La scène se déroulait durant l’hiver 2013, à Vigneux-sur-Seine, en Île-de-France occupée. Ce jour-là, deux racailles cherchaient une proie. Ils la trouvèrent en la personne d’une septuagénaire qui se trouvait dans sa voiture. Ils l’agressèrent violemment, se ruant dans l’habitacle puis la jetant à terre dans la rue, avant de s’enfuir avec son véhicule. Outre le traumatisme moral et le vol matériel, cette Française avait été blessée sérieusement, obtenant une incapacité totale de travail de 21 jours pour une blessure à l’épaule.
Les deux criminels, dont les médiats ont tu les noms comme l’appartenance ethnique, ont été retrouvés quelques jours plus tard par les policiers. L’affaire dès lors aurait dû se conclure rapidement : jugement, condamnation, prison ou bagne et déportation immédiate des familles concernées.
Mais heureusement pour les criminels étrangers, Christiane Taubira et ses juges rouges veillaient au « respect » des « droits » des criminels.
D’abord, les faits ne furent jugés que 21 mois plus tard, un laps de temps durant lequel les deux criminels ont été laissés en liberté. Et quand ils furent jugés, c’est un scénario incroyable qui se déroula à l’audience. Interrogé sur les motifs de leur agression violente, le tribunal correctionnel se contenta de la réponse suivante donnée par l’une des deux individus :
« [On s’est] motivés l’un et l’autre, pour le fun. J’avais vu ça à la télé. »
Comme le nota, réjoui, Le Parisien :
« Tous deux ont été remis en liberté »
Le plus âgé des deux agresseurs a écopé tout de même de quelques mois de prison, une peine totalement assortie de sursis, et a été condamné – mais ce ne sont certainement pas ces juges rouges qui l’obligeront à le faire – à indemniser la Française agressée. Ce n’était évidemment pas un juge rouge ou un politicien corrompu que les racailles avaient choisi pour cible, mais une citoyenne pauvre, roulant dans une petite Clio.
Cela explique le jugement de leur République en guerre contre notre peuple et leur justice, créée pour protéger les puissants. Un signal fort envoyé aux criminels n’aurait pourtant pas été superflu : dans le secteur de Vigneux-sur-Seine, en 2012, furent commis 571 vols de véhicules, 308 cambriolages, 299 agressions violentes, 14 viols et agressions sexuelles, 9 braquages à main armée et 3 meurtres ou tentatives de meurtre – pour les seuls faits qui donnèrent lieu à un dépôt de plainte. Des chiffres ressemblant à des scènes ordinaires d’une journée à la télévision…
Rien de grave pour les juges du système vivant bien à l’abri dans des quartiers surprotégés.
Aux états unis les noirs ont demandé des policier blanc, je demande la même chose une ministre française catholique blanche (non maçonne si possible). Foutons les délinquants dehors ou en prion !!!!