Témoignage reçu au courrier de Jeune Nation à propos des célébrations de Pâques à Lagrasse et de la prétendue « tolérance » des forces de l’ordre annoncée par le chef de l’État…
Ce weekend avait lieu la plus importante des fêtes pour les catholiques : Pâques. Point d’orgue de ces célébrations, la veillée Pascale qui se déroule traditionnellement la nuit du samedi au dimanche constitue le cœur de la célébration de la fête de Pâques.
Samedi 3 avril, il est 21h45 et il fait nuit noire quand un véhicule bleu arrive sur un petit parking non-éclairé dans le petit village de Lagrasse où vivent quelques 540 âmes.
Une femme en descend et on l’entend annoncer « on vient d’arriver sur place », d’un ton martial, qui dénote avec le calme de la nuit.
C’est un équipage de gendarmerie qui vient de se positionner à l’entrée du parking de l’abbaye Sainte Marie de Lagrasse, réputée traditionaliste, en cette belle nuit où doit être célébrée la Vigile Pascale.
Il n’aura suffi que d’une poignée de secondes pour les voir se mettre à l’œuvre et déjà un petit groupe, une famille, se voit interceptée par l’équipage.
Il faut dire quelques familles étaient venues des environs vivre cette belle célébration, profitant de la « tolérance » annoncée par le président de la république à l’occasion de la fête de Pâques.
Quelques familles déjà arrivées sur le parking et s’étant retrouvées bloquées par l’arrivée du véhicule de gendarmerie, profitent alors de leur occupation pour se faufiler dans la direction opposée à couvert des voitures.
Traversant les broussailles et escaladant les murs ce sont des familles avec des enfants en bas âges qui tentent de rejoindre…leur messe.
Un autre équipage arrive en patrouille. Tout le monde court et se jette dans les fourrés pour laisser passer le véhicule à couvert. Un dernier sprint avant d’arriver à une entrée de l’abbaye, et voilà enfin les murs protecteurs de ce lieu consacré. Ce soir-là, de jeunes enfants auront peut-être joué pour la première fois aux « gendarmes et aux voleurs ». Espérons qu’ils s’en souviendront pour l’avenir !
Alors que la ville de Saint-Denis compte 1 policier pour 464 habitants, cette nuit-là le petit village de Lagrasse à connu le privilège de voir affecter 1 policier pour 90 habitants.
Pendant ce temps la racaille fait la fête, de jour comme de nuit.
Dimanche 4 avril, il est 9h45 quand un véhicule bleu arrive sur un petit parking non-éclairé dans le petit village de Lagrasse où vivent quelques 540 âmes…
ah mais l’abbaye de Lagrasse au pied des Corbières, de la montagne d’Alaric, un site à couper le souffle.
Les gendarmes devaient venir de Lézignan ou alors d’Olonzac mais ce n’est plus le même département.
C’est mon coin, la maison de famille était à Camplong dans le Minervois.
Un coin que je ne reverrai sans doute plus jamais, mais de toute façon, il est en train de changer: les vieux meurent, les maisons dans les villages ne sont plus habitées, par contre les « estivants » et même les locaux se font construire des maisons banales, parpaing piscine, les vignes disparaissent les unes derrière les autres.
Malgré tout, c’était les vacances tous les ans pendant 50 ans, parfois en hiver ou au printemps. Narbonne plage, la cité de Carcassonne, Minerve … tout ça, c’est terminé pour moi.
Merci pour le témoignage, c’est vrai que les gendarmes dans le coin sont assez chiants, généralement aux carrefours les samedis soirs.
La République à l’œuvre dans son anti-catholicisme obsessionnel.
N’ayez pas J’ai vaincu le monde ! Hé oui ! Jésus est vainqueur du mal.
Ces kapos ont dû se sentir tellement importants !
verbaliser des braves familles accompagnées d’enfants en bas âges c’est sûr cela craint…. pour les 540 âmes de ce petit village….