Après les tirs à la kalachnikov en pleine rue, en pleine journée, en plein centre-ville, contre des policiers lundi, jour où il était justement présent à Marseille, Manuel Valls a « condamné » les faits, les jugeant « inacceptables » (sic). Une réaction qui a dû effrayer les dizaines de milliers d’étrangers qui vivent des trafics dans la ville. Il a par la suite répété sa rhétorique marxiste et laxiste à l’endroit des étrangers « victimes » des « ghettos ».
« Cela fait 30 ans qu’on fait ça, tous les gouvernements l’ont fait avec la même bonne volonté. Mais on sent bien maintenant qu’il faut passer à un autre stade, sinon tout va [sic] exploser, notamment dans ces quartiers populaires »
a-t-il prétendu, affirmant vouloir « casser les ghettos ». Après s’être intéressé aux occupants, il s’est occupé de l’autre partie de son électorat, prenant bien soin de continuer à ignorer les Français.
« Les gens dans un certain nombre de quartiers qui se sentent indésirables. […] »
a-t-il lancé depuis le Camp des Milles, avant de se sentir obligé de préciser que la situation de la France renaissante de 1941 n’était pas celle de la France corrompue et envahie de 2015 :
« Si on mélange tout, si tout est mis sur un même pied d’égalité, on ne s’en sort pas. […] Mais faire ce constat ne veut pas dire qu’on ne reconnaît pas qu’il y a des problèmes graves et lourds dans un certain nombre de quartiers populaires. […] Il ne faut pas se mentir, c’est un problème de très longue haleine. »
Signe de l’impunité totale dont jouissent les occupants, une cache d’armes contenant sept kalachnikovs et plusieurs kilos de drogue a été découverte près des lieux de la fusillade. Il n’y a eu aucune interpellation. Dans la cité envahie, un trafiquant peut gagner 100 000 euros par mois : il ne lui faudrait, seul, que quelques jours pour reconstituer son stock d’armes et de drogues.