Les autorités ont confirmé la participation d’au moins un Français renié dans un récent massacre commis par l’État islamique (ÉI). Il s’agit d’un jeune Normand de 22 ans, Maxime Hauchard. À l’issue d’une éducation dans une école catholique, dans une région rurale de la Normandie, il s’est inverti à l’islam à l’âge de 17 ans. Le tueur se fait désormais appeler « Abou Abdallah Al-Faransi » (« Le Français » [sic]). Il avait accordé un entretien à BFM TV il y a quelques mois :
Après un passage par la Mauritanie entre octobre 2012 et mai 2013, il s’est rendu en Syrie en août 2013, alors qu’il était sous la surveillance de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il apparaît dans la vidéo du massacre de 19 personnes diffusée dimanche, 18 militaires syriens et un ancien soldat américain. L’Européen renié figure parmi les assassins de l’ÉI égorgeant les soldats syriens.
Feinte ou non, c’est l’incompréhension qui domine dans le village du Bosc-Roger-en-Roumois. Voisins, amis ou membres de la famille – à laquelle il a menti en prétendant qu’il faisait de « l’humanitaire », personne ne semble comprendre comment un jeune Français, gentil et bien éduqué, a pu renier son peuple, son histoire, son essence pour devenir le mercenaire d’une secte criminelle. Comme si les habitants du Bosc-Roger-en-Roumois n’avaient pas assisté à l’invasion de la France, comme s’ils n’avaient pas vu le matérialisme corrompre chaque jour plus les Français, comme s’ils ne s’étaient pas aperçus de la corruption raciale et morale distillée dans la population par la République, son gouvernement, ses médiats, ses professeurs.
S’ils continuent à détourner le regard des véritables causes de la situation, les habitants sont bien obligés de constater que la situation s’aggrave. Dans le village, deux autres Français reniés s’habillent désormais en djellaba et se laissent pousser la barbe.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour assassinat en bande organisée en lien avec une entreprise terroriste. Un deuxième Français renié a été identifié par certaines sources comme étant l’un des auteurs du massacre, mais les autorités n’ont pas encore confirmé l’information.