Les chiffres inquiétants des JDC
Après plusieurs années de baisse, les chiffres de la consommation de drogue chez les adolescents de 17 ans retrouvent des sommets catastrophiques. Se fondant sur les questionnaires anonymes remplis par plus de 22 000 personnes lors des journées Défense et citoyenneté (JDC) en mars 2014, l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) montrent une aggravation des problèmes liés à cette problématique identique à la hausse de la consommation d’autres substances néfastes comme le tabac ou l’ingestion incontrôlée d’alcool.
Selon l’OFDT, 47,8 % des jeunes de 17 ans ont essayé au moins une fois le cannabis (+6,3 en trois ans), tout près d’un plus haut historique constaté en 2003 (50,3 %). La hausse est surtout notable chez les filles (40,9 % en 2000, 38,9 % en 2011, 45,8 % en 2014). La consommation régulière augmente aussi : 38,2 % des jeunes sondés ont déclaré s’être drogué au moins une fois dans l’année contre 34,6 % trois ans plus tôt, 25,5 % une fois dans le mois (contre 25,5 % en 2011), 9,2 % au moins dix fois par mois (6,5 % en 2011), et 4 % quotidiennement (3 % en 2011).
La promotion incessante de la drogue par le système
La consommation de drogue est intensivement promue par certains lobbies, les mêmes qui encouragent l’invasion, le multiculturalisme, le matérialisme, l’individualisme, etc., depuis Le Monde, qui consacrait à la fin de l’année 2014 une édition spéciale promouvant la légalisation de cette drogue, et de nombreux médiats destinés à la jeunesse et jusqu’à plusieurs membres du gouvernement. Le Juif Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale (sic), l’antifrançaise Christiane Taubira – évidemment –, ou encore Cécile Duflot, alors même qu’ils étaient au gouvernement, ont fait savoir leur préférence pour la dépénalisation.
« Il va falloir réunir une commission à l’échelle de l’Europe, comme celle qui vient d’avoir lieu aux États-Unis. Le Portugal est dans la dépénalisation, mais pas tout à fait dans la légalisation. Ça mérite qu’on regarde ce qui se passe au Portugal. Ça mérite qu’on fasse une proposition pour l’Europe entière »
avait de son côté affirmé François Hollande en 2011, qui a validé également la création de salles de shoot. Ces propos et positions sont loin d’être cantonnés à la gauche et l’extrême gauche comme le rappelle le cas de Vénussia Myrtil, éphémère égérie du néo-Front national au début des années 2010, propulsée au sommet de l’organisation mariniste et « notoirement favorable à la légalisation des drogues ».
La publicité pour la consommation de la drogue est devenue une banalité dans les productions sous-culturelles imposées à la jeunesse décérébrée de France comme en général à la jeunesse blanche à travers le monde : rap, littérature, émissions de radio et de télévisions, les messages clairs comme les allusions et les « clins d’œil » sont légions sur d’innombrables supports. Cela permet aux tenants de la culture de mort de présenter peu à peu cette autre déviance comme une réalité indépassable contre laquelle rien ne pourrait être fait, un leitmotiv dans leur République qui prétend qu’il faut accepter tout autant l’invasion, la corruption, la pédérastie, le mondialisme, etc.
Les supermarchés de la drogue
Ces incitations et cette tolérance généralisée du système envers la drogue ont permis aux trafiquants de se structurer comme jamais jusqu’à faire de l’économie des trafics la principale activité dans plusieurs quartiers de cités envahies de France. C’est le cas des « supermarchés » de la drogue où tous, politiciens, journalistes, citoyens, connaissent l’existence de points de vente à ciel ouvert avec ses caissiers, ses livreurs, ses vigiles, ses manutentionnaires, sans jamais réagir, laissant pourrir la jeunesse étrangère et consécutivement la jeunesse de France.
Pays importateur de cannabis, phénomène essentiellement lié à l’immigration maghrébine, région d’où est issue cette « mode » comme elle a amené en France d’autres « chances pour la France », comme les viols collectifs racistes antiblancs, les « traditionnels » brûlages de voitures de travailleurs, etc., la France est devenue productrice de cette drogue, dans de grandes plantations aux mains des trafiquants comme chez les particuliers. Parallèlement à la hausse de la consommation de drogue, les policiers ont vu leurs saisies augmenter vertigineusement : 140 000 pieds ont été découverts en 2013 contre 55 000 en 2010.
Les études scientifiques rappellent régulièrement les dangers de ces drogues, sans que ces chiffres ne provoquent la moindre réaction des pouvoirs publics, des familles ou des consommateurs aussi sûrs d’avoir raison que certaines femmes battues qui défendent leurs tortionnaires. Les gouvernements seraient bien incapables d’apporter la moindre solution à une jeunesse française à laquelle leur République n’offre aucun avenir, aucune morale, aucune loi, n’offre rien sinon l’exaltation et la promotion de la jouissance immédiate ou l’exemple de héros se droguant, trahissant leur race, leur famille, trichant, mentant, trompant leur conjoint. Le choix des nombreux jeunes Français tournant le dos à ces paradis artificiels promus et imposés par le système, choisissant la voie d’une vie saine, difficile et courageuse, n’en est que plus remarquable.
C’est pourtant simple ! Dautzenberg prône la légalisation et Rechtman dit non.
http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/13947-Cannabis-le-Pr-Bertrand-Dautzenberg-prone-la-depenalisation
http://www.20minutes.fr/societe/1778255-20160202-drogues-chez-jeunes-faire-sorte-dire-non-devienne-acte-heroique