2021, Les Bouquins de Synthèse nationale, 238 pages, 24 €
Préface de Jean-Yves Le Gallou
À l’approche d’élections dont l’enjeu est clairement vital pour notre avenir après cinq ans d’une gouvernance mondialiste funeste pour le peuple français, la question de l’immigration ou de ce que beaucoup appellent l’invasion migratoire de la France apparaît primordiale. L’un des prétendants à cette élection a d’ores et déjà placé cette problématique au cœur du débat politique qui va agiter notre pays jusqu’au printemps prochain. À ses yeux nous nous trouvons au cœur d’un conflit de civilisation entre un islam de conquête et des pays occidentaux trahis et passagèrement affaiblis. Ce conflit, il emploie même le terme de guerre de civilisation, ne peut être perdu sans que notre destin soit abandonné à des ennemis. Dans le contexte du combat à venir dans les quelques mois qui arrivent, il nous a semblé nécessaire de présenter au public les chiffres les plus importants concernant les flux d’entrée et de sortie des immigrés principalement extras européens et ceux de la présence immigrée qu’elle soit étrangère ou naturalisée française et ce, sur les deux premières générations.
Il est également apparu utile d’aborder et de préciser les données de plusieurs problématiques dont l’importance n’est pas toujours suffisamment soulignée comme par exemple :
• les inconnues de l’immigration irrégulière et de celle des mineurs isolés (MIE-MNA)
• les réalités du solde migratoire
• des acquisitions trop faciles de la nationalité française
• les risques graves des multi nationalités • la présence musulmane en France.
L’auteur :
André Posokhow. diplômé de Science-po Paris et féru d’Histoire, publie et intervient régulièrement dans les médias nationaux. Il est aussi engagé dans le combat contre le fléau de l’éolien industriel.
Disponible sur la Boutique nationaliste
Jacques Attali (écrivain et essayiste, chroniqueur aux « Echos »)Publié le 30 sept. 2021 à 12:49Mis à jour le 30 sept. 2021 à 17:26
On ne dira jamais assez de mal de tous ces gens venus d’ailleurs qui, depuis des siècles, s’acharnent à défigurer la France, à la détruire, à ne lui apporter que le pire. Et pire encore, qui y font des enfants qui continuent leur oeuvre destructrice.
Parmi ceux nés à l’étranger, innombrables ennemis de l’identité française, quelques noms, en vrac : venant d’Italie (Mazarin, Catherine de Médicis, Casanova, Elsa Schiaparelli, Guillaume Apollinaire, Yves Montand, Pierre Cardin, Marcel Bich, Sergio Reggiani), d’Allemagne (Simone Signoret), d’Autriche (Romy Schneider), d’Espagne (Pablo Picasso, Juan Gris, Jorge Semprún, Michel del Castillo, Cristóbal Balenciaga), de Suisse (Blaise Cendrars, Françoise Giroud, Le Corbusier), de Belgique (Raymond Devos, Robert Denoël, Agnès Varda), de Grèce (Kostas Axelos, Vassilis Alexakis, Costa-Gavras, Iannis Xenakis), de République tchèque (Milan Kundera), de Pologne (Frédéric Chopin, Marie Curie, Henri Krasucki, Octave Klaba, Jean-Marie Lustiger), de Lituanie (Emmanuel Levinas), de Hongrie (Joseph Kosma), de Finlande (Ellen Thesleff, Helene Schjerfbeck, Elin Danielson-Gambogi), de Suède (Siri Derkert, Hanna Hirsch-Pauli), de Biélorussie (Marc Chagall), de Russie (Nicolas de Staël, Romain Gary, Vassily Kandinsky, Arthur Adamov, la comtesse de Ségur, Andreï Makine, Léon Poliakov, Nathalie Sarraute, Henri Troyat, Elsa Triolet, Anna Golubkina, Marie Vassilieff), d’Ukraine (Georges Charpak, Serge Lifar), de Bulgarie (Tzvetan Todorov), de Serbie (Enki Bilal), de Roumanie (Eugène Ionesco, Cioran, Brancusi), de Cuba (José-Maria de Heredia), d’Uruguay (Jules Supervielle), du Brésil (Tarsila do Amaral), d’Argentine (Joseph Kessel), des Etats-Unis (Julien Green, Jules Dassin, Joe Dassin, Joséphine Baker), d’Egypte (Albert Cossery, Guy Béart, Georges Moustaki, Dalida, Claude François, Andrée Chedid, Louis Chedid), du Maroc (Serge Haroche, Tahar Ben Jelloun, Jean Reno, Gad Elmaleh, Jamel Debbouze) ; de Tunisie (Georges Wolinski, Azzedine Alaïa), d’Algérie (José Aboulker, Jacques Derrida, Gilles Cohen-Tannoudji, Jean-Pierre Bacri, Jean Daniel, Kad Merad, Patrick Bruel), du Sénégal (Ousmane Sembène), de Turquie (Missak Manouchian, Henri Verneuil), d’Iran (Marjane Satrapi), du Liban (Rodolphe Saadé, Ibrahim Maalouf), de Syrie (Mohed Altrad), de Chine (François Cheng, Cai Guo-Qiang, Zao Wou-Ki, Fang Junbi), du Japon (Kenzo Takada). Et tant d’autres, dont au moins, très récemment, de très grands chefs d’entreprise, de grands médecins, des chercheurs exceptionnels, deux maires de Paris, des dizaines de ministres et deux Premiers ministres.
Un néant réconfortant
Il ne faut pas non plus oublier ceux qui sont nés en France d’un parent venu de l’étranger, et qui ont fait, ou font encore, comme chacun sait, le plus grand tort à l’identité française : Germaine de Staël, Irène Joliot-Curie, Albert Uderzo, René Goscinny, Robert Badinter, Zinedine Zidane, Emile Zola, Emile et Isaac Pereire, Henri Bergson, Roger Vadim, Marcel Marceau, Charles Aznavour, Coluche, Edgar Morin, Isabelle Adjani, Fabrice Luchini, Raymond Kopa, Serge Gainsbourg, Vladimir Jankélévitch, Omar Sy, Jacques Tati, Roman Polanski, Emmanuelle Béart…
(Jacques Attali, écrivain et essayiste, chroniqueur aux « Echos »-Publié le 30 sept. 2021 à 12:49,mis à jour le 30 sept. 2021 à 17:26)
Ne pas oublier : Éric Zemmour, le candidat qui se dissimule, est fils d’immigrés algériens.
Bonjour, Je n’ai pas trop compris le sens de cet inventaire imputé à Jacques Attali, mais merci quand même. Par contre, je ne vois pas trop ce qu’ils ont pu apporter, non seulement à la France et même à l’humanité. A mon point de vue, les ouvriers immigrés ont bien plus apporté que ces gens-là. J’ai également une grande affection pour ces vrais penseurs, qui ont enrichi la pensée, qu’ils aient été français, devenus français ou restés » étrangers ». Je cite : LF Céline, Ernst Jünger, Julius Evola, F Nietzsche, Frantz Fanon, sans parler des divers penseurs Grecs, Arabes et Soufis…