Il faut démystifier la révolution, dite française, en commençant par signaler ses mensonges symboliques, en premier celui du « 14 juillet », anniversaire de la « prise de la Bastille, symbole de l’arbitraire » selon la version officielle faussement établie. Ce texte de Pierre SIDOS, qui s’y emploie, est paru pour la première fois dans la version papier de Jeune Nation durant les années 1990.
Le 14 juillet, une imposture partisane devenue une pseudo fête nationale
Il n’y a pas eu prise de la Bastille, mais entrée autorisée par la porte ouverte, vers cinq heures du soir. Précédemment, une délégation des émeutiers avait pris son déjeuner à l’intérieur de la forteresse, sur invitation et en compagnie de son gouverneur Bernard de Launay.
Prison en voie de désaffection
La Bastille était un vieux bâtiment militaire, dont la destruction était prévue. C’était une ancienne forteresse, édifiée quatre siècles auparavant pour la protection de Paris et devenue prison d’État en voie de désaffectation. Du 1er janvier 1789 au 14 juillet, il n’y était entré qu’un seul prisonnier. Le Grand Larousse du XXe Siècle, en six volumes, précise : « D’autre part, à cause du confort dont les prisonniers étaient entourés et à cause des traitements élevés des officiers de l’état-major, la Bastille coûtait très cher au gouvernement… »
Le 14 juillet il y avait sept incarcérés en tout, mais aucun prisonnier politique. Quatre détenus de droit commun furent libérés par la populace au milieu des réjouissances, et réincarcérés par la suite. Deux fous, dont un Anglais qui fut porté en triomphe puis renfermé à l’asile de Charenton ; l’autre fou étant transféré cinq jours plus tard dans le même asile d’aliénés. Le septième interné était un jeune noble du Languedoc, dévoyé et débauché, enfermé provisoirement à la demande de sa famille, qui s’empressa de disparaître.
Les “vainqueurs de la Bastille”
La garnison était composée de 82 invalides de guerre, avec un renfort récent de 32 soldats. Le soir du 14 juillet, ces militaires sont menés sous escorte à l’hôtel de ville proche. En chemin, les menaces et les injures pleuvent sur eux. Le gouverneur de la Bastille est assassiné en cours de route. On confie le soin de décapiter son cadavre à un boucher, qui s’escrime d’abord avec un sabre qu’on lui a tendu, mais doit finir à l’aide de son couteau de poche. La tête fixée au bout d’une pique est promenée à travers la ville pendant deux jours. Trois officiers et trois invalides sont également mis à mort par la populace. Les auteurs de ces forfaits se déclarèrent « vainqueurs de la Bastille ».
Près d’un siècle après, la IIIe République décide d’en faire la fête nationale de la France, que les Américains appellent le « Bastille Day » (le jour de la Bastille). À partir du 14 juillet 1880, cet épisode particulièrement sanguinaire de la Révolution – cette émeute dont l’anniversaire fut déjà stupidement célébré en 1790 sous le nom de Fête de la Fédération – devient la fête nationale avec la paradoxale obligation de service pour les militaires de parader à cette occasion.
Une autre date
Il convient de fixer une autre date plus convenable comme fête nationale française. Pour une personne, un groupe humain, une institution, le choix d’une fête annuelle principale peut se porter sur la date de sa naissance ou celle établie dans le calendrier au nom de son saint patron.
Or, il est infaisable de donner une date précise de naissance à la France, en raison de la multiplicité des indications historiques pouvant être retenues, sans compter les tentations de parti pris immanquables. D’un point de vue purement nationaliste, la référence à Jeanne d’Arc serait la plus favorable. Mais alors la controverse, sans conclusion indiscutable, porterait sur la priorité d’une date sur les autres : sa naissance le 6 janvier (jour de l’Épiphanie et fête des rois), la délivrance d’Orléans le 8 mai (fête de la « victoire » de 1945), la solennité religieuse le 30 mai (jour de sa mort-sacrifice), le deuxième dimanche de mai (date flottante adoptée en 1920 par la IIIe République).
Le 15 août, fête de la France
D’où, la préférence pour l’établissement de la date du 15 août comme jour de la fête nationale des Français. Avec l’avantage incomparable d’être déjà une fête légale, la principale fête patronale de la France, la célébration de la Saint-Napoléon, la commémoration de la grande manifestation réparatrice du 15 août 1989 à Paris en réponse au bicentenaire officiel du 14 juillet 1789.
À la place d’un anniversaire de guerre civile, dont le symbolisme est plus que douteux, le choix de la date du 15 août paraît le mieux approprié comme journée de fête nationale. C’est la solennité de la fête populaire de l’Assomption qui depuis cinq siècles a un caractère national en France. Les Français non reniés se doivent de reconnaître le 15 août – déjà fête légale et principale fête patronale de la France – pour véritable fête de toute la nation française à célébrer dans la joie, la liesse et la ferveur.
Pierre SIDOS
Disons que le 14 juillet est devenu la fête de la NON-INDEPENDANCE NATIONALE
Comme le 4 juillet aux USA.
Personnellement , cette pseudo-fête « nationale » est plutôt un jour de deuil qu’un jour de fête.. Clovis, Cette mystification autour de la prise de la prise de la Bastille, qui (soit-disant) marque l’avènement de leur ripoublique, avec leurs cortèges de mensonges & de massacres ne devrai pas être notre fête Nationale. Il y aurait pourtant d’autres éxemples dans notre histoire qui pourraient mieux la symboliser, pensons à 732 avec Charles Martel, au baptême de Clovis, à Sainte Jeanne d’Arc, et tant d’autres … 14 Juillet? NON MERCI ! Qui Vive ? FRANCE !!
14 juillet fête de la subversion de l’inversion et de la perversion:
LIBERTE: en abolissant les transcendantaux qui mènent au Créateur: le Beau, le Bien le vrai, place au laid, au mal (le vice = la vertu) aux mensonges.
EGALITE: non plus en tant qu’hommes mais en tant qu’individus, ce qui est un sophisme éhonté
FRATERNITE: grâce au socialisme qui a la particularité d’être généreux avec l’argent du peuple pour gaver les agents ripoublicains et les parasites de l’anti France et bientôt le communisme dont la spécialité est de voler les montres pour pouvoir ensuite vous donner l’heure.
Fête nationale et pourquoi pas la victoire de Vouillé en 507, Clovis se rendra ensuite à tours pour rendre hommage au patron de la France Saint Martin puis à Poitiers pour honorer saint Hilaire (qui avec saint Athanase furent les deux évêques de la chrétienté à combattre l’hérésie d’Arius), puis il permit la mixité c’est à dire le mariage entre Celtes, gallo-romains, Wisigoths, Ostrogoths, Burgondes à condition d’être catholiques, il en sera de même pour les tribus vikings qui devinrent les Normands. Ces peuples étaient en puissance (la matière), le catholicisme fut la forme (l’acte). Quand aux juifs, ils se renfermèrent dans le Talmud de Babylone, trois siècles plus tard c’est d’abord à Toulouse puis à Poitiers que les rêves de conquête des musulmans furent brisés. Poitiers un jour, Poitiers toujours.
Non, il n’y a pas de saint Napoléon au calendrier des saints. Ce prénom est une contraction d’Apollon.
Mettre sa « fête » le 15 août est une parodie blasphématoire de la fête de l’Assomption de Notre Dame utilisée pour la gloire d’un homme qui sema les loges maçonniques et propagea la peste révolutionnaire dans toute l’Europe et fît tout ce qu’il pût pour parachever la destruction de la société catholique en faisant semblant d’en conserver les apparences.
En appeler à Bonaparte et en appeler à Mr De Gaulle reviennent à chasser le diable par Belzébuth.
J’assistais , le soir du treize juillet et dans une ville du 92 , au feu d’artifice traditionnel. À la fin du spectacle, une musique orientale fut diffusée, certaines femmes commencèrent à émettre les fameux « youyous « Que nous connaissons tous mais elles arrêtèrent rapidement comme prises de honte. Elle ont dû se souvenir que la révolution française a eu lieu avant leur arrivée. Le message politique était de la part des élus : « ce feu d’artifice est dédié aux m. S m s « . Les JO sont aussi dédiés à ces populations et sur le sol français. Le but de ces politiques est de « placer » ces gens au-dessus des Français pour les humilier en les privant de cette NORMALITÉ indispensable à leur équilibre mental. Les O…rd..ures .! Ces politiques aiment scandaliser les Français .