Depuis quelques jours, Mathieu Guidère enchaîne les plateaux télés, les entretiens donnés aux journalistes de radio ou à la presse écrite. Il avait fait son apparition dans l’émission C dans l’Air sur France 5 il y a quelques mois. Après une première vague lors de la libération du dernier otage français, Serge Lazarevitch, le drame de Sydney lui a offert une tribune dans de nombreux médiats.
Présenté comme un universitaire “français”, ce Tunisien était le précepteur du fils de l’émir du Qatar Hamad Ben Khalifa al Thani alors que ce dernier était à Saint-Cyr. Ce même Qatar qui investit massivement en France, dans les médiats comme dans le patrimoine immobilier, et qui a obtenu le soutien et la complicité des plus hautes autorités de leur République.
À l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, il fut professeur résident. Durant le règne de l’UMP, il fut nommé directeur du Laboratoire d’analyse de l’information stratégique et de veille technologique au Centre de Recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (CREC).
Par ses appuis ou son talent, il a obtenu des postes et promotions dans diverses universités (Lyon II, Genève, Toulouse). Il est désormais professeur au sein de l’université Toulouse II-Le Mirail, au cœur des quartiers occupés de la Ville rose.
Il est accusé par certains sites d’être moins un islamologue qu’un agent du Qatar. Cela expliquerait pourquoi, depuis la prise d’otage de Sydney, l’individu s’est employé à minimiser voire nier les faits, insistant sur le fait que les véritables victimes seraient les islamistes, et stigmatisant les saines (mais rares) mesures prises par l’Australie dans le cadre de la lutte contre les terroristes islamistes, insultant les Australiens et leur attribuant des réactions qu’ils n’ont – hélas – pas.
Il est beaucoup plus probable que Moïse Couder soit un agent du mossad…