait beaucoup rire il y a 20 ans, voire même 10 ans encore, mais plus maintenant, quand le mensonge devient dominant, la société devient insupportable), c’est effarant. Avez-vous des preuves?
Je pense derechef qu’il faut arrêter de délirer, de voir le mal partout et être un peu plus rationnel. Monsieur X cite plus bas les raisons très prosaïques qui ont conduit à cet attentat ou qui plutôt l’ont permis.
Je n’ai pas de preuve absolue, mais je ne peux pas croire en une négligence des services de sécurité, ou plutôt en une telle incompétence, et j’exprime donc une opinion rationnelle qui n’implique pas ce degré d’incompétence. Par ailleurs j’ai trouvé cela sur un fil Telegram, sans avoir eu le temps de vérifier sur le New York Post :
« Selon le New York Post, une équipe de contre-tireurs de la police se trouvait « à l’intérieur » de l’immeuble d’où Thomas Crooks a tiré pendant la fusillade.
Selon des sources qui ont parlé au Post, Crooks était littéralement en train de grimper sur le toit de l’immeuble où se trouvait le « poste de surveillance » des tireurs d’élite.
« Le bâtiment, l’usine AGR International Inc. à Butler, en Pennsylvanie, était utilisé par la police locale comme « poste de surveillance » pour les tireurs d’élite afin de détecter les menaces pendant que l’ancien président s’exprimait sur scène à seulement 130 mètres de là », a rapporté le Post.
M. Crooks aurait été aperçu dans le bâtiment 26 minutes avant l’incident. » Fin de citation.
Ces éléments vont clairement dans le sens d’un ou de plusieurs autres tireurs.
« Bullseye » c’est le point rouge à l’intérieur de la cible…
L’expression remonte au Far West, en français c’est faire mouche, taper dans le mille etc.
Pour Buffalo Bill, c’était toucher le bison dans l’œil, au sens propre.
Ce jeune a finalement réussi son coup, je pense que ce n’était pas tant Trump qu’il voulait tuer, mais lui-même, et c’est fait.
Magnifique commentaire de Ultrak : Trump aura son Lusitania ! Tout cela est très clair.
Il a déjà eu son 20 juillet en tout cas.
Voici des révélations explosives de Susan Crabtree sur le manque de sécurité au meeting de Trump, le samedi 13 juillet.
Susan Crabtree (@susancrabtree sur X) est correspondante à la Maison-Blanche de RealClearPolitics et journaliste pour The Hill et pour le Washington Examiner. Elle a de nombreux contacts au sein du Secret Service, qui lui ont fourni les informations suivantes :
1) les ressources du Secret Service avaient été réduites pour Trump le 13 juillet, et détournées au profit de Jill Biden, la femme de Biden, qui tenait au même moment une réunion dans un restaurant italien de Pittsburgh, non loin de la ville de Butler où Trump tenait son meeting de campagne.
2) le Secret Service a “appliqué le protocole” et traité Trump comme un ex-président, sans prendre en compte le fait qu’il est le candidat en tête pour l’élection présidentielle et qu’il est l’homme le plus menacé du monde.
Donc, pour protéger Jill Biden, qui n’est menacée par personne, les meilleurs agents ont été envoyés à l’intérieur du petit restaurant où ne se trouvaient qu’une vingtaine de Démocrates. Mais pour protéger Trump, qui est l’homme le plus menacé du monde, en raison des tombereaux de calomnies et de diabolisations déversés sur lui par les Démocrates depuis 2015, et qui tenait un meeting en plein air (donc bien plus exposé) devant 18 000 personnes, une équipe réduite avait été mise en place.
3) l’équipe qui protège habituellement Trump était au repos, sauf l’agent principal, car ils étaient épuisés, ayant travaillé 7 jours sur 7 sans repos depuis des mois, en raison des refus répétés de Mayorkas (secrétaire américain [ministre] de la Sécurité intérieure) d’augmenter les effectifs du Secret Service protégeant Trump.
4) les agents temporaires assignés le 13 juillet à la protection de Trump avaient été puisés dans divers services, et n’étaient pas habitués à protéger Trump ni à travailler ensemble. La majorité des ressources disponibles dans la région dépendant de Pittsburgh (où se trouve Butler) avaient été attribuées à Jill Biden.
Suite
5) une seule équipe de 2 contre-snipers avait été approuvée par le bureau de Pittsburgh, et cela seulement la veille du meeting, ce qui ne laissait pas assez de temps à ces deux agents pour repérer correctement les lieux et mettre en place une sécurité adéquate. Selon une des sources de Crabtree, pour un événement en plein air de cette taille, il faut au moins 3 équipes de 2 contre-snipers pour couvrir les menaces potentielles.
Toutes ces informations sont ici :
Shocking Report: Secret Service Resources Diverted From PA Trump Rally to Jill Biden, More Troubling Info
https://redstate.com/nick-arama/2024/07/15/report-secret-service-resources-were-diverted-from-pa-trump-rally-to-jill-biden-visit-n2176871
De plus :
6) depuis que Biden squatte la Maison-Blanche, il a mis en place une politique d’extrême gauche dans tous les services de l’État fédéral, consistant en l’embauche de femmes plutôt que d’hommes, et de personnes de couleur plutôt que de Blancs, politique appelée DEI (Diversity, Equity and Inclusion) qui est en réalité sexiste et raciste. À cause de cette politique, la nouvelle dirigeante du Secret Service, Kimberly Cheatle, nommée en 2022, est l’ancienne directrice de la sécurité de Pepsi Cola… ce qui a conduit Elon Musk à twitter : “Elle s’occupait de garder des canettes de soda, et maintenant elle doit protéger Trump ?”
7) cette directrice a décidé que le Secret Service doit recruter au moins 30 % de femmes, sans se soucier de savoir si une femme est aussi efficace qu’un homme pour les missions de cette agence. Le site du Secret Service déclare que “notre mission est d’embaucher plus de femmes”, et non d’embaucher des personnes compétentes.
8) le résultat, c’est que, sur la vidéo de la tentative d’assassinat de Trump, on voit trois femmes du Secret Service qui tentent de protéger Trump en plus de 4 ou 5 hommes. Comment une femme de 1 m 65 (taille moyenne) peut-elle faire écran avec son corps pour protéger un homme de 1 m 88 comme Trump, alors que c’est l’une des obligations de son métier ? Comment une femme de 55 kg (poids moyen), ou même trois femmes de 55 kg, peuvent-elle porter un homme de 100 kg au pas de course pour l’extraire en cas de besoin, alors que c’est une obligation de leur métier ?
9) à la fin de la vidéo, on voit ces trois femmes devant la voiture blindée dans laquelle Trump est entré : elles ont l’air désorientées, l’une d’elle n’arrive même pas à remettre son arme dans son holster (preuve de manque d’entraînement ou d’incompétence).
Ces remarques proviennent de la chaîne de télévision Sky News Australia, ici :
Fury unleashed on secret service after ‘catastrophic failure’ to protect Donald Trump (Sky News Australia) 15-07-24
13 juillet – 20 juillet:
on dit que Trump est un nouvel Hitler, et, en effet, même si ça ne suffit pas, le Trump la mort vient aussi de démontrer qu’il était capable d’échapper à un attentat.
Pour Trump, c’était un 13 juillet, à une semaine près, ça tombait le 20 juillet, l’attentat le plus connu contre Hitler.
2024 pour Trump, 1944 pour Hitler, 80 ans presque pile, à une semaine près.
Ce n’est pas tout, Hitler a un tympan crevé.
Trump est touché à l’oreille.
–> Je conseille à Trump de ne pas dormir sur ses deux oreilles tant que le 20 juillet n’est pas passé – de toute façon, il ne peut plus (dormir sur ses deux oreilles).
L’ancien garde du corps de Sarkozy analyse les images de la tentative d’assassinat sur Trump
https://youtu.be/te9Lg6kUu-M?si=Rtqqi30nDz8h_8FU
James Edwards s’entretient avec Gary J. Byrne, ancien agent des services secrets, au sujet de la tentative d’assassinat
https://www.thepoliticalcesspool.org/radio-show-hour-1-2024-07-20/
–> Secret Service, SS pour les intimes!