L’antifrançaise Christiane Taubira a su se faire faire détester en quelques mois des Français qu’elle insulte et veut détruire. Mais même ceux qu’elle paye et qu’elle emploie n’arrivent pas plus à la supporter que tous les agents de l’État ou professions travaillant plus ou moins dans les secteurs qu’elle dirige. C’est vrai pour le plus mal payé de ses fonctionnaires, mais cela l’est tout autant pour les surpayés membres de son cabinet.
Pour la sixième fois en moins de trois ans et demi, un directeur ou directeur adjoint en claque la porte. Cela fait un tous les six mois, un record historique.
La prochaine sera Anne Berriat, directrice adjointe, qui a obtenu un poste de procureur général à la cour d’appel de Reims. Une nouvelle mauvaise nouvelle pour Christiane Taubira, enferrée dans une crise avec les avocats, confrontée à la colère de plus en plus violente des policiers contre son laxisme, et devant affronter le ras-le-bol général des personnels pénitentiaires qui ont encore manifesté cette semaine et promettent de nouvelles actions.
Cette nouvelle défection ne changera rien, et ni Manuel Valls ni François Hollande n’en tireront la moindre leçon. Malgré ses innombrables couacs, provocations, maladresses ou insultes, les deux têtes de l’exécution ont toujours soutenu activement les politiques de Christiane Taubira.