Le seul chef d’Etat d’après-guerre à dénoncer dans un discours public la Maçonnerie !
Son père en était, écrit-il de la Franc-maçonnerie introduite comme partout par l’Angleterre, dans un de ses articles parus depuis le 14 décembre 1946 jusqu’au 3 mai 1951 dans le journal de la Phalange, « Arriba » (debout, par allusion au cri antiséparatiste et antibolcheviste « Arriba Espana ! ») sous le pseudonyme de Jakim Boor, au temps du blocus, (que taisent aujourd’hui les historiens de cour, n’évoquant que le refus du Plan Marschall pour l’Espagne), formé contre l’Espagne, et qui ont été réunis dans un livre, paru en 1952, à Madrid, intitulé Masoneria (Grafica Valera.), lisible sur la toile (cf : Massoneria).
Après avoir surmonté cet obstacle et en dépit de l’assassinat, le 20 décembre 1973, du successeur par lui désigné, l’amiral Carrero Blanco (né en 1903 à Santonia, en Cantabrie, au nord de l’Espagne) dans un terrifiant attentat madrilène dont seule la C.I.A. avait les moyens, l’Espagne, à la mort du prétendu dictateur, en fait, chef de la nation, tenait un rang important, dans les dix premières nations de puissance atomique et industrielle, enviable, dont l’expérience intéressera, en particulier, l’Iran ; et, grâce au syndicalisme phalangiste, avec une protection sociale permettant des loyers modérés et donc la possibilité pour des jeunes familles, à la différence d’aujourd’hui, de se former pour l’avenir de la race espagnole dont l’idéal demeura toujours, au cour des âges, aristocrate.
Il nommait son action pendant la « guerre civile » de 1936 à 1939, la guerre de libération, et la dictature, entendue comme tyrannie, s’entendait de la Maçonnerie et de son allié communiste.
Il faut retenir aussi, qu’en pleine terreur dont des Basques aveuglés, – y compris dans les séminaires plus « rouges » que chrétiens – étaient l’instrument, avec l’E.T.A., laquelle avait frappé même des policiers hors service, dont un garde-civil père de famille dans une pâtisserie où il achetait des gâteaux pour les siens, alors que des défilés « parisiens » se formaient, Mitterrand en tête, pour protester de leur antifascisme, – croisade de la City pour épuiser et conquérir les peuples par le terrorisme !-, le généralissime espagnol fut le seul chef d’Etat d’après guerre, à proclamer, comme il l’a fait au balcon de la place madrilène d’Orient, le 1er octobre 1975 que :
« tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en collusion avec la subversion communiste terroriste dans le social »
(« Todo obedece a una conspiración masónica izquierdista en la clase política en contubernio con la subversión comunista-terrorista en lo social »), devant une foule en liesse, tous âges confondus, saluant la conclusion du discours à la romaine en chantant « Cara al Sol con la camisa nueva… » (« Face au soleil avec la chemise neuve… », écrit en collaboration, par José Antonio et mis en musique par le compositeur basque Juan Tellera, 1895-1949). En réponse aux exécutions légales des terroristes avérés, les bâtiments des représentations espagnoles avaient été attaqués en Europe, l’Ambassade au Portugal prise d’assaut et complètement brûlée, après que ce pays ait versé, avec la « Révolution des œillets » (Revolução dos Cravos, 25 avril 1973), dans la démocratie maçonnique.
Le discours est tronqué, mais on entend bien dans la bouche d’un Franco affaibli par une insuffisance coronarienne qui devait l’emporter, le mois suivant, le 20 novembre, le mot de « contubernio » (collusion) qui désigne le lien, si remarquable aujourd’hui et particulièrement en Syrie, entre maçonnisme et terrorisme islamo-bolcheviste, à savoir d’un bolchevisme aux couleurs islamiques, et gouvernements maçonnisés, de Londres à Ankara !
La santé du Chef de l’Etat soigné à son domicile où il continua son activité, surveillé à distance par ses médecins, fut, comme ils le reconnaissent, rapidement altérée par les soucis causés par le Roi du Maroc Hassan II, d’une dynastie hautement maçonnisée, mobilisant des civils pour envahir le Sahara espagnol, et, par la défense papale (celle de Paul VI qui avait des sympathies naturelles, familiales mêmes, pour l’entité sioniste qu’il visita, comme premier pape, et reconnut), des cinq ou six terroristes fusillés en septembre pour l’assassinat de policiers.
Un excellent témoignage en est fourni dans la video suivante :
Le séparatisme, œuvre maçonnique de désagrégation !
Qu’il soit dit, à l’intention des dupes du séparatisme favorisé par les Georges Soros « de tous les pays » mais qui n’ont qu’une volonté de maintenir leur tyrannie par un désordre contrôlé et perpétuel, que la tradition politique espagnole est celle d’une unité du divers des peuples qui la composent. Cela se voit dans les opinions droites ou principes d’action et directives du mouvement de la Phalange espagnole de Jose Antonio. Sa sœur Maria Pilar qui resta insensible jusqu’à sa mort aux sollicitations de la démocratie désorganisatrice qui n’accouche que du chaos, a, dans ses Mémoires d’une Vie (« Recuerdos de una Vida », 1983, Editions DYRSA, Madrid, 447pp.) établi, dans l’esprit du programme de la révolution nationale, la politique ou le fonds de la pensée active phalangiste sur ce thème : de citer son frère s’exprimant ainsi le 29 octobre 1933 au Théâtre de la Comédie madrilène, pour la fondation du Mouvement :
« Que tous les peuples d’Espagne (Que todos los pueblos de Espana…), pour divers qu’ils soient (por diversos que sean), se sentent harmonisés dans une irrévocable unité de destin (se sentian armonizados en una irrevocable unidad de destino). » (op.cit. p.59)
Contre ce sentiment se mobilisa la Maçonnerie, qui ici prêchait la sécession, et là écrasait comme en France néo-jacobine, radical-socialiste etc… les pays, qui sont autant de piliers ou d’arcs qu’en porte une cathédrale, sous le poids d’une organisation tyrannique, fiscale, théiste en paroles et en fait athée, avec son temple froid de la fraternité ou solidarité abstraite, sans charité, mais égoïste et rapace.
Discours de la Place d’Orient
(Extraits du discours)
« Espagnols ! Merci pour votre adhésion et pour la sereine et virile manifestation publique que vous m’offrez en réparation aux agressions dont ont été l’objet plusieurs de nos différentes représentations diplomatiques et établissements espagnols en Europe, qui nous démontrent une fois de plus ce que nous pouvons espérer de certains pays corrompus, ce qui éclaire parfaitement leur constante politique contre nos intérêts. Mais ce n’est pas le plus important, mais bien ce qui se présente sans son apparence, la prise d’assaut et la destruction de notre Ambassade au Portugal survenus dans l’état d’anarchie et le chaos dans lequel se débat la nation frère, et rien ne nous tient plus à cœur que soient rétablis chez elle l’ordre et l’autorité [el orden y la autoridad]. Tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en cheville avec la subversion communiste terroriste dans le social, en sorte que tout ce qui pour nous est honneur, chez eux est dégradation. .Ces manifestations démontrent, par ailleurs, que le peuple espagnol n’est pas un peuple mort, dont on se moque. Celui-ci s’est réveillé et garde sa raison, et sa confiance en la valeur des forces gardiennes de l’ordre public, et en la garantie suprême des forces de terre, de mer et de l’air, en appuyant la volonté de la nation; permet au peuple espagnol de reposer tranquillement. A l’évidence, le peuple espagnol est redevenu aujourd’hui quelque chose dans le monde. Arriba Espana ! »
Après la seconde guerre mondiale, les « frères » en question, celui qui proposa le blocus onusien, Trygve Lie (33ème degré), et le Président des U.S.A. et atomiseur du Japon (de deux villes chrétiennes), Harry Truman (1884-1972, initié le 9 mai 1909, Grand Maître de La Loge du Missouri), frères espagnols et mexicains, entre autres furieux, crurent pouvoir ainsi étrangler l’Espagne par la faim et un blocus industriel, par exemple de pièces détachées, pour aider à l’instauration d’une démocratie selon leurs vœux.
Notre défunt ami catalan français Jean Roux, qui organisait chaque année un repas des « Anciens » et dont l’épouse échappa, jeune fille, aux massacres et tortures des Rouges immigrés d’Espagne exerçant leur œuvre sadique à la Citadelle de Perpignan, en 1944, en passant les Pyrénées, grâce à la Garde Civile qui sauva de nombreux proscrits français, s’était réfugiée chez son frère à Barcelone – nous rappelait l’action des nationaux du Roussillon pour rompre ce blocus. Jean Roux parla plus tard, avec foi, à la radio iranienne.
L’Angleterre initiatrice de la Maçonnerie en Espagne, et du blocus de 1946
L’Angleterre et la France à sa suite, avec un gouvernement démocrate-chrétien (Mouvement Républicain Populaire M.R.P.), en prirent l’initiative ; mais l’Angleterre, plus subtile et réaliste, rompit avant la France le blocus. Ce fut le contraire de leurs espoirs qui se produisit : toute la nation espagnole, avec ses peuples, comme un principe spirituel aimantant l’énergie des âmes, se souda autour de Franco, tels les Syriens autour de Bachar El Assad ! Et alors la dirigeante communiste, secrétaire générale puis présidente du Parti de 1942 à 1989, la basquaise rouge Dolores Ibarruri (1895-1989, par ailleurs, comme il faut savoir, de famille catholique et de père politiquement de la faction monarchiste dite carliste), réfugiée chez Staline et ses successeurs, fulmina, croyant entrer pour y régner en souveraine avec comme bijoux la faucille et le marteau, sans qu’elle eût pu néanmoins dépasser des spécialistes en la matière, comme la moldave Hannah Rabinsohn (1893-1960, mariée Pauker), en Roumanie, ou l’avocate ministresse de la justice, Hilde Lange (1902-1989) surnommée « la Guillotine Rouge », mariée Benjamin (parent de Walter Benjamin de l’Institut de Marxisme mieux connu sous le nom « d’École de Francfort »), en zone allemande centrale soviétisée. La soi-disant République espagnole exilée au Mexique où sévit longtemps un parti gouvernemental trostkyste, le Parti Révolutionnaire Institutionnel, crut arrivé le jour de la restauration du carnaval d’avant-guerre.
Mais le pays tint bon, et ce fut le général Perón (1895-1974) qui força le blocus (sa formule « Salvamos Espana ! ») de la faim. Le secrétaire de Léon Degrelle (1906-1994), feu Raimond Van Leeuw, nous conta dans son appartement madrilène où il devait nous présenter son ami patriote castillan Alberto Torressano (dont le père fut secrétaire du ministre et beau-frère de Franco et intime de José Antonio, le plus que centenaire Ramon Serrano Suner, 1901-2003), avoir vu dans de très nombreux pueblos ou villages en fête dansant, priant et chantant, la réception grandiose de la tenace et belle Eva surnommé affectueusement Evita Duarte, mariée Perón, morte jeune (1919-1952), seconde épouse du chef de l’Etat argentin, deux fois veuf, laquelle fit, en deux semaines, du 9 au 26 juin 1947 (sauf erreur), le tour du pays la remerciant de l’entrée des viandes, céréales et autres produits dans le pays mère. « Tout ce que Truman nous refuse, Peron nous l’accorde », lit-on dans la presse. L’Argentine, par le port de Cadix, avait permis à l’Espagne, berceau de son hispanité, de briser ce complot ignoble visant à son abaissement définitif.
C’est dans le climat de lutte pour l’existence espagnole que le général Franco rédigea des études réunies dans ce livre érudit, brillant et énergique, empreint d’une haute spiritualité, dont nous détaillons quelques points :
A. L’introducteur anglais, en Espagne, de la maçonnerie, le duc de Wharton ( art. du 5 février 1947) :
« L’implantation de la maçonnerie en Espagne coïncide avec sa décadence. Felipe Wharton, premier et dernier duc anglais de Wharton, vrai escroc et aventurier, la fonda en 1728. Tous les attraits et les vices étaient thésaurisés par ce personnage. Marié en secondes noces en Espagne avec Teresa O’Byrne, fille du colonel du régiment irlandais Hiverni, au service de l’Espagne, et dame d’honneur de la Reine espagnole. Il fut blessé devant Jibraltar (ainsi écrit dans l’original) en combattant ses compatriotes, nommé colonel adjoint du régiment irlandais, au moment où l’Angleterre le répudiait pour trahison. Il se convertit aussi au catholicisme, à l’article de la mort, fonda la première loge à Madrid sous obédience et en bonne relation avec la Grande Loge de Londres. A Madrid, il s’éleva par l’appui de la noblesse, accumulant prestige social et influence politique. Mais la personne du duc de Wharton, beau, généreux, éloquent, érudit intelligent, ambitieux, menteur, pillard, voleur et ivre, comme le qualifient les historiens de la nation anglaise, mérite bien, comme père de notre maçonnerie, un chapitre à part. »
B. Le contraire de la démocratie (5 Janvier 1947)
Cette appréciation de Franco est originale et arrache le masque démocratique à cette organisation criminelle qui assassine ses propres membres désobéissants, et de donner l’exemple de l’amiral Darlan. Il y revient en un autre endroit :
« La maçonnerie se montre ainsi le plus grand ennemi de la démocratie. La démocratie est publique, la maçonnerie est secrète ; la démocratie reconnaît des droits, la maçonnerie les écrase (los avasalla) ; la démocratie pose en principe le libre-arbitre des associations politiques, la maçonnerie les assujettit au serment et à la peine de l’irradiation ou, le cas échéant, de mort, sur l’ordre de ses supérieur (…) Le maçon est obligé d’obéir à l’encontre de sa propre convenance, des intérêts sacrés de sa patrie et des impératifs de sa propre foi. On profite de la démocratie pour trahir la démocratie. Aucun pays n’échappe habituellement au phénomène. »
C. L’entité sioniste
Jamais Franco ne reconnut l’entité sioniste, et celle-ci ne le fut que par le socialiste Felipe Gonzales : d’une part Franco suivait la politique de l’Eglise catholique romaine qui, conformément au dit droit romain, jusqu’à ce que Paul VI rompit avec cette sagesse (pour des raison bien personnelles), refusait alors tout Etat qui n’avait point de frontières déclarées. Ce qui est toujours le cas de cet « Etat » ; et d’autre part, le Caudillo avait ses propres raisons exposées dans son article du 9 juillet 1950 :
« Un autre point névralgique de cette infiltration soviétique que la maçonnerie nous offre est celle de l’Etat d’Israël où, sous prétexte de créer un Etat confessionnel juif, on a procédé à une concentration d’éléments athées du centre de l’Europe et des bas -fonds internationaux [y de los bajos fondos internationales], lesquels viennent en taxant de pharisiens et d’arriérés les ministres et représentants du culte mosaïque (ou mosaïste). Ce qui voulait être un Etat juif fondé sur les vieux moules du judaïsme international, se convertit en un foyer de concentration de gens sans foi et sans racine [foco de concentración de gentes sin fe y sin arraigo} ouverts aux consignes et aux influences étrangères. »
D. Le serment de passage au 16e degré du rite écossais : restituer Jérusalem aux Hébreux (art. 9 juillet 1950, Manœuvres maçonniques) :
« Une fois de plus la Russie profite de l’état de choses que la maçonnerie lui offre pour servir ses intérêts. La Russie connaît la grande influence du judaïsme dans la politique américaine…, la présence dans de nombreux gouvernements européens de membres importants des sectes maçonniques, le serment prêté par eux au passage des grades XV à XVI de « chevalier de l’Orient ou de l’épée et des princes de Jérusalem » respectivement : « de restituer au peuple hébreu tout ce qu’il a perdu par la force », et en attendant aidait et soutenait les attentas terroristes de Stern au Proche-Orient, travaillait dans les réunions internationales pour favoriser les idéaux sionistes qui mettraient des bombes dans le camp de ses ennemis, donc pour la Russie, avant la guerre et après la guerre, les nations qui ne s’y soumettent pas sont toujours ses ennemis.
Rien de plus soucieuses que les nations occidentales à maintenir la paix et l’ordre au Moyen-Orient : mais aucune non plus plus intéressée que la Russie à créer un centre de dissociation dans le front uni qu’offre le Proche-Orient aux ambitions de l’expansion soviétique. Le moment ne pouvait être plus favorable. La création d’Israël fut un accouchement soviétique [un parto sovietico].Ainsi tout comme dans le cas de Lie [maçon norvégien et agent stalinien], l’on nous également Ben Gourion avec la complexité de sa double nationalit , lequel déjà avec des noms différents a milité dans les rangs communistes.
Ne perdons pas de vu le mince Etat d’Israël, lequel, si petit que soit son contenu, est ambitieux dans ses aspirations, qui atteignent les limites de l’Euphrate, que pour si disparate que celui-ci nous paraisse, existe, laquelle alimente le feu qui peut un jour se convertir en incendie dévorant à travers lequel font irruption les tanks des barbares modernes ! »
E. L’assassinat de l’amiral Darlan à Alger, conflit entre maçonnerie anglaise et U.S. (art. 14 décembre 1946)
L’amiral François Darlan (7 août 1881-24 décembre 1942) était une personnalité politique et militaire de famille républicaine maçonnisée, comme l’establishment de la IIIe République. Franco examine les raisons de son assassinat par un jeune écervelé monarchiste Bonnier de la Chapelle manipulé par des forces obscures et lui-même immédiatement fusillé :
« L’assassinat de Darlan fut réalisé par la maçonnerie. Comme l’Intelligence Service, la maçonnerie jouait son rôle dans les guerres. Darlan maçon, contre les ordres de la maçonnerie , était passé pour être l’homme des Etats-Unis, et devait disparaître, comme tant d’autres personnages importants pendant le conflit .La présence de Darlan en Afrique et sa nomination comme chef suprême, privait De Gaulle considéré par les Anglais comme leur homme, de l’appui des uniques forces sur lesquelles la France comptait jusqu’à présent; la nord-africaine. Il fallait que disparaisse l’obstacle. »
F. La maçonnerie française et sa carte de l’Espagne amoindrie (ibidem) :
« De M. Jouhaux (1879-1951, syndicaliste parisien, Prix Nobel de la Paix, fondateur de Force Ouvrière), un des organisateurs principaux des Brigades Internationales dans notre guerre de Libération, nous ne pouvions pas espérer autre chose; l’esprit anti-espagnol et de mauvais voisinage de la maçonnerie française depuis de nombreuses années que nous en souffrons, a été un moyen dont se prévaut la nation française pour supprimer une frontière. Mais non contente de cela, elle aspirait à plus, et le chemin de son chauvinisme et de ses ambitions, est arrivé durant notre guerre de Libération à distribuer pour le sud de cette fameuse feuille avec une carte de notre région pyrénéenne attenante avec sa frontière, dans laquelle dans le fleuve Aragon s’unissent au nord de Huesca deux zones, la Catalogne à l’Est et à l’Ouest, le Pays Basque (Vasconia) ; l’Espagne interposée entre les deux, apparaît marquée au sud. Des lettres éloquentes se détachaient sur le dessin, en bleu : « Une Espagne forte est une mouche dans la nuque de la France »; et il était alors à aider les rouges. »
G. La puissance maçonnique bridée par les fascismes (art. Sous la dictature maçonnique, 19 août 1949) :
« A la grande crise dont souffrit la maçonnerie avec la montée de Mussolini et d’Hitler qui firent accéder au gouvernement de leurs nations de nouveaux politiciens, en leur quasi totalité étrangers à la maçonnerie (en su casi totalidad extranos a la masonería) succéda cette autre période de revanche maçonnique (periodo de revancha masonica) dans laquelle maçons et politiciens prennent le Pouvoir, et, profitant de la période d’exception immédiate d’après guerre, au croisement des tribunaux populaires et des actions illégales d’éliminatio , visent la disparition ou l’incarcération, sous prétexte de collaboration, des intellectuels et des patriotes qui étaient leurs adversaires: la persécution de Maurras, la prison prolongée du vénérable Maréchal vainqueur de Verdun [né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l’île d’Yeux] et le cruel refus de l’allègement de sa condamnation obéissent à la passion sectaire et à la décision des loges maçonniques. Parmi les milliers de personnes éliminées en France clandestinement et sans procès une grande proportion correspond aux adversaires de la maçonnerie ou d’éléments radiés par elle. »
Pierre Dortiguier
Sacrebleu ! Je tombe sur ce site par hasard… En tant qu’ancien journaliste… je suis épaté par ce que je lis, notamment concernant la maçonnerie ! Alors, je remonte à l’en-tête du site et je lis « Jeune Nation », ce qui explique tout : Ayant fréquenté en prison politique Jacques Sidos… je ne m’étonne plus. Pierre était notre invité le 23 11 19 à Paris, lors d’une réunion d’anciens OAS que je présidais, et j’ai tenu a souligner en sa présence combien la droite nationale devait à la famille Sidos. Honneur à LUI !
Et merci pour l’excellence de ce site.
J.P. Le Perlier Président ADIMAD
Merci à vous.
Salutations nationalistes