Petr Pavel, président de la République tchèque, a comparé les Russes qui ont quitté la Russie ou qui vivaient déjà dans des pays européens, avec les Japonais qui étaient présents sur le continent américain pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a exhorté à les « surveiller attentivement » :
« Je peux être désolé pour ces gens, mais si nous revenons à l’époque où la Seconde Guerre mondiale a commencé : alors toute la population japonaise vivant aux États-Unis était également sous un régime de surveillance stricte ».
Un « régime de surveillance stricte » ? Le président Pavel est le roi de l’euphémisme ! Rappelons que durant la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont orchestré la rafle et la déportation en masse vers le territoire des États-Unis de milliers ou dizaines de milliers de Japonais, mais aussi évidemment d’Allemands et d’Italiens avec la collaboration de 18 pays d’Amérique latine.
Petr Pavel est un ancien soldat de l’Armée populaire tchécoslovaque qu’il a intégrée en 1983, un ancien membre du Parti communiste auquel il adhère en 1985, qui a gravi après la dissolution de l’URSS tous les échelons de la nouvelle armée, qu’il dirigera entre 2012 et 2015 avant de devenir général au sein de l’Otan (président du Comité militaire de l’OTAN, le plus haut poste militaire de l’Alliance atlantique). Il est un ardent défenseur de l’appartenance de son pays à l’Union européenne et à l’OTAN, il a également soutenu les mariages homosexuels et les adoptions d’enfants par des couples de même sexe.
Rappelons donc au président tchèque le sort qu’il se propose d’infliger aux Russes en Europe, le sort qui fut réservé aux Japonais aux USA : déportation, concentration, déshabillage, rasage, désinfection (au DDT), et mise au travail forcé.
Petr Pavel oserait-il proposer le même sort pour d’autres étrangers, par exemple extra-européens, envahisseurs migrants et prétendus demandeurs d’asile, qui déferlent pourtant en Europe depuis des décennies important avec eux leurs cortèges de maux, terrorisme, criminalité, maladies, fraudes… ?
On trouvera donc ci-après deux textes décrivant le sort de ces Japonais, Allemands et Italiens sur le continent américain pendant la Seconde Guerre mondiale :
L’extraordinaire déportation des Japonais d’Amérique latine durant la Seconde Guerre mondiale : La communauté d’origine japonaise au Pérou a tout eu : une nuit de cristal, saccage des commerces et 10 morts, gouvernement de collaboration, rafle et déportation vers les USA, déshabillage complet, arrosage au DDT, rasage, séparation des familles, wagons plombés, internement dans des camps avec statut d’otage et de monnaie d’échange, service du travail obligatoire – tout, sauf les indemnisations…
6 000 Japonais internés au Texas, comme l’écho d’un chiffre : 6 000 Japonais internés pendant la Seconde Guerre mondiale dans trois camps au Texas, à Crystal City, Seagoville et Kenedy, c’est complètement oublié aujourd’hui et ça n’a bien sûr pas donné d’image comparable à la libération d’Auschwitz, de Bergen Belzen ou de Dachau – même si, dans les camps du Texas, on retrouvait aussi le déshabillage et le rasage complet des arrivants leur désinfection, en l’occurrence, par aspersion de DDT, et leur mise au travail forcé…
« Régime de surveillance stricte »
–> ah bon, mais il est russe Yvan Benedetti? Et Vincent aussi alors?
Si je m’éleve contre les traitements auxquels les Japonais et d’autres, furent soumis et cette proposition de faire subir aux Russes un traitement similaire ; je ne comprends pas ce regret que les immigrés, présentés en fin d’article, comme des parasites , des criminels et des indésirables soient pas concernés par un tel traitement, je vous cite : « Petr Pavel oserait-il proposer le même sort pour d’autres étrangers, par exemple extra-européens, envahisseurs migrants et prétendus demandeurs d’asile, qui déferlent pourtant en Europe depuis des décennies important avec eux leurs cortèges de maux, terrorisme, criminalité, maladies, fraudes… ? » il y a toujours des gens qui se conduisent mal dans toutes les communautés et les collectivites humaines, mais je ne comprends pas autant de détestation exprimé en quelques lignes, à l’égard d’êtres humains. Je suis tout de même surpris de lire de tels propos de votre part, tandis que d’autres articles, sur bien des sujets, font preuve de hauteur. On peut certes avoir des préférences parmi les peuples et les humains, mais vous parlez là, tout de même d’êtres humains aussi respectables que les Japonais, les Russes et d’autres.
Votre angélisme est déconcertant, Daniel Milan. Bien sûr « qu’il y a toujours des gens qui se conduisent mal dans toutes les communautés et les collectivités humaines » et lorsqu’ils sont chez eux, ils doivent être châtiés.
Mais lorsqu’ils sont issus d’une autre autre culture, les choses se compliquent, surtout lorsqu’ils refusent la NOTRE et imposent la LEUR.
La France était en Afrique et les ‘bien-pensants’ nous ont forcés à la quitter, afin de soi-disant ‘permettre à ces gens de se gouverner eux-mêmes, de les libérer du colonialisme’.
Nous sommes partis en laissant des pays en ordre de marche : écoles, universités, hôpitaux, infrastructure, etc. Pas même 10 ans plus tard, leurs pays en faillite, ils sont venus, sans vergogne, s’installer chez les méchants colonisateurs! Certains se sont intégrés avec leurs familles mais d’autres semblent penser que nous devons les accepter, par ‘devoir ou charité’.
Non. La meilleure des solutions est de les renvoyer chez eux et qu’ils se débrouillent, selon LEUR culture, a reconstruire leurs pays.
Quant à nous qui sommes envahis, si nous ne réagissons pas vite, ils nous soumettrons par le nombre et nous perdons NOTRE culture !
Bonjour Madame,
Je vous ai lu, je ne partage évidemment pas ce que vous dîtes.
Les problèmes de la France et du monde, tiennent au fait que toutes les richesses sont concentrées entre les mains de castes ideologico-financieres. Elles sont le pouvoir. Les politiciens n’étant que leurs larbins volontaires.
Tous les problèmes du monde peuvent être réglés au moyen d’un Statut de l’humain, stipulant égalitaire ment les droits de chacun. Les cultures et les identités ne s’opposent pas. Mais les castes et les politiciens du Système veulent nous opposer. Face à un système toujours esclavagiste, à divers périls climatiques et autres, visant à la disparition de toute vie sur la terre, nous sommes tous sur un même bateau et devons être solidaires les uns des autres. Un immigré ne prend rien à personne. Ces histoires de nationalités, d’origines, sont dépassées face aux périls qui nous guettent. Dire » on est chez nous » n’a plus de sens. Nous ne sommes propriétaires de rien, pas même de nos vies. Des humains sont tués tous les jours par des individus qui s’autorisent à tuer sous tous les prétextes, au nom d’un droit de tuer de l’Etat
Cordialement.
Daniel Milan