Ces derniers jours l’actualité venue du pays de Canaan éclipse quelque peu celle de l’Ukraine. Le pays de Canaan est ce territoire au Proche-Orient situé entre la Méditerranée et le Jourdain englobant l’actuelle Palestine occupée, et empiétant sur l’ouest de l’actuelle Jordanie, le sud du Liban et l’ouest de la Syrie : la prétendue « terre promise » que Yahvé aurait donnée au Hébreux, selon l’historiographie juive, pour s’y établir en anéantissant les Cananéens idolâtres, suivant la « volonté divine ». Et donc pas vraiment une « terre sans peuple pour un peuple sans terre » contrairement aux arguments sionistes !
C’est ce mythe fondateur du sionisme qui explique largement la déstabilisation permanente de cette région depuis plus d’un siècle :
- d’abord avec la forte immigration juive entamée fin XIXe – début XXe siècles vers la Palestine sous mandat britannique, sous l’impulsion et le lobbyisme du mouvement sioniste international, qui s’est poursuivie ensuite par une campagne de terrorisme contre les Britanniques et les autochtones palestiniens aboutissant au retrait de la puissance mandataire et à la déclaration d’indépendance unilatérale et illégale de 1948 (contraire aux résolutions de l’ONU et aussi aux promesses faîtes au représentants des autochtones),
- ensuite les guerres de solidarité des États arabes tentant d’empêcher les persécutions et expulsions des Palestiniens,
- et enfin les intifadas en réaction à la politique d’épuration ethnico-religieuse des territoires occupés et les guerres d’expansion sionistes vers le Liban (fermes de Chebaa), vers la Syrie (plateau du Golan), vers la Jordanie (Jérusalem-Est et Cisjordanie).
Voici donc le communiqué des Nationalistes concernant les derniers soubresauts en date dans cette région.
Les forces du Hamas ont lancé depuis samedi une attaque de grande ampleur en Palestine occupée, par terre, par air et par mer, 50 ans jour pour jour après la guerre du Kippour en 1973.
L’armée sioniste a été manifestement une fois de plus prise au dépourvu et un bilan provisoire fait état déjà de milliers de morts et de centaines d’otages. Des bases militaires ont été également prises par les combattants palestiniens.
Dans cette situation, quelle doit être la position des nationalistes français ? Doit-on se contenter du slogan « ni kippa ni keffieh », au prétexte que ces combats se déroulent loin de chez nous ? Non ! les Palestiniens affrontent le même problème que nous : l’immigration de remplacement, et le même ennemi, le judaïsme politique, qui chez eux colonise leurs terres, détruit les maisons et les récoltes, tue les habitants, et chez nous, organise méticuleusement la submersion migratoire en imposant l’antiracisme, le métissage et la fin des frontières, par le cinéma, les médias, l’école et les tribunaux.
Israël n’est pas « le poste avancé de la civilisation occidentale au Moyen-Orient ». C’est un État qui s’est implanté au moyen du terrorisme et du chantage moral et qui mène depuis son origine des guerres d’expansion meurtrières provoquant des flots de réfugiés en Europe.
Les Nationalistes soutiennent donc le droit naturel des autochtones palestiniens à se battre pour la reconquête de leurs terres occupées, quand bien même cela passerait par une disparition de l’État juif en tant que tel, et tant que l’accès des lieux saints reste garanti aux croyants des religions monothéistes.
Ce soutien n’implique pas pour autant une approbation des exactions commises par l’un ou l’autre camp contre les populations civiles qui sont malheureusement toujours les premières victimes des conflits armés.
En France, la droite populiste des Zemmour, Rieu, Messiha et Maréchal montre une nouvelle fois ses limites et son allégeance véritable par son soutien inconditionnel au régime de Tel-Aviv.
Cette droite a décidément la mémoire bien courte et oublie quels lobbies persécutent en Europe et en France les Nationalistes et les patriotes, quelles associations mènent contre les défenseurs de notre Patrie le combat politique, médiatique et judiciaire. Derrière la Licra, la Mrap, Sos Racisme, Avocats sans Frontière et autres, on ne trouve pas les militants du Hamas et du Hezbollah…
Rappelons surtout que, dans les conflits internationaux, les Nationalistes ne doivent prendre position qu’en raison de l’intérêt français et non pour des motifs irrationnels ou par réaction épidermique.
A contrario, Macron, qui tweete en hébreu et Van der Leyen, qui projette le drapeau sioniste sur la Commission européenne, font preuve d’une servilité écœurante et humiliante.
Enfin, ceux qui pensent que les Juifs sont des « frères aînés dans la foi » devraient se demander pourquoi de nombreux monastères ont été attaqués à Jérusalem et des processions ont reçu des crachats de la part de Juifs orthodoxes.
La Palestine aux Palestiniens !
À Paris comme à Gaza, Intifada !
Hello
De grâce, ne croyez pas un seul instant que les israéliens (sic) ne savaient pas ce qui se tramait….
A mon sens, ils ont laissé faire pour mieux continuer la construction de leur grand Israël (sic) en détruisant ce et ceux qui tenai(en)t encore debout en Palestine occupée.
jil
J ai aussi un sérieux doute car les divers services de l état hébreux passent pour les meilleurs du monde et que d autre part l opération vue son ampleur pouvait difficilement passée « sous les radars
En sept 2001 nous avions eu une fin d’été très mossad peut être que ce début d automne se place » sous le même signe »?….
C’est une évidence ! les israëliens tiennent maintenant le prétexte en or pour bombarder à mort et anéantir la bande de Gaza, avant de l’investir totalement et sans doute définitivement (comme pour les autres territoires occupés).
En d’autres termes, c’est au génocide final des Palestiniens déjà vaincus que nous allons assister…
netanyahou a trouvé la solution au problème palestinien : ce sera la SOLUTION FINALE !
Bien d accord Pearl Harbour
11 septembre et aujourd’hui idem
L’invincibilité d’Israël, fait partie de la propagande sioniste, c’est l’un des mythes de cette idéologie raciste supremaciste et totalitaire. Je constate surtout l’alignement total des partis (à l’exception, pour le moment, de la France insoumise ) et des médias français sur cette idéologie. Tous vent debout pour condamner le terrorisme du Hamas et s’etendre sur les souffrances israéliennes. Pas un mot, bien sûr, sur le nombre de morts palestiniens, ni aucun commentaire au sujet du communiqué d’un ministre israélien annonçant le blocus de Gaza privant d’eau, de nourriture et d’électricité les habitants de Gaza traités d’animaux… La mise de la tour Eiffel de Paris aux couleurs d’Israël, par le maire de Paris, la mise à Nice du drapeau israélien sur les édifices publics par le maire de Nice, l’interdiction par le ministre de l’intérieur Darmanin des manifestations pro-palestiniens, alors que les manifestations pro-israéliennes ont pu se dérouler sous haute protection des forces de police ; la réception par darmanin de personnalités de la communauté, sont des signes qui ne trompent pas et qui expliquent beaucoup de choses… dont mon engagement absolu pour l’égalité humaine.
Y-a-il encore des journalistes dignes de ce nom ? c’est la question que nous devrions tous nous poser, car je ne n’entends depuis quelques jours sur certaines chaînes de télévision, que des propagandistes défenseurs acharnés et fanatiques,de l’idéologie raciste supremaciste sioniste ; idem, pour les représentants de partis politiques qui affichent une soumission aveugle et absolue.
Ce qui est fait n’est plus à faire.
Relâchement de la vigilance et laxisme généralisé : pourquoi l’attaque du Hamas contre Israël a été si réussie
https://iz.ru/1586235/aleksei-ramm-dmitrii-astrakhan-bogdan-stepovoi/sonnaia-prichina-pochemu-ataka-khamas-na-izrail-byla-stol-uspeshnoi
Quelles tactiques les militants ont-ils utilisées et pourquoi l’armée régulière n’a-t-elle pas pu y résister ?
Les résultats de l’attaque des militants du Hamas contre Israël indiquent les échecs du travail des services spéciaux locaux et la formation insuffisante de l’armée, estiment les experts interrogés par les Izvestia. Malgré le fait qu’un système de défense ait été créé le long de toute la frontière avec la bande de Gaza avec des postes d’observation, des patrouilles et des bases de bataillons de réaction rapide, les unités palestiniennes ont réussi à capturer des bastions clés de Tsahal en quelques heures et à pénétrer sérieusement dans le pays. En deux jours, l’armée israélienne a été incapable de déloger complètement les militants des villes et des colonies. Pourquoi la première frappe du Hamas était inattendue, quelles tactiques les Palestiniens suivent, et comment les combats vont se développer – dans notre article.
À une profondeur de 30-35 kilomètres
L’attaque contre Israël a commencé aux premières heures du 7 octobre. Initialement, le Hamas a tiré plusieurs milliers de roquettes artisanales depuis la bande de Gaza. Les militants arabes ont également utilisé un nombre limité de drones d’attaque. Leurs cibles étaient des cibles militaires et civiles dans la zone frontalière – à Sderot, Netivot, Be’er Shefa et dans d’autres villes.
Le régiment de défense aérienne du Sud est chargé de défendre le territoire israélien contre les attaques aériennes de la bande de Gaza. Il comprend plusieurs divisions de systèmes antimissiles Dôme de fer. Mais le nombre de roquettes lancées par le Hamas a dépassé les capacités des systèmes de défense aérienne. Par conséquent, de nombreux obus ont atteint leurs cibles.
Les résultats de l’attaque des militants du Hamas contre Israël indiquent les échecs du travail des services spéciaux locaux et la formation insuffisante de l’armée, estiment les experts interrogés par les Izvestia. Malgré le fait qu’un système de défense ait été créé le long de toute la frontière avec la bande de Gaza avec des postes d’observation, des patrouilles et des bases de bataillons de réaction rapide, les unités palestiniennes ont réussi à capturer des bastions clés de Tsahal en quelques heures et à pénétrer sérieusement dans le pays. En deux jours, l’armée israélienne a été incapable de déloger complètement les militants des villes et des colonies. Pourquoi la première frappe du Hamas était inattendue, quelles tactiques les Palestiniens suivent, et comment les combats vont se développer – dans notre article.
À une profondeur de 30-35 kilomètres
L’attaque contre Israël a commencé aux premières heures du 7 octobre. Initialement, le Hamas a tiré plusieurs milliers de roquettes artisanales depuis la bande de Gaza. Les militants arabes ont également utilisé un nombre limité de drones d’attaque. Leurs cibles étaient des cibles militaires et civiles dans la zone frontalière – à Sderot, Netivot, Be’er Shefa et dans d’autres villes.
Le régiment de défense aérienne du Sud est chargé de défendre le territoire israélien contre les attaques aériennes de la bande de Gaza. Il comprend plusieurs divisions de systèmes antimissiles Dôme de fer. Mais le nombre de roquettes lancées par le Hamas a dépassé les capacités des systèmes de défense aérienne. Par conséquent, de nombreux obus ont atteint leurs cibles.
Après l’attaque à la roquette, des militants arabes ont pris d’assaut les positions défensives israéliennes couvrant la frontière de la bande de Gaza. La 143e division territoriale « Shualei HaEsh » (traduit de l’hébreu par « Renards de feu ») était responsable de la défense de cette direction.
Près de la frontière, le commandement de la division a déployé des postes d’observation, entre lesquels des unités à pied patrouillaient quotidiennement, ainsi que du personnel sur des véhicules blindés, des véhicules blindés de transport de troupes et des chars. Des compagnies d’infanterie et des forces de police israéliennes ont également été déployées aux points de passage des frontières.
Dans la profondeur des défenses de la 143e division se trouvaient les bases des bataillons de réaction rapide. Selon le plan du commandement, leur personnel devait se déplacer rapidement pour aider en cas d’aggravation de la situation.
Pour prendre d’assaut les positions israéliennes, les unités du Hamas ont utilisé des tactiques précédemment utilisées par les militants de l’Etat islamique (un groupe terroriste interdit en Russie) pendant les combats en Syrie. Premièrement, les drones ou les mobiles djihadistes sont utilisés pour frapper des positions défensives clés. Après cela, une grande masse d’infanterie passe à l’attaque à la vitesse maximale – à pied, sur des voitures ou des motos. Il est difficile pour les défenseurs non motivés de résister à l’attaque surprise d’une grande masse d’infanterie.
Dans le cas de la 143e division, le fait que la plupart des militaires israéliens soient partis pour le week-end a fait le jeu des militants du Hamas. Et les combattants qui sont restés dans leurs positions se sont pour la plupart cachés dans des abris pendant l’attaque de missiles.
De 6 heures à 14 heures, les militants du Hamas ont réussi à détruire presque tous les postes d’observation, ainsi qu’à prendre d’assaut plusieurs points de contrôle frontaliers et même les bases des bataillons de réaction rapide. Plusieurs patrouilles à pied et chars ont également été victimes de l’attaque. Un grand nombre d’armes et de véhicules blindés israéliens ont été saisis dans des bases militaires.
Au cours de l’attaque décisive, les militants du Hamas ont débarqué plusieurs troupes maritimes et aériennes (sur des trike-deltas). Leur tâche était de capturer des zones importantes du terrain afin d’empêcher les réserves israéliennes de s’approcher du champ de bataille. Plusieurs bateaux ont été détruits par les forces israéliennes. Mais dans l’ensemble, les débarquements ont rempli leur mission.
De petits groupes terroristes opérant dans presque toutes les villes du sud d’Israël ont également apporté un soutien actif aux forces attaquantes. Ils ont saisi plusieurs bâtiments gouvernementaux et postes de police.
Le commandement israélien a réagi à l’attaque avec retard. Ce n’est que le 14 octobre à 7 heures que les Forces de défense israéliennes ont commencé à attaquer des cibles dans la bande de Gaza. Ce n’est que vers 15h00 que le transfert des réserves par hélicoptères vers la zone de combat a commencé.
Dans la nuit de samedi à dimanche, les premières unités d’infanterie blindées et motorisées ont commencé à arriver. Au même moment, plusieurs colonnes de véhicules blindés ont essuyé des tirs de militants du Hamas. Plusieurs chars Merkava et voitures blindées ont été détruits.
Dans la soirée du 8 octobre, des militants palestiniens avaient pénétré à environ 30 à 35 km en Israël. Dans un rapport officiel, le Hamas a déclaré avoir mené une attaque coordonnée contre plus de 50 villes à proximité de la bande de Gaza et dans la région du Sud.
Dans la nuit de samedi à dimanche, le Hamas a lancé une nouvelle attaque massive à la roquette sur le territoire d’Israël. Cette fois, presque toutes les grandes villes, y compris Tel Aviv et Jérusalem, ont été ciblées. Au moins 3 8 missiles ont été tirés. Une fois de plus, un tel nombre d’obus a sérieusement surchargé les défenses aériennes israéliennes. Une partie importante des missiles a pu atteindre leurs cibles.
Dans l’après-midi du 8 octobre, le Hamas a annoncé que ses combattants à bord de cinq bateaux avaient débarqué sur la côte près d’Ashkelon en Israël et capturé des parties de la ville.
Le porte-parole des Forces de défense israéliennes (FDI), Jonathan Conricus, a déclaré le même jour que la situation dans le pays n’avait pas encore été entièrement contrôlée. Les forces israéliennes nettoient les centres de population des petits groupes terroristes et continuent de redéployer des réserves.
Au cours de la journée, plusieurs officiers supérieurs de l’armée et de la police ont été tués. Parmi eux se trouvent le commandant de brigade de Tsahal, Jonatan Steinberg, le général de brigade de la police des frontières Izhar Peled et de nombreux officiers supérieurs.
« Le contre-espionnage du Hamas a trompé les Israéliens »
L’expert militaire Viktor Murakhovsky:
« Dans ce conflit, le contre-espionnage du Hamas s’est le mieux montré. C’était un bon lavage de cerveau pour les Israéliens, qui ont dormi jusqu’au début des hostilités. D’où les pertes des premières heures, y compris le matériel. Les défenses aériennes d’Israël ont montré qu’elles peuvent faire face à des cibles désignées. Mais les Israéliens manquaient de missiles antiaériens pour repousser l’attaque. Deux missiles sont généralement nécessaires pour la cible, mais il n’y en avait pas. La défense aérienne était tout simplement saturée par le nombre de cibles et a percé.
Une nouvelle génération a grandi en Palestine qui n’a pas connu de guerre majeure. Le Hamas a gagné des jeunes qui sont prêts à aller au combat sans hésitation. Elle a montré ce qu’elle peut faire aujourd’hui. Mais les méthodes sont restées les mêmes. Attaquer des civils, prendre des otages – tout cela n’est pas habituel dans une guerre majeure, ce sont des méthodes terroristes.
Israël déclara la loi martiale et commença la conscription. Je pense qu’il lui faudra quelques jours pour régler les problèmes et surmonter la crise.
« Un grand échec des services de renseignement et de l’armée israéliens »
L’expert militaire Yuriy Lyamin:
« Nous avons assisté à un grand échec des services de renseignement israéliens et de l’armée. Ils ont dormi pendant la préparation de la grande opération. Et, peu importe à quel point vous essayez de vous cacher, il y a des signes qui alerteront l’ennemi et trahiront votre entraînement. Cela comprend l’accumulation d’arsenaux, de munitions et d’un certain nombre d’autres mesures.
Il me semble qu’Israël ne croyait tout simplement pas que les Palestiniens oseraient mener une opération terrestre à grande échelle. D’où les défaites des premières heures. Les soldats et les officiers ont été pris par surprise, ils ont été fusillés dans des casernes, l’équipement était couvert. Dans le même temps, l’armée n’a pas montré son meilleur côté : les garnisons situées à la frontière ont fait preuve d’une négligence négligente.
Les Palestiniens, bien sûr, n’ont pas le même équipement que Tsahal, mais ils ont utilisé les réalisations de ces dernières années. Les drones ont joué un rôle important, il est clair que l’expérience des conflits récents a été étudiée et que des tactiques ont été développées sur cette base. Et il a été appliqué avec succès à la première étape. Les Palestiniens avaient aussi leurs propres trouvailles, les mêmes parapentes tactiques qui permettaient de passer derrière les lignes ennemies. Ils ont été une surprise.
Avec la planification et la mise en œuvre dans la première phase, le Hamas se portait bien. Les Palestiniens ont également réussi à percer les défenses aériennes de l’ennemi. Le célèbre « Dôme de fer » était tout simplement surchargé. Plus de roquettes ont volé que dans les canons antiaériens israéliens. Voyons ce qui se passe ensuite. Israël a une supériorité complète dans l’aviation, les véhicules blindés lourds et l’artillerie.
« Les militants ont tout planifié très soigneusement »
Officier-vétéran des unités des forces spéciales des forces armées de la Fédération de Russie, participant aux opérations de combat et aux opérations spéciales, indicatif d’appel Skat:
Même dans un scénario favorable pour Israël, lorsque les militants seront détruits et évincés par les forces de défense au cours de l’opération antiterroriste, et que la structure militaire de ces formations sera systématiquement détruite par des frappes aériennes et de missiles, le monde ne sera plus le même.
La menace pour Israël a considérablement augmenté en quelques jours seulement. Maintenant, tout le monde sait que Merkavas peut être brûlé avec des drones bon marché, et des TikTokers en uniforme israélien peuvent être transportés dans le coffre d’une jeep en toute impunité.
Les attaques se poursuivront dans un avenir proche, et des tentatives sont déjà faites pour en étendre la portée. De plus en plus de militants parmi les résidents ordinaires de Palestine seront impliqués. Il n’est pas nécessaire d’agiter qui que ce soit là-bas.
Il a immédiatement attiré l’attention que dans les directions de l’invasion probable, il y avait un laxisme complet du personnel. Les attaques ont tout simplement dormi. La grande majorité des personnes tuées étaient en sous-vêtements. Et il ne s’agit même pas du manque de renseignements préventifs. Nous parlons d’une violation banale de toutes les normes possibles de garde et de service interne par les militaires eux-mêmes.
Il est également évident qu’il n’y a pas d’organisation de mesures pour repousser une éventuelle invasion armée. Les unités frontalières devraient s’entraîner régulièrement dans ce domaine, préparer des cartes de feu, des points forts, etc.
Ce n’est pas seulement le « mérite » de la direction de ces unités, mais aussi une tendance qui se forme depuis longtemps en l’absence de contrôle du commandement supérieur. Il n’y a pas de vérifications de l’état de préparation au combat ou d’approche officielle pour la conduite des activités de contrôle et de vérification.
Un grand nombre de prisonniers et tués parmi le commandement. Le général a été capturé, le commandant de brigade a été tué. La planification de tels événements est évidente. Je ne crois pas à la chance. On a travaillé de manière ciblée. Une reconnaissance approfondie des informations sur les dirigeants militaires israéliens sur le terrain a été effectuée.
Coordination des actions des militants : tout est très soigneusement planifié. Avec un soutien de missiles et d’artillerie à grande échelle, l’utilisation de presque toute la gamme des moyens disponibles d’armes bon marché, mais efficaces (UAV, parapentes, motos). Frappes de petits groupes bien entraînés et bien armés sur des postes et des installations clés. Et puis il y a eu un travail massif pour organiser des émeutes parmi la population locale. Et les Israélites ont dormi à travers tout cela. La question se pose de l’efficacité du travail de renseignement des services de renseignement israéliens.
Les femmes soldats israéliennes capturées portent un coup sévère au moral et à l’état psychologique de la population militaire et civile. En outre, c’est un coup porté à l’image de l’armée israélienne.
J’ai regardé plusieurs vidéos des actions des forces spéciales de la police israélienne. Franchement, cela me rappelle une compétition de course à pied. Compte tenu du fait que plus de la moitié de ce que j’ai regardé est du travail sur des films d’action uniques et de petits groupes, c’est juste une sorte de course difficile, dépourvue de toute idée tactique. Il n’y a même pas de tentatives pour bloquer le bâtiment capturé. Il n’y a pas d’utilisation d’armure et d’armes spéciales. Les mouvements sont stupides – dans une foule à pleine hauteur dans un espace ouvert. Il n’y a même pas la moindre ressemblance avec la formation d’une formation de combat, dictée par la situation et les tâches.