Les propos ignominieux de Laurence Rossignol – « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents » –, prétendant arracher les enfants à la cellule fondamentale et fondatrice qu’est la famille, ont été largement diffusés ces derniers mois. Certains ont repris cette phrase et l’ont parachevée par ce qui apparaît être la pensée de l’auteur : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’État ».
La sénatrice socialiste a menacé de poursuites judiciaires ceux qui relayent cette citation. Les journalistes-prostitués du système ont lancé depuis mercredi une large offensive de soutien et aux côtés de la sénatrice nostalgique des plus effroyables pratiques totalitaires, pour décrédibiliser les opposants à l’introduction de cours d’éducation sexuelle à la maternelle et la généralisation de l’idéologie du genre.
C’est le cas typique des désinformateurs d’Arrêt sur image. Dans un article intitulé « “Les enfants appartiennent à l’État”, la fausse citation d’une sénatrice », le site de Daniel Schneidermann prétend prouver la fausseté de la citation en utilisant un titre mensonger qui exclut la première partie de la citation, que personne ne dément et dont la violence se suffit à elle-même. Tout au plus, si ces pseudos journalistes mais véritables militants politiques ultra-libéraux étaient honnêtes, ils pourraient dire que la citation « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ils appartiennent à l’État » attribuée à Laurence Rossignol est une extrapolation de sa pensée.
Mais cette mini-polémique est bien vaine au regard de l’horreur des propos de l’élue de la République. La vérité est bien pire que cette citation extrapolée : lors de cette même soirée, sur le plateau de France 3, un intervenant, réagissant à ces terribles propos anti-familles, a comparé la sénatrice au criminel Saint-Just et au pire régime que la France ait connu : la Terreur.
À l’issue du monologue de Laurence Rossignol, le journaliste Frédéric Taddéï tente de s’imposer au milieu d’un certain brouhaha durant lequel plusieurs intervenants parlent. Peu à peu le silence revient et chacun peut distinctement entendre un intervenant s’exclamer : « C’est 1793 ! » ; « C’est Saint-Just ! », ce à quoi la sénatrice confirme froidement : « C’est ce dont la France a besoin » (sic).
« La laïcité, c’est ce qui protège l’enfant [sic] et garantit aux enfants les mêmes droits et l’accès aux mêmes valeurs. Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Donc la République doit leur offrir… [elle est coupée]. Chaque enfant doit pouvoir accéder à des lieux qui lui permettront lui-même, ensuite, de faire son choix. C’est le cadre de l’école publique… [brouhaha]
-C’est 1793…
-C’est Saint-Just !
-Écoutez, c’est ce dont la France à besoin aujourd’hui. »
Non seulement la sénatrice PS n’a émis aucune réserve ni ne s’est déclarée horrifiée par un tel rapprochement avec ce régime terroriste, mais pire encore, elle confirme que c’est bien ce genre de dictature totalitaire qu’elle souhaite pour la France : « c’est ce dont la France à besoin aujourd’hui ».
Ces propos ont été curieusement « oubliés » par M. Schneidermann et ses coreligionnaires ; ils sont pourtant par ce qu’ils contiennent bien pires que la citation et prouvent que cette dernière, pour être en partie apocryphe, illustre parfaitement l’état d’esprit de ceux qui poursuivent aujourd’hui une guerre menée depuis plus de 200 ans contre la famille, contre la patrie, contre tout ce qui fonde l’identité française.
Laurence Rossignol est issue des rangs de la Ligue communiste révolutionnaire, la pire organisation subversive active en France ; c’est une pure apparatchik trotzkyste, n’ayant travaillé un seul jour dans sa vie, obtenant un poste de « journaliste » à La Vie ouvrière, journal de la CGT, avant d’intégrer les cabinets de Laurent Fabius, Pierre Joxe ou encore au sein de la MNEF, cette mutuelle étudiante corrompue, où les socialistes plaçaient ses parasites dans des emplois fictifs ou surpayés, et typiquement tous les militants issus du trotzkysme, où elle fut « chargée d’étude ».
Malgré ces faits qui ne laissent aucun doute sur sa pensée, cette digne fille de Robespierre a menacé de porter l’affaire devant les tribunaux :
« Ces propos sont diffamatoires, parce qu’ils associent mon nom et ma pensée à un totalitarisme et aux pires dictateurs donc ils portent atteinte à mon honneur. Ils méritent des suites judiciaires que je compte leur réserver. J’ai l’intention de porter plainte en diffamation contre ceux qui utilisent cette phrase et en font une phrase clé de leur propagande. Je vise l’ensemble des sites et des mouvements qui appuient toute leur argumentation sur cette phrase falsifiée comme le collectif JRE ou Egalité et Réconciliation ».
En guise de conclusion, rappelons que Louis Antoine de Saint-Just fut l’une des plus importantes personnalités de la Terreur – il fut appelé l’Archange de la Terreur – aux côtés de son mentor Robespierre. Toute sa pensée, qui illustre parfaitement celle du gouvernement socialiste, se résume par cette phrase :
« Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé. »
Pas de chance, la fausse rumeur a été démasquée :
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-anti-theorie-du-genre-jouent-l-intox-contre-la-secretaire-d-etat-a-la-famille_1507468.html
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-enfants-n-appartiennent-pas-a-leurs-parents-laurence-rossignol-denonce-une-manipulation_1319338.html
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/monseigneur-di-falco/video-monseigneur-di-falco-a-qui-appartiennent-les-enfants-06-04-2014-1809574_803.php
Pas de chance ? Pour qui ? Pour l’intelligence sans doute… Si vous aviez pris la peine de lire l’article, vous auriez compris que cet article ne parle de cela . Mais merci de montrer combien la gauche est sectaire et fanatique jusqu’au mensonge et à la désinformation.