La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a une fois encore démontré sa duplicité et son inféodation au lobby juif dans un aberrant jugement rendu hier. La CEDH a condamné la Suisse pour avoir puni un politicien turc d’extrême gauche, Dogu Perincek, coupable d’avoir nié le génocide arménien. Le Parti des travailleurs (İşçi Partisi), parti marxiste-maoïste dont est membre Dogu Pereincek, a fait de la négation du génocide arménien, notamment dans les nombreuses colonies turques en Europe, l’un de ses principaux axes de propagande.
Les juges prétendent qu’ils n’ont pas « à dire si la criminalisation de la négation de génocides ou d’autres faits historiques peut en principe se justifier » mais se sont sentis en mesure d’affirmer que Dogu Perincek n’avait « pas fait preuve de mépris ou de haine à l’égard des victimes ».
« Il n’a pas traité les Arméniens de menteurs, usé de termes injurieux à leur égard ni cherché à les caricaturer »,
ont osé déclarer les juges, alors même qu’en traitant de « mensonge historique » le génocide arménien, c’est bien évidemment tous les Arméniens qui sont traités de menteurs et tous leurs ancêtres qui sont insultés. Mais ce qui était véritablement utile pour les magistrats européistes dans ce jugement, c’était de rappeler le caractère prédominant des lois, oukases, décrets et mythes imposés par Israël en Europe.
Selon les juges de la CEDH, la négation du génocide arménien ne porte pas atteinte « à la dignité des membres de la communauté arménienne au point d’appeler une réponse pénale Suisse ». Mais les agents de l’occupant se sont empressés de préciser que ce qui devait être toléré pour les Arméniens était impensable pour Israël.
Selon ces ennemis de l’Europe, réprimer, y compris par la prison, y compris en refusant de poursuivre les terroristes juifs auteurs d’attentats meurtriers, les pensées libres à propos de la prétendue “Shoah” « se justifie », car la remise en cause de la version imposée par les occupants de l’Europe à partir de 1945 « passe invariablement [sic] pour la traduction d’une idéologie antidémocratique et antisémite ». Ce mensonge est d’autant plus insupportable que l’ensemble des dictatures en Europe possèdent déjà une législation réprimant l’antisémitisme ; de l’aveu même des juges de la CEDH, cela rend totalement inutile la législation sur ce fondement essentiel de l’État criminel d’Israël… et/ ou cela montre le mensonge des juges de la CEDH.