Erich Knud Kernmayr, en raison de son activité national-socialiste illégale en Autriche, est arrêté en 1934 et passe une courte période de temps en prison. En 1936, Kern est rédacteur en chef de la presse du mouvement et après le rattachement de l’Autriche en 1938, il devient le chef de la presse régionale pour la branche de Vienne du NSDAP.
En reconnaissance de son talent, en 1940 il a été promu pour être le secrétaire de presse pour le Gauleiter de la Sarre / Lorraine, Josef Buerckel. En 1941, Kern, qui détenait déjà le rang honorifique d’officier SS, s’enrôle dans la Waffen-SS.
À la fin de la guerre, il a atteint le grade SS de Sturmbannführer et est l’un des membres fondateurs de HIAG (Hilfsgemeinschaft auf Gegenseitigkeit der ehemaligen Angehörigen der Waffen-SS), l’organisation d’anciens membres de la Waffen-SS .
En 1946, il est l’un des fondateurs du Cercle Gemünd, dans lequel les anciennes personnalités de premier plan du NSDAP ont participé à une tentative de former une organisation politique d’après-guerre.
Il est le premier à publier des livres dans lesquels il présente les Allemands comme les véritables victimes de la Seconde Guerre mondiale et écrit de nombreux livres sur les combattants du Front de l’Est.
Kern était un partisan du nationalisme pan-européenn et a collaboré à Europe-Action.
Il décède le 13 Septembre 1991 à Kammer am Attersee.
Contributeur à EUROPE ACTION ? Qui connait vraiment, aujourd’hui, soit à plus d’1/2 siècle de distance, ce que fut vraiment Europe Action ?
Il faut savoir qu’alors qu’ils étaient l’un et l’autre embastillés suite à leur engagement pour l’Algérie Française, Pierre Sidos et Dominique Venner décidèrent que le premier qui serait libéré ferait renaître le mouvement Jeune Nation, qui avait été interdit par la racaille gaulliste.
Dominique Venner ayant été libéré le premier, tous les militants nationalistes se groupèrent naturellement derrière lui, dans le cadre du mouvement Europe Action, prenant la suite de Jeune Nation… du moins le croyaient-ils.
Mais il y eut un malaise parmi les militants, lorsque Pierre Sidos fut libéré à son tour, mais sans que Venner lui rende sa place naturelle à la tête du mouvement !
Par la suite, alors que Pierre Sidos continuait le combat envers et contre tous, Venner abandonnait brusquement la lutte, laissant les militants qui avaient tout sacrifié écoeurés et déçus.
On ne peut que s’étonner aujourd’hui, du culte post-mortem rendu à ce Venner.
Ce dont je m’étonne d’autant plus que, formé en prison par Jacques Sidos, je fus de ceux qui, en toute bonne foi, suivirent Venner dont je dirigeais alors le Service d’Ordre.
Contrairement à ceux qui n’ont toujours rien compris, et célèbrent inexplicablement la mémoire de Venner, je considère qu’il fut l’un des personnages les plus décevants de notre mouvance.
Ce qui ne fut pas le cas des frères SIDOS qui sont restés fidèles au poste jusqu’à l’ultime limite de leurs forces.
Ceux qui veulent l’Europe unie mentent toujours. Sous Napoléon premier, sous la botte française, sous Hitler, sous la botte allemande et maintenant sous la botte mondialiste.