La « némésis du dieu six » pour reprendre le titre d’un article sur le site « la sentinelle du continent » continue de s’abattre sur les patriotes.
Hervé Ryssen passe en Cour d’appel le 23 mai 2018.
Yves Benedetti passe devant la XVIIe le 4 juin 2018.
Or, il y a peut-être un argument qu’ils pourraient faire valoir devant les tribunaux.
C’est que leurs écrits, vidéos, conférences sont d’abord et avant tout l’expression d’une souffrance, d’une douleur même, devant ce qu’est en train de devenir la France et son peuple. Le général Bigeard lui-même ne disait-il pas « J’ai trop aimé la France pour accepter ce qu’elle est devenue » ?
Mais n’est-il pas ridicule d’interdire et de réprimer l’expression d’une souffrance ? Pourrait-on concevoir une loi qui interdirait de crier, d’hurler et de jurer si un marteau lourd venait à tomber sur le bout de notre espadrille ?
Il faut bien réaliser que toute leur construction juridique sur la « haine » repose sur l’idée qu’une personne normale ne peut absolument pas authentiquement souffrir de la présente situation d’immigration de masse et de métissage. Seules des personnes foncièrement malignes, malignes par plaisir, des provocateurs ou des personnes souhaitant attirer l’attention sur elles seraient à même d’écrire ce qu’écrivent les patriotes.
Quelle idée, et du coup, ces patriotes subissent une double peine : non seulement ils doivent encaisser la destruction de leur pays et de leur peuple, mais encore, ils doivent subir la prison.
C’est ajouter l’insulte à l’outrage.
Voici ce que déclarait en 1923 un Staline cherchant à prendre le pouvoir dans la Russie judéo-bolchevick :
« Le chauvinisme national et racial est un vestige des coutumes haineuses de l’homme caractéristique de l’ère du cannibalisme. L’antisémitisme est l’expression la plus extrême de ce chauvinisme et en est donc, en tant que tel, la plus dangereuse survivance. […] Le Communisme ne peut qu’être un ennemi irréductible de l’antisémitisme. En Union Soviétique, il est traqué sans relâche et les antisémites sont passibles de la peine capitale. »
Nous n’en sommes pas encore-là, mais manifestement, nos démocrates ont de qui tenir.
Francis Goumain