Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCNUR, dit HCR), les demandes d’asile vers les pays industrialisés ont explosé en 2014 pour atteindre 866 020, contre 596 660 en 2013 (+45 %), et 488 020 en 2012. Depuis cinq ans, la hausse est continue. Il y a eu en 2014 près de 2,5 fois plus de demandes d’asile que cinq ans plus tôt en 2010, à une époque où déjà les pays riches étaient submergés par l’immigration-invasion et de prétendues demandes d’asile, fausses pour l’immense majorité des colons.
Ce phénomène tragique touche quasi exclusivement l’Europe, qui est la seule zone à être massivement touchée : sur les 866 020 « demandeurs d’asile » dénombrés en 2014, 714 260 ont choisi l’Europe, contre à peine 150 000 le reste des pays industrialisés : États-Unis – pourtant en grande partie responsables de la prolifération des véritables demandes d’asile par sa politique de déstabilisation systématique –, Canada, Australie et Japon. En Australie et en Nouvelle-Zélande, les chiffres sont même en forte diminution en un an (-23 %, soit désormais moins de 0,5 demandeur d’asile pour 1 000 habitants).
Jamais un tel niveau n’avait atteint depuis 1992 et les guerres liées à l’effondrement du bloc communiste. Mais depuis, la situation a radicalement changé : d’une part, de nombreux réfugiés étaient alors Européens, blancs et chrétiens. Ils ne cherchaient pas des sociétés à parasiter, mais à refaire leur vie loin de la guerre. Surtout, ils demandaient asile à des sociétés encore capables d’absorber une immigration non choisie où la crise n’avaient pas atteint le degré de gravité connu aujourd’hui. Plus encore, ils choisissaient des sociétés culturellement et socialement proches des leurs qui n’étaient pas touchées par l’invasion de masse qui a depuis contaminé et déstabilise toute l’Europe.
La France demeure l’une des destinations favorites, mais elle est désormais dépassée par l’Allemagne, la Suède et l’Italie. La dégradation de la situation économique et sociale en France, notamment sous le poids des précédentes arrivées, explique que les nouveaux colons choisissent désormais de préférence des pays en meilleure santé. Par rapport à la population, c’est actuellement la Suède qui subit la plus grosse attaque avec 24,4 demandeurs d’asile pour 1 000 habitants, devant Malte, le Luxembourg, la Suisse et le Monténégro.