L’équipe de Jeune nation souhaite à tous ses lecteurs un joyeux Noël. Qu’en ces temps de guerre menée contre notre peuple et notre terre, chacun trouve un peu de repos et de paix avec les siens.
En cette nuit de réveillon, nous aurons une pensée pour tous ceux qui en seront empêchés, en mission à l’étranger, pour les personnes mobilisées dans les services d’urgence et tous ceux qui travaillent, dans cette société où ni les dimanches ni les jours de fête n’ont plus de signification désormais.
Mais eux au moins, demain, bientôt, pourront retrouver leurs familles. Tout particulièrement, nos pensées vont ce soir à ceux qui ne le pourront pas, à tous les militants nationalistes emprisonnés à travers le monde, parfois pour de très longues peines.
Aujourd’hui, moins qu’aucun autre jour, nous n’oublions pas les prisonniers politiques d’Allemagne, Wolfgang Fröhlich (enfermé depuis sept ans et demi), maître Horst Mahler (prisonnier depuis bientôt six ans), Axel Möller (incarcéré depuis plus de trois ans), et Gerd Ittner (privé de liberté depuis bientôt trois ans), tous emprisonnés pour s’être élevés contre les mensonges qui gangrènent l’Allemagne et l’Europe. Nous pensons à Ernst Zündel, empêché depuis bientôt cinq ans de rentrer chez lui en Amérique du Nord après avoir passé sept années en prison au Canada, aux États-Unis puis en Allemagne.
Nous n’oublions pas Maxim ‘Tesak’ Martsinkevich, détenu pour avoir démasqué un pédocriminel et voulu alerter son peuple contre le multiculturalisme, ni les nombreux prisonniers dans les prisons de l’est de l’Europe.
Nous n’oublions pas Josué Estébanez, ce courageux patriote espagnol, enfermé depuis plus de sept années pour avoir résisté à un gang de criminels rouges armés qui l’attaquaient, à cinquante contre un, ni les nombreux Européens dans ce cas, enfermés pour s’être défendus contre les agressions d’étrangers, pour avoir défendu leur famille, leur vie, leur terre.
En ce soir de Noël, nous n’oublions pas les prisonniers politiques de Grèce, qui subissent une violente répression, en particulier les huit députés de l’Aube dorée (XA, Χρυσή Αυγή) détenus pour la plupart depuis quinze mois : Nikolaos Michaloliakos, chef du mouvement nationaliste, Ilias Kasidiaris, son porte-parole, et les députés Giorgos Germenis, Panagiotis Iliopoulos, Artemis Matthaiopoulos, Christos Pappas, Yiannis Lagos et Nikos Kouzilos. Leur procès pourrait commencer au début de cette année 2015 et la junte pourrait profiter de la crise politique – qu’elle a provoquée – naissante, s’ajoutant à une terrible crise économique, identitaire et morale, pour juger et faire condamner discrétement les huit principaux cadres du seul mouvement qui s’oppose aujourd’hui en Grèce aux financiers internationaux, à l’invasion, aux juges et aux politiciens corrompus.
Comme tant d’autres avant eux, malgré les mensonges, les coups, la dureté de la détention, tous restent solidaires. Le seul traître du groupe a déjà obtenu le prix de son crime : il vient d’être libéré. Qu’il n’oublie si ce soir, alors que leurs républiques agonisent, nous récitons Robert Brasillach, demain, nous chantons Les Lansquenets…
Paysage de prison
Voici nos biens qui surgissent des brumes,
Voici Paris dans la nuit qui s’allume.
Voici la ville où dorment nos trésors.
Tout est caché derrière les barreaux,
Les arbres roux sont ceux du parc de Sceaux.
Ceux que l’on aime y respirent encor.
Comme un signal au bout de la jetée,
Comme un fanal sur le phare agité,
Voici la Tour, grande fille de fer.
Elle surmonte au-dessus des nuages
Nos diamants, notre or et nos images,
Les cargaisons englouties depuis hier.
Ô ma jeunesse au fond de ce brouillard,
Reviendras-tu avant qu’il soit trop tard
Pour conjurer les tempêtes encor ?
Ce n’est qu’à toi que je crois et confie
En cet automne où court sans fin la pluie
Mon pauvre cœur menacé par la mort.
Robert Brasillach, assassiné par leur République, le 6 février 1945.
Joyeux et saint noel a tous et toutes que dieu vous guide-amitiees nationalistes-charpentier jf