QU’EST-CE qu’un policier doit-il faire pour être décoré par le ministre de l’Intérieur ? C’est simple. Tuer un assaillant tentant d’incendier une synagogue. Alors qu’un policier qui se sert de son arme est systématiquement mis en accusation, et avec quel acharnement (que l’on songe à l’affaire Nahel !), quand il s’agit de protéger un bien juif, le policier qui tire et qui tue est un héros qui doit être décoré sans tarder. De même qu’il existe pour l’armée sioniste un permis de tuer les Palestiniens, femmes, enfants et vieillards compris, à Gaza, de même les policiers français, mobilisés 24 heures sur 24 pour protéger les écoles et lieux de culte juifs, car, nous répète-t-on, les juifs forment l’avant-garde de la République (ce qui veut dire que tous les autres sont dans le wagon de queue ou le train à bestiaux !), peuvent-ils faire usage de leur arme, sans se poser de questions et sans spéciales précautions, quand il s’agit de défendre les biens juifs. Ainsi, le vendredi 17 mai au matin, un policier tuait à bout portant un homme de 29 ans de nationalité algérienne, armé d’un couteau, en situation irrégulière, sous obligation de quitter le territoire français, et qui, semble-t-il, tentait, avec un engin incendiaire, de mettre le feu à la synagogue de Rouen (les dégâts matériels sont toutefois insignifiants, seuls les murs sont noircis), en tirant à cinq reprises sur lui, pas moins, et donc en l’atteignant mortellement. Quatre des cinq balles ont en effet touché directement l’assaillant. Manifestement le policier n’a pas fait dans le détail, si j’ose dire.
Trois jours plus tard, ce fonctionnaire, célébré comme un héros (il luttait à sa manière contre l’antisémitisme, comme Tsahal en bombardant et en rasant Gaza !), était décoré par Gérald Darmanin en personne. Cette fois-ci, contrairement à ce qui s’est passé pour Nahel, pas de longue enquête de la police des polices, pas de prison préventive pour le policier qui a tiré, pas de mise en examen pour homicide volontaire. Non, le policier a protégé une synagogue où il n’y avait absolument personne (les faits s’étant déroulés entre 6h45 et 7h du matin le vendredi 17 mai) et où les dégâts matériels sont quasiment nuls en tuant avec son arme un homme muni d’un couteau et d’une barre de fer mais sans arme à feu. La police française saura désormais, si toutefois elle l’ignorait jusque-là, que lorsqu’il s’agit de protéger tout ce qui a, de près ou de loin, un caractère juif, le concept de légitime défense, tout à coup, reprend tout son sens et connaît même une extension infinie.
PUISQUE L’ON PARLE de mort, comment ne pas évoquer le projet de loi sur l’euthanasie, qui était déjà horrible tel que rédigé par le gouvernement, et qui a été encore considérablement aggravé par la commission spéciale de l’Assemblée nationale ? Les députés ont en effet fait sauter tous les prétendus garde-fous du « projet de loi sur l’aide à mourir ». Alors qu’un grand nombre de soignants se sont mobilisés ces derniers mois pour réclamer que l’euthanasie ne soit pas considérée comme un soin, ce qui est en effet une violente contradiction dans les termes, les députés ont voté à main levée dans la nuit du 17 au 18 mai, un jour avant la grande fête chrétienne de la Pentecôte, pour l’introduction de l’aide à mourir dans le code de la Santé Publique, preuve que ce n’est pas l’Esprit Saint, mais l’esprit du Malin qui les guide. « En moins de cinq jours, ils ont davantage élargi l’accès à la mort provoquée que ne l’ont fait les deux pays les plus permissifs sur l’aide à mourir, la Belgique en 22 ans et le Canada en 8 ans », s’est émue lundi 20 mai la société française de soins palliatifs. Le gouvernement a sciemment ouvert la boîte de Pandore en introduisant un droit au suicide assisté et désormais toutes les folies sont possibles et risquent de se produire très rapidement. La mort rôde et elle va faire des ravages.
Le projet de loi, encore aggravé par les députés, est un basculement effrayant qui a une dimension anthropologique vertigineuse. Comme pour la loi Veil légalisant l’avortement, on détricote toutes les conditions et limitations, certes hypocrites et de pure forme, qui avaient été prévues initialement par le législateur pour mieux faire passer la pilule et obtenir le vote positif d’une majorité absolue de parlementaires. Pour l’avortement, on a ainsi graduellement supprimé la condition de détresse, l’entretien préalable, on a allongé à deux reprises la durée pendant laquelle l’avortement pouvait être légalement pratiqué (en passant de 10 à 12 semaines, puis de 12 à 14 semaines de grossesse), on a créé un délit d’entrave à l’IVG et même un délit d’entrave numérique, on a fait de l’IVG un droit fondamental qui a même été gravé dans le marbre constitutionnel en mars dernier.
Eh bien pour l’euthanasie et le suicide assisté, on procède exactement de la même façon, mais en accéléré. Là où le projet de loi gouvernemental envisageait une « aide active à mourir » dans le cadre d’une maladie où « le pronostic vital était engagé à court ou moyen terme », ce qui était déjà très vague et fort permissif, les députés ont défini, dans le texte qu’ils ont adopté, que l’euthanasie et le suicide assisté seront possibles « en phase avancée ou terminale » d’une maladie. Mais que veut dire « un stade avancé » ? On nage en plein subjectivisme. Avec un critère aussi large et aussi imprécis, on se dirige inexorablement vers une mise à mort industrielle.
MAIS IL Y A PIRE encore que cette disposition scélérate. De même que le Parlement a voté en 1993 un délit d’entrave à l’IVG (loi Neiertz), de même les députés ont-ils décidé d’introduire un nouveau délit dans le code pénal, le « délit d’entrave à l’aide à mourir ». Dans quel monde orwellien vivons-nous ! Ce délit, tenez-vous bien, sera puni d’un an de prison ferme et de 15 000 euros d’amende. Il s’appliquera au médecin ou à l’entourage du patient qui essaiera de dissuader ce dernier de mettre fin à ses jours. Inutile de dire qu’avec une telle innovation législative, personne ou presque, de crainte d’aller en prison et de devoir payer une amende astronomique, n’osera décourager un patient qui est tenté d’en finir de renoncer à son projet mortifère en lui faisant valoir que la vie vaut quand même la peine d’être vécue, que demain est un autre jour, que les souffrances que l’on croit insupportables finissent toujours par s’apaiser avec le temps, qu’il n’est rien de plus consolant que d’aimer et d’être aimé et qu’il faut s’accrocher à la vie, reçue de Dieu, et aux siens tant il est vrai que sans Dieu et sans l’aide d’autrui nous ne sommes rien, nous ne pouvons rien.
L’intention du législateur qui ose parler hypocritement d’« humanisme compassionnel » est claire : il faut que les vieux et les malades débarrassent le plancher, et plus vite que cela. Et ce à la fois pour des raisons économiques et pour des motifs idéologiques. Les raisons économiques, c’est que les soins prodigués en fin de vie coûtent très cher à la collectivité, même si certains en profitent (à commencer par les EHPAD, les laboratoires pharmaceutiques, etc.) Réduire massivement le nombre des retraités est un calcul économique effrayant moralement mais d’une froide (et inhumaine) rationalité. Mais le plus important sans doute est ailleurs. C’est la raison idéologique. La franc-maçonnerie, très puissante et influente au sein du Parlement français, milite depuis fort longtemps pour le prétendu « droit de mourir dans la dignité », c’est-à-dire en clair pour l’euthanasie et le suicide assisté. C’est en effet une revendication très ancienne des loges. Il s’agit dans un orgueil prométhéen et dans une logique transhumaniste de nier que Dieu soit le maître de la vie et de la mort. Et dans une société aussi déspiritualisée et déchristianisée que la nôtre, il est hélas à craindre que l’euthanasie, que Jacques Attali appelait de ses vœux dès le début des années 1980 — dans son livre publié en 1981 aux éditions Seghers, L’Avenir de la vie, il écrivait ainsi : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures. » — ne se répande comme une traînée de poudre dès qu’elle sera légalisée. Ce qui arrivera dans quelques mois, selon toute vraisemblance, puisqu’il existe à l’Assemblée une large majorité pour voter une telle désastreuse innovation législative. N’oublions pas que la loi contribue efficacement à bouleverser les mœurs et les mentalités. Et bien plus vite qu’on ne le croit.
A LA constitutionnalisation d’un prétendu droit à l’avortement vont donc bientôt s’ajouter un droit à l’aide active à mourir et un délit d’entrave à l’euthanasie. On le voit une nouvelle fois d’une manière spectaculaire : leur République est essentiellement criminelle et satanique. Née du crime, elle se perpétue dans le crime. Elle s’en repaît. Elle s’en lèche les babines. Elle s’en prend aux deux bouts de la vie, aux enfants à naître éliminés, aux vieillards euthanasiés, bref à toutes les personnes vulnérables et fragiles. Et quand aux autres, les survivants, ils subiront, dès la plus tendre enfance, la perpétuelle propagande holocaustique, homosexualiste et transexualiste visant à les culpabiliser, à en faire des citoyens arc-en-ciel, à détruire leur corps et leur âme, à pervertir leur intelligence, à détruire leur conscience, à annihiler leur sens moral, à dévaster tout leur être jusqu’à son intimité la plus profonde. Qui peut encore sérieusement douter aujourd’hui que nous vivons pleinement des temps apocalyptiques, eschatologiques et antéchristiques ? […]
RIVAROL, <[email protected]>
Source : Éditorial de Rivarol
Jésus n’avait d’ailleurs pas prophétisé un incendie à la synagogue de Rouen, mais
La prophétie du Temple détruit est stable (malgré Julien l’Apostat)
https://1000raisonsdecroire.com/la-prophetie-du-temple-detruit-est-stable-malgre-julien-lapostat
Aujourd’hui, mille raisons de croire parle d’événements miraculeux qui rendirent impossible, pour l’empereur Julien l’Apostat de rebâtir le Temple de Jérusalem, en mai 263.
Jésus a annoncé que Jérusalem sera « piétinée par les païens jusqu’à ce que leur temps soit accompli » (Lc 21,24). Cette prophétie a été consignée dans les Évangiles : elle exprime que les juifs ne retrouveront pas le contrôle de Jérusalem tant qu’il y aura des nations sur Terre. Cette prophétie s’est réalisée depuis 1 700 ans. Et ce, bien que l’empereur Julien l’Apostat ait tenté, au IVe siècle, de la faire mentir en rebâtissant le Temple de Jérusalem, en ruine depuis près de trois siècles. Les travaux ont dû être arrêtés subitement en mai 363, à la suite d’événements étonnants qui survinrent consécutivement du 18 au 20 mai 363. Le projet de reconstruction du Temple de l’empereur avorta de manière singulière et spectaculaire.
Les raisons d’y croire
Il y a eu d’abord une violente tornade, le 18 mai 363 ; puis un tremblement de terre, dans la nuit du 18 au 19 mai. Des boules de feu brûlèrent les ouvriers dans la journée du 19, et des croix apparurent sur leurs vêtements durant la nuit suivante.
Ces événements sont historiques et spécialement bien documentés par douze sources différentes (et fiables) de l’époque – aussi bien des saints que des historiens, des chroniqueurs ou des fonctionnaires romains :
Ammien Marcellin, historien de grande valeur, ami de l’empereur (Res Gestae, livre 23, chapitre 1) ;
Un haut fonctionnaire, Alypius d’Antioche, chargé de superviser les travaux ;
Saint Jean Chrysostome (Homélie contre les juifs, 5, 11) ;
Saint Ambroise de Milan (Lettre 40, no 12 ; PL 16, 1152) ;
Saint Grégoire de Naziance (Oratio V, 4) ;
Saint Éphrem (Hymne I contre Julien ; Zeitschrift für katholische Theologie, 1878, p. 339);
Saint Cyrille de Jérusalem (Contra Christianos, dans saint Cyrille, IX ; Neumann, p. 219 à 230) ;
Rufin d’Aquilée (Histoire ecclésiastique, PL 21, 505) ;
Socrate de Constantinople (Histoire ecclésiastique, 1, 3, ch. 20) ;
Sozomène (Histoire ecclésiastique, 1, 5 ch. 22) ;
Philostorge (Histoire de l’Église, 7, 9) ;
Théodoret de Cyr (Histoire ecclésiastique, 1, 3).
Malgré les moyens humains et les sommes considérables investis pour mener à bien la reconstruction du Temple, le projet avorta, si bien que la prophétie resta donc, jusqu’à nos jours, accomplie telle que le Christ l’avait annoncée.
–> pour le temple de Jérusalem, peut-être, mais « ils » contrôlent le reste du monde, alors …
Bourbon a vraiment raison de revenir sur ce projet de loi scélérate pour le fustiger, nonobstant ce ton de catholique exalté, qui est d’un mauvais goût insigne et pas toujours très audible en 2024. Il faut relire son très bon édito du 10 avril 2024 sur le suicide assisté, vers la mort industrielle. Il est salutaire et de salut public, il était nécessaire de rappeler tout ce qu’il a dit. C’est la vie qui est difficile et tragique: si l’on commence à vouloir mourir à chaque mécompte souffert, à chaque contrariété, à chaque période difficile de notre vie, on ne va plus en finir.
Recensons ce que les Anciens ont dit, scrutons leurs paroles, examinons ce qui est éternel, ce qui a été éprouvé comme vérité.
L’hellénisme avait déjà tout dit, les Grecs ont très bien décrit la condition humaine, elle est impitoyable et tragique.
Homère dans l’Iliade, le premier monument de notre race comme disait Brasillach dans son anthologie de la poésie grecque, fait dire à Zeus au chant XVIII, 446 : « rien n est plus misérable que l homme entre tous les êtres qui respirent et marchent sur la terre ». Achille au chant XXIV sera encore plus définitif, vers 524-526: « On ne gagne rien au plaintes qui glacent les coeurs, puisque tel est le sort que les dieux ont filé au pauvres mortels : vivre dans le chagrin, tandis qu’eux demeurent exempts de tout souci ».
Theogonis au VIe siècle avant notre ère et Sophocle dans Œdipe à Colonne au Ve siècle avant notre ère se récrieront avec colère (réflexion sublime également qui contient en partie la vérité de la vie et que reprendra Schopenhauer qui en fera la base de sa philosophie) : « Le mieux pour les hommes ici-bas est de ne pas naître… ou une fois nés, de franchir au plus tôt les portes de l’Hadès ».
La grandeur des Grecs de l’époque préclassique et du début de l’époque classique est que, s’ils ont maudit la vie, comme dit Paul Mazon à son introduction à l’édition de l’Iliade, jamais ils ne l’ont méprisée, jamais ils n’ont pensé qu elle ne valût pas la peine d être vécue. Au contraire, s’il n y a rien pour l homme au-delà de ce monde, sa seule raison d être, c’est sa vie. L’amour de la vie devient alors principe d’héroïsme, on apprend à placer la vie assez haut pour la sacrifier à la gloire qui la perpétuera, conclut Paul Mazon. Le christianisme est cependant heureusement venu ensuite et il a modéré ce désir de gloire. Il ne nous interdit pas d’aimer la vie comme les païens, mais ne fait pas ensuite de la gloire le sens de la vie. Il faut la mener en toute humilité. La gloire est annexe si on a quelques talents, quelque vertu et il n’est même pas sûr encore que l’on soit ici récompensé.
Ce nonobstant, la réflexion des Grecs est indépassable sur la condition humaine, elle est lucide et tragique. On ne sait plus du tout ce que signifie le tragique aujourd’hui, c’est la vie tout simplement.
Schopenhauer et Nietzsche ont fait leurs ces réflexions et ont essayé de faire du tragique justement la meilleure philosophie de la vie, étant donné que le christianisme promettait tant et ne donnait rien sur le plan terrestre. On l’entrevoit moins chez Schopenhauer, mais c’est fondamental chez Nietzsche, son surhomme n’a rien à voir avec le surhomme vulgaire, c’est simplement l’homme qui aime la vie, la désire, la veut (amor fati), partant le tragique, dans un monde dépourvu d’arrière-mondes consolateurs.
Il faut vivre jusqu’au bout et aimer la vie, car elle est belle malgré tout, cette loi risque derechef d’ouvrir une boîte de Pandore où les pires abus risque de connaître une fortune insoupçonnée.
« Ils » détruise notre peuple par l’avortement, le LGBTisme, le métissage à marche forcé (souvenons-nous des propos de Sarközy sur ce sujet), la prolifération délibérée de la criminalité étrangère (contre les autochtones) … & maintenant l’euthanasie et le suicide assisté ! Tout est voulu & programmé pour notre extinction.
La « thérapie de conversion » par des mots sur des adultes est une infraction pénale mais l’empoisonnement et la mutilation des enfants pour les encourager à changer de sexe est encouragée.