Dans plusieurs banlieues, les commissariats ont été pris d’assaut et mis à sac. Des bâtiments officiels ont été incendiés, les affrontements avec les forces de l’ordre se sont multipliés, un policier aurait répliqué à balles réelles. Un émeutier aurait lancé un grenade. Des individus ont tenté de pénétrer dans la prison de Fresnes pour libérer les détenus. Un train a été brûlé à Nanterre. Des magasins pillés à Sarcelles. Tout comme un bureau de Poste ou encore un McDonalds, en témoignent les innombrables vidéos sur les réseaux.
Pendant ce temps, Emmanuel Macron assistait tranquillement au concert d’Elton John. Le chef d’Etat ne semble pas encore – comme d’habitude – avoir pris la mesure de ce qui se joue dans le pays. Ce n’est qu’après 10h ce matin qu’Emmanuel Macron a fini par réagir sur Twitter, jugeant les violences « injustifiables » : « le recueillement, la Justice et le calme doivent guider les prochaines heures. »
Mais pourtant c’est bien lui, ainsi que son gouvernement et l’Assemblée nationale qui ont mis le feu aux poudres en prenant le parti de la racaille :
« Je veux dire l’émotion de la Nation toute entière après la mort du jeune Naël et dire à sa famille toute notre solidarité et l’affection de la Nation. Nous avons un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable et inexcusable » (Emmanuel Macron)
Quand un Français se fait poignarder par un homme issu de l’immigration, il ne faut y voir aucun lien avec l’immigration. Quand le jeune Naël se fait tirer dessus par la police, c’est que « La Police Tue ».
Quand un Français se fait poignarder par un migrant, on nous dit « pas de vidéo, c’est illégal et irrespectueux pour la famille », c’est contraire à « la dignité humaine ». Quand le jeune Naël se fait tirer dessus par la police, il est du devoir de chacun de partager les images pour que les Français comprennent.
Quand nous pleurons nos morts et cherchons à empêcher les prochains, il s’agit de « récupération » d’extrême droite. Quand certaines banlieues passent la nuit à tout détruire, il s’agit d’une « nuit d’émotion et d’indignation » selon BFMTV.
Ne nous y trompons pas : ils utilisent la mort de ce jeune homme comme un prétexte. Un prétexte pour la gauche pour s’en prendre politiquement à toute la police. Elle l’a toujours fait. Un prétexte pour la racaille pour s’en prendre physiquement à tout ce qui représente notre pays, le camp adverse à leurs yeux. Un prétexte pour les médias pour montrer, qu’une fois de plus, il y a les morts qui méritent qu’on en parle et qu’on s’indigne et ceux qui ne méritent que le silence.
Ne tombons plus jamais dans ce piège ! Nous ne nous tairons pas.
Révolution nationale et remigration vite ! Il n’y a pas d’autre solution.
Maître chez nous !
Devinez qui ? Interroge IVAN BENEDETTI…
Qu’il me permette de lui retourner la question, avec tout le respect qui s’impose : Qui donc, dans les circonstances actuelles ?
Car, ce que nous apprend l’Histoire, c’est que le Chef à venir ne proviendra pas du cheptel des « p’tits chefs » qui se bousculent au portillon en période électorale.
Seules, les circonstances exceptionnelles exigeant intelligence, courage et fermeté, qui résulteront des combats que, pour ma part, j’appelle de tous mes voeux permettront à un véritable meneur de s’imposer par sa valeur.
– N’est-ce pas la guerre qui a fait de Bonaparte un Napoléon ?
– N’est-ce pas Verdun qui a fait de Pétain, dont la carrière végétait jusque là, un Maréchal puis un chef d’Etat ?
Ceux qui, au plus haut niveau des Etats Européens, travaillent à la destruction de nos nations par le remplacement de population et le métissage génocidaire ont bien conscience du pari risqué qui est le leur :
– Ou bien – et c’est ce qu’ils espèrent – le remplacement de population se fera lentement et sans vagues…
– Ou bien – et c’est ce qu’ils redoutent de plus en plus – les violences insupportables de la racaille immigrée obligeront les couches encore saines de la Nation à réagir, pendant qu’il est encore temps.
Et c’est alors seulement qu’ils auront la possibilité » de mettre un nom sur le visage de celui qui rendra la France à son peuple et leur fera payer au prix fort leurs trahisons.
Et ce chef là, comme souvent dans l’Histoire, surgira dans le sang et dans la poudre !
Bonjour Monsieur Le Perlier, c’est une question qu’on se pose tous (enfin, quand je dis « tous », je veux parler de nous autres nationalistes, évidemment…). Pour ma part, je ne vois pas qui pourrait émerger, ni d’où, ni comment.
L’armée ? N’en parlons plus. Certains, s’apercevant finalement qu’il n’y avait rien à attendre de l’armée, ont pensé à la Légion dont ils se sont mis à attendre je ne sais quoi. ils ignorent que celle-ci fonctionne en vase clos, ne s’intéresse à rien d’autre qu’elle-même et ne fera que ce que lui demandent ses chefs.
Les forces de l’ordre parce qu’elles finiraient par en avoir marre et se révolter ? même pas en rêve. Il faudrait d’abord que ces imbéciles de flics soient capables de COMPRENDRE quelque-chose, à commencer par ce qu’ils font, et ça c’est génétiquement au-delà et hors de leurs moyens.
Les nationalistes ? Nous ne sommes ni équipés, ni structurés. Nous avons loupé le départ et ne sommes même plus en mesure de monter dans le train en marche.
Les monarchistes ? c’est eux qui détenaient la solution, puisque le problème fondamental, à la base de tous les autres, c’est la république. Malheureusement, les monarchistes sont inexistants, encore plus insignifiants que la Droite Nationale.
Le peuple français ? Je dis ça pour rire…
le probleme est que nos bureaux politiques sont tenus par des catho trad parisiens ayant un mode de vie bourgeois et dont le logiciel et l’agenda eschatologique ne peuvent que faire fuir les militants des classes laborieuses.
Il nous faut des cadres laics de la classe moyenne supérieure en opposition totale avec ces gens pour coaguler la classe populaire et la classe moyenne afin de nous organiser en vu du changement de paradigme.
Le problème vient globalement de toute cette vieille droite d’inaction Française qu’on traine comme un boulet depuis la guerre d’Algérie.
Il faut aussi partir du principe que les frigo sont plein et on ne fait la guerre que la rage au ventre…la crise économique qui arrive à grand pas pour cause d’hyper-inflation est une bonne chose.
Comme je l’ai exprimé plus haut, cher camarade, il n’y a pas, comme dit le proverbe, que « la faim qui fait sortir le loup du bois »…
N’était-ce pas le danger, n’était-ce pas la mort qui rodait alors, qui ont été à l’origine de l’OAS en Algérie ?
En quelque sorte, ce que votre génération vit aujourd’hui, nous l’avons déjà vécu il y a 60 ans…
Et nous savons que la guerre, quelle que soit son appellation, guerre classique, guérilla ou guerre civile, sélectionne les hommes d’action au détriment des bavards et des bravaches qui s’effacent lorsqu’il faut passer des discours aux actes.
Ne cherchez pas le chef aujourd’hui. C’est la guerre qui dessinera sa silhouette et nous le désignera. Et cette guerre, nous pouvons compter sur l’insondable stupidité des sauvages qui hantent nos banlieues pour nous en faire le cadeau salvateur.
En espérant, toutefois, que ce cadeau ne vienne pas trop tard !
Là pour une fois je suis totalement en accord avec vous.
C’est tellement vrai.
Un peu curieux de parler d’émeutes en France tout en minimisant l’affaire de la colonne Prigozine en Russie: tant qu’il n’y a pas 3 hélicos de la gendarmerie d’abattus, pas de quoi s’inquiéter, tout va bien ;-)
Je vous rappelle que des armes de guerre sont utilisés en ce moment meme ….un saut qualitatif bien plus inquietant qu’en 2005 2007…
Ces émeutes n’ont pas encore l’intensité qui les ferait égales à ce qu’ont connu les Etas-Unis. Spectaculaires, elles ont pour fin de marquer des territoires, sans plus. A moins qu’elles ne dégénèrent vraiment, on ne peut (à ce jour) parler d’émeutes meurtrières. Ces territoires sont occupés conjointement par des organisations minoritaires, soit maffieuses (traficants), soit religieuses (bientôt en position de seuls « interlocuteurs valables » de facto) et par des populations, allogènes pour une part, victimes de la situation (mais qui seront sommées de choisir). Ajoutons des Français déculturés et paupérisés. Au-dessus, l’Etat qui construit, répare, paye, avec l’argent public puisé dans les département productifs et travailleurs (suite à la péréquation Chirac-Juppé qui prend aux bons pour donner aux mauvais). Une dizaine de départements sont sous perfusion, et quatre régions au moins.
Les milieux nationaux ne peuvent pas ou plus se contenter d’en appeler à l « assimilation ». La France n’en a plus la force, et ce qui reste de sa population est une masse morte. L’homme providential n’existe qu’au point de convergence de facteurs moraux, politiques, humains, qui le font prévisible et inattendu. A l’échelle de la France actuelle, ce ne serait qu’un leurre. Des mouvements de population et la constitution de réseaux locaux de résistance pourraient-ils sauver ce qui peut encore l’être ?
Si le système a peur, il en appellera sans vergogne à l’ordre, etc., et à quelque Bonaparte (moins le génie). Mais a qui profiterait cette réaction ? L’un des symptômes du pourrissement est la manipulation de masse de la jeunesse depuis des décennies, accompagnée de sa déculturation. La responsabilité de la Droite de gouvernement est écrasante. Mais pourquoi les milieux nationaux sont-ils si peu attirants pour beaucoup ?
Au état unis il n’y pas vraiment de soupape sociale comme nos généreuses aides sociales française…
Donc avec une legislation des armes nettement plus souple c’est forcément plus violent.
Si demain notre état se fracasse comme en Grèce sur le mur de la dette et bien je ne donne pas chère de la gueuse…
« Pourquoi Les milieux nationaux sont ils si peu attirants pour beaucoup? »
C’est très simple: Je suis ouvrier en province et je ne m’estime pas représenté par des cadres politiques catho trad, citadin, bourgeois et parisien dont le nombre au sein des différents mouvements est absolument délirant.
Le discours par devant est très bien mais la manière de l’incarner au quotidien de ce que j’appelle la droite Maurassienne ou l’inaction Française: C’est du foutage de gueule!
Moi dans un bureau politique: Je te jure que ce serait la guerre tous les jours avec cette mafia biblique.
J’ai compris leur système de pensé c’est que du sociétal…le social ils s’en foutent!!!
Il sont un repoussoir pour le monde du travail.
Un exemple tout simple pour la boite à caca des homo lors du mariage pour tous ils ont remué mont et merveille et j en suis sortie rincé. Mais lors des gilets jaune ils furent totalement et honteusement absents d’où ma haine incommensurable à leur endroit.
Appel aux résistants
Par François Dubois, ancien sous-officier de la Gendarmerie nationale
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Publié le : lundi 3 juillet 2023
Mots-clés : Antifa; Antiracisme; Banlieues; Christianisme; Communautés; Délinquance ; Éric Zemmour; Extrême gauche; Forces de l’ordre; France; Immigration; Justice & Droit; Politique; Religion; Social; Société
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Source : profession-gendarme.com
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Note de la Rédaction
François Dubois est un ancien gradé de la Gendarmerie nationale, qu’il a quittée pour divergence de vues, notamment lors de l’épisode covidiste, ce qui lui permet de s’exprimer librement.
Embrasement de la France et risque de guerre civile :
changement de paradigme ou verrouillage final
Propos liminaires
C’est en tant qu’amoureux de la nation que j’écris ce texte. Écrit rapidement et dans l’urgence, j’y développe mon analyse à froid. Je précise eu égard au contexte, être sportif, en excellente santé, et n’avoir aucune pensée suicidaire. J’invite mes anciens camarades des forces de l’ordre à lire et à partager le plus possible ce texte. Vous qui êtes actuellement en premières lignes, fusibles d’une situation qui vous dépasse, vous devez comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m’exprime ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à prendre conscience de votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s’imposent.
Affaire Nahel : contexte
Nos élites, corrompues et apatrides dans l’âme, œuvrent désormais depuis plus d’un demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l’heure n’est pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre [1] ! Certains Français dégustent aujourd’hui l’âpre goût de la merde qu’ils ont lâchement cautionnée pour s’inscrire au sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».
Le réseau Soros-Attali-Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette phrase de Nietzsche : « La plus grande dispensatrice d’aumône, c’est la lâcheté. » Avec notamment la création de SOS Racisme – « Touche pas à mon pote » –, ils ont, au nom de la tolérance, sciemment promu l’émergence d’une sous culture ethnicisée et communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population, consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l’image du Français, grand perdant de la Seconde Guerre mondiale, sauvé par les gentils Américains et historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.
Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les bases d’une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois falsifiée. Tolérant l’intolérable, il n’était plus question pour eux de s’insurger face aux vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits étriqués de gauchistes, celui qui s’en indignait devenait un vilain facho, caricaturalement assimilé à un adorateur du IIIe Reich [2].
Aujourd’hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l’urgence est avant tout de comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se produire. Ce n’était qu’une question de temps. Récemment, les commandes massives de blindés de gendarmerie Centaure équipés d’un tourelleau télé-opéré, sur lequel se situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d’indices qui ne peuvent qu’abonder dans le sens de mes propos.
Ces dispositions font d’une pierre deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire face aux risques d’émergence d’un mouvement social spontané type Gilets jaunes. Ce risque est redouté, parce que hors de contrôle s’il est un jour organisé et structuré. Mais elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge, conséquence d’un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités, puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce qu’il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et l’état profond, ainsi que ses services de renseignements ; le tout, intégrant le maillage de la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses antifas aux ordres. Les racailles sont les idiots utiles d’un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.
Cela avec pour objectif de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force dans un premier temps, puis dans un second, d’instaurer un contrôle intégral de la population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces moyens seront acceptés par les masses parce qu’ils s’imposeront comme l’alternative indispensable à la sortie du chaos.
Affaire Nahel : les origines
Le fait divers à l’origine de ces événements n’est pas un accident hasardeux car il résulte de la conjonction de deux phénomènes orchestrés par les élites, les ayant de facto conduites à anticiper ce qui allait se produire.
Le premier facteur est consécutif à la communautarisation d’une frange ethnicisée de la population qui a de plus en plus évolué à la marge au point de s’inscrire dans une déviance qui ne la fait plus adhérer aux normes de la société.
Dès le départ, il existait chez ces populations issues majoritairement de couches sociales précaires en provenance du continent Africain, des incompatibilités sociologiques profondes, notamment quant à la structure de la famille et à la place qu’occupe le garçon au sein de cette cellule familiale, qui rendaient dans certains cas très difficile toute intégration et toute assimilation. Ce problème sociologique d’ordre migratoire est d’autant plus complexe qu’il varie en fonction des pays, des ethnies et des classes sociales impactées. Les premières vagues migratoires italiennes et portugaises de l’après-guerre n’ont causé aucune difficultés majeures précisément parce que, même pour les classes populaires, la cellule familiale était structurée dans ses rapports (place du garçon par rapport au père et à la mère, rapport à l’autorité, etc…) de façon similaire sur l’ensemble du continent européen. Ce faisant, ces population n’ont subi aucun « backlash » sociologique [3]. Il n’y a pas de lien direct avec l’islam (nous en parlerons plus loin).
Le rejet des normes sociétales s’accompagne de l’instauration de nouvelles normes propres à définir l’identité du groupe : le jeune des banlieues n’est donc pas en mal de repères parce que précaire économiquement, mais parce que, conduit par ses déterminismes sociaux à ne pas pouvoir s’accorder avec le modèle qui est censé l’assimiler. Il instaure alors ses propres normes qui lui servent à transformer sa déviance sociologique en une identité à part entière (cela se traduit par des marqueurs sociaux tels que le langage, les codes vestimentaires, etc…) et à s’émanciper pour être autonome, d’un point de vue économique, mais aussi vis-à-vis des représentants de l’autorité. S’il n’évolue pas au sein d’une famille structurée qui ne produit pas un garçon roi, le banlieusard peut rapidement devenir un affranchi qui ne rend compte à aucune autorité et qui ne se reconnaît que parmi les siens, un véritable étiquetage social au sens de Becker. Évidemment, tous les jeunes issus des banlieues ne sont pas comme cela, les délinquants sont ceux dont la structuration et l’autorité de la famille sont pour le moins inexistantes.
Le personnage de Nahel ne déroge pas à la règle. N’accordant aucune légitimité à la loi, il entendait faire sa propre loi en se soustrayant une fois de plus à l’autorité. N’en déplaise à Sandrine Rousseau et aux autres misérabilistes LFI au raisonnement simpliste, ce n’est pas la pauvreté qui fait d’eux des délinquants. Ces populations brassent parfois des quantités astronomiques d’argent. Je l’ai constaté sur le terrain. Offrez-leur des infrastructures, l’accès à la culture, des aides, encore plus d’argent, vous ne changerez rien. Certains dealers roulent en Ferrari, s’arrêtent-ils pour autant d’être délinquants ? Nahel était donc un jeune difficilement contrôlable, cela se traduit dans les faits par les diverses infractions qu’il a commises.
Le deuxième facteur à l’origine de ce drame est humain. Il relève probablement d’une erreur d’appréciation du cadre légal dans lequel le policier s’est situé et a décidé d’ouvrir le feu. La justice tranchera afin de déterminer si le tir était justifié ou non. J’ai moi même enseigné l’usage des armes à mes élèves gendarmes. Je maîtrise parfaitement cette question sur le plan légal, mais en dehors de cet aspect purement technique, il ne faut pas oublier qu’un policier est un humain comme les autres, et qu’à perpétuellement se confronter à cette population en rupture, il peut à terme, voir sa stabilité psychique et émotionnelle perturbée.
Même le policier le plus aguerri n’est pas à l’abri de commettre une grave erreur parce que son discernement est altéré par les stress répétés et la fatigue chronique du terrain. Le porteur d’une arme a une immense responsabilité. Les policiers et gendarmes ont parfaitement conscience d’engager leur responsabilité pénale lorsqu’ils ouvrent le feu avec leur arme de service. En d’autre terme, au moment de faire feu, ils ont conscience de pouvoir peut-être finir le restant de leurs jours en prison s’ils ont commis une erreur d’appréciation lors d’une prise de décision qui doit prendre une ou deux secondes maximum.
Bien sûr, des abus intolérables existent, notamment avec l’emploi des AFI [4] durant les mouvements sociaux type Gilets jaunes ou durant les manifestations contre la réformes des retraites. Cela est totalement anormal. Pour autant, revendiquer le désarmement de la police est d’une stupidité sans nom. Il conviendrait plus à ce sujet de s’occuper de l’allégeance aveugle que voue une partie de la police à la gouvernance actuelle au point d’en oublier les règles de déontologie qui encadrent la profession.
Le fait est que le drame qui s’est produit ne serait jamais arrivé s’il n’y avait pas eu la conjonction de ces deux facteurs : déviance sociologique du délinquant non assimilé et faute humaine, certainement accentuée par un contexte de tension constante sur le terrain.
Ces bases posées, il me semble urgent que les Français prennent aujourd’hui conscience que l’apparition de cette conjonction n’est pas le fruit d’un malheureux hasard.
Quelle stratégie affrontons-nous ?
Quand j’étais d’active, durant la pseudo-pandémie, nous parlions avec un collègue et ami « éclairé » de l’organisation à l’échelle européenne d’un cycle de révoltes comme une étape succédant au narratif du Covid. Une hypothèse, parmi tant d’autres, favorables aux ambitions socio-économiques dictées par Davos. Ces révoltes devaient avoir pour corollaires, une récession économique orchestrée par paliers, impulsée par le Covid, destinée à progressivement favoriser la mise en place de l’euro numérique, de la virtualisation de nombreux emplois, de la destruction des PME au profit des multinationales et de l’avènement de l’IA pour remplacer certains métiers.
Le cycle des révoltes permettant, après l’effet « starter » de la pandémie, de renforcer l’arsenal répressif et les moyens numériques de surveillances des masses par une reprise de contrôle violente et sans précédents. Il y a deux ans, cela faisait sourire certains ; je ne suis pas sûr que ce soit encore le cas aujourd’hui. Nous observerons si une potentielle propagation du phénomène à l’échelle européenne se confirme, Bruxelles semble déjà avoir été en prise avec des émeutes. C’est précisément parce que je ne sous-estime pas l’intelligence de l’ennemi que mes analyses ont pu se confirmer.
Nous avons ainsi pu constater la présence d’une certaine Assa Traoré au côté de la mère de Nahel. Cette même militante, chaussée par la marque Louboutin (LVMH), travaille également pour la fondation OPEJ Baron Edmond de Rothschild. Inutile de revenir sur le passif sulfureux de la famille en matière de délinquance. Constatons simplement qu’une mère isolée et effondrée a très rapidement bénéficié d’appuis massifs et de la logistique nécessaire pour organiser, 48 heures après les faits, une marche blanche avec t-shirt floqués et autres célébrités du milieu du rap Français.
Il existe une réelle complicité entre la racaille d’en bas et la racaille d’en haut qui la soutient. De même, je m’associe pleinement à Alain Soral et à son analyse lorsqu’il souligne le fait que le problème n’est pas en lien avec l’islam. Ceux qui « islamo-centrent » les causes des malheurs que nous subissons sont soit des ignorants soit des corrompus à la solde d’une cause supranationale. L’islam est une religion d’ordre, même si certains de ses préceptes peuvent-être contestés par un chrétien, il ne faut pas tout confondre. L’Iran connaît-elle de semblables révoltes, avec ces profils de délinquants ? Les délinquants des cités n’ont rien de musulmans. Il adoptent des marqueurs sociologiques empruntés à l’islam, essentiellement codifiés par des éléments de langages, afin de s’étiqueter comme une communauté. Mais ils ne sont en rien pratiquants et n’appliquent en rien les conduites morales qu’imposent le Coran. Quand j’étais sur le terrain, certains d’entre eux s’étonnaient de voir que je connaissais mieux l’islam qu’eux. Je devenais tout de suite plus sympathique à leurs yeux, ce qui les rendait d’autant plus idiots aux miens. Le problème n’est pas l’islam mais l’ignorance.
Un amalgame est volontairement entretenu entre la délinquance des quartiers et le développement de la religion musulmane sur notre territoire, or ce sont deux phénomènes distincts. Les russes ont bien compris que le substrat du danger du bouleversement civilisationnel qui nous guette n’est pas la religion musulmane. Vladimir Poutine déclarait encore il y a deux jours que la profanation du Coran était un crime en Russie. Et bien, c’est pareil, je ne suis pas Charlie, et je ne me laisserai pas berner par l’instrumentalisation terroriste des branches « sectaires » wahhabites de l’islam par les États profonds occidentaux et Israël.
C’est bel et bien une élite mondialiste apatride qui cherche ici a détruire notre pays d’essence catholique en attisant la haine contre la religion musulmane. Puisant ses origines idéologique dans le judéo-protestantisme, elle a construit une cancel culture ethnicisée, universaliste et woke, calquée sur une axiologie consumériste et matérialiste ayant émergé en premier lieu aux États-Unis. L’hégémon américain s’est ensuite chargé de sa propagation dans le monde occidental. Nos petites racailles françaises ne sont en réalité que les hersatz des rappeurs et autres membres de gangs américains qu’ils idéalisent. Et sans le savoir, s’ils vouent un culte à quelque chose, c’est avant tout à l’image du rappeur gangster américain en voiture de sport entouré de prostituées derrière lequel on trouve les mêmes sources de financement que celles de l’idéologie LGBT ! Derrière Assa Traoré se dissimule l’idéologie universaliste de George Soros qui finance, par le biais de ses ONG, à la fois l’immigration de masse et la cause LGBT.
Si on est loin des idéaux du prophète Mahomet ou du Christ, en revanche, on est très près de la détestation du Christ (ou de Mahomet) [5] explicitement revendiquée dans les médias par Éric Zemmour. Il y a en réalité bien plus d’accointances entre lui et Soros (à commencer par la religion), qu’entre lui et le Christ. Oui, sa pseudo-résistance est en réalité fondamentalement antichristique. Et, ironie du sort, lorsqu’il s’est présenté à la présidentielle, M. Zemmour avait pour dirigeant de la partie opérationnelle de ses financements M. Julien Madar, ancien banquier d’affaire chez Rothschild.
Sans même évoquer le parcours de notre actuel président, on s’aperçoit que, finalement, l’univers de la famille Rothschild n’est pas incompatible avec l’universalisme woke dont Assa Traoré est une égérie, de même qu’elle ne semble pas incompatible avec les idées d’une frange « droitarde », faussement et souvent caricaturalement patriotique, qui entend fomenter une guerre entre catholiques et musulmans dans le rejet des valeurs transmises par les prophètes (Papacito, Goldnadel, Finkielkraut, Zemmour, etc.). Doit-on se conformer pour autant au conflit opposant Jacob à Esaü dans la Genèse [6] ?
Nous sommes donc pris en tenaille entre les racailles d’en haut et les racailles d’en bas. Les racailles d’en haut posent tous les prérequis nécessaires à la création d’une révolution contrôlée. Ils utilisent pour ce faire les islamo-centrés pour exalter les tensions inter-religieuses, et l’extrême gauche (pilotée par Mélenchon membre du Grand Orient de France) pour exacerber les conflits face aux forces de l’ordre et la détestation de la police. Une police dindon de la farce, qui servira de fusible en participant à rallier contre elle, et contre son gré, l’extrême gauche et les racailles des cités, tout en devant affronter et gérer les conflits inter-ethniques et inter-religieux susceptibles d’émerger. Pendant ce temps, ses maîtres se serviront d’elle pour définitivement instaurer et justifier une nouvelle ère de contrôle et le recours à une violence inédite qui pourra alors être parfaitement légitimée par le contexte.
Quelles solutions apporter ?
Dans un premier temps, il faut se dire que les événements présents sont peut-être intervenus trop tôt pour nos dirigeants pour qui il aurait peut-être été plus opportun de bénéficier de cette étincelle d’ici deux ans. En effet, pour l’instant, les vagues migratoires n’ont pas suffisamment impactées les campagnes et certaines zones rurales profondes. C’était un des objectifs mis en exergue récemment par Jacques Attali.
Quand bien même le mouvement en cours viendrait à s’essouffler, faute d’une extension suffisante, ce ne serait que reculer pour mieux sauter. Il faut donc que les opposants patriotes honnêtes qui n’ont pas peur de désigner l’ennemi réel, son idéologie et ses complices se réunissent. La situation est trop grave pour rester sans agir. Comme je l’avais déjà dit lors d’une interview donnée l’année dernière au Média en 4-4-2, tous les voyants sont au rouges, mais si révolte il y a, elle sera automatiquement récupérée par un contrôleur d’opposition, ou par la gouvernance elle-même qui en profitera pour instaurer un système de contrôle inspiré du crédit social [7]. Aussi expliquais-je l’année dernière au cours de cette interview que sans une administration prête à prendre le relais, les résistants réels ne pourraient pas tirer parti de cette révolte.
Il est donc temps d’agir aujourd’hui. Pour ce faire, tous les vrais patriotes doivent s’unir. Je pense que l’idée d’Alain Soral de créer instamment un CNR (Conseil national de la résistance) est la bonne eu égard au caractère urgent et imminent de la situation. Nous nous adapterons ensuite en temps réel. Il faut donc dans un premier temps trouver les moyens de se regrouper et de se fédérer, à l’écart des fausses oppositions et autres apparatchiks du système qui ne désignent pas l’ennemi véritable, entendant par ailleurs rester dans l’Europe, et qui chercherons à nous saborder de l’intérieur. Aujourd’hui, je veux apporter ma contribution au changement.
Enfin, je pense que des appuis extérieurs, donc étrangers, seront nécessaires, car notre ennemi est apatride et financièrement incroyablement puissant. Si nous échouons ici, le retour de bâton sera sans précédent, alors agissons avec courage.
Que la France demeure éternelle !
François Dubois
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6 juillet 2023
ActuStratpol
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douguine france
En voyant le comportement violent des Français en colère dans les rues, surtout si vous le voyez pour la première fois, une pensée vient immédiatement à l’esprit : la voilà, la révolution ! Le pouvoir ne tiendra pas ! La France est finie. Le gouvernement tombera. Et peu importe qui se rebelle cette fois-ci : des adolescents arabes et africains des banlieues, des “gilets jaunes” populistes, des agriculteurs mécontents, des partisans des minorités sexuelles, des opposants aux minorités sexuelles et, au contraire, des défenseurs du droit de la famille et des valeurs traditionnelles, des nationalistes, des antifascistes, des anarchistes, des étudiants, des retraités, des cyclistes, des défenseurs des animaux, des syndicalistes (CGT), des écologistes ou des retraités. Il y en a des foules – des milliers, des dizaines et des centaines de milliers, parfois des millions. Ils remplissent les rues des villes françaises, arrêtent la circulation, bloquent les gares et les aéroports, déclarent l’autonomie des institutions et des écoles, brûlent de l’essence, renversent des voitures, crient sauvagement, agitent des banderoles et se précipitent pour mordre la police. Et puis … ils se calment, reprennent leurs esprits, prennent une pilule et se remettent au travail, au déjeuner, ils discutent bruyamment des prix, de la vie, des voisins et de la politique dans de petits restaurants confortables, où ils crient à nouveau, mais beaucoup plus calmement, et rentrent à la maison.
Après 1968, même les manifestations les plus massives de plusieurs millions de personnes n’ont eu aucun effet. Le résultat est nul. Toujours et en toutes circonstances. Si vous connaissez mieux la France, vous comprenez que ce n’est qu’une nation de psychopathes. Et tout ne concerne pas les migrants. Les autorités françaises se fichent des migrants, tout comme des Français de souche ordinaires. Et de cette totale indifférence glaciale, les migrants deviennent à leur tour des psychopathes. C’est une nouvelle forme d’intégration sociale : on rejoint une civilisation de psychopathes et on devient comme eux.
Une chose reste à admettre : l’apocalypse dans ce pays autrefois très attrayant et élégant s’est déjà produite. Et maintenant, dans ses rues inondées par on sait qui se déroule une hallucination de masse.
Y a-t-il quelqu’un qui veuille ou puisse faire une différence ? Si vous examinez attentivement la culture française des XIXe et XXe siècles, la conclusion est sans équivoque : l’esprit français, comme Orphée (par exemple, de Cocteau ou Blanchot), ne voulait qu’une chose : descendre le plus bas possible dans les enfers. Eh bien, il l’a fait. Et c’est irréversible. Combien de temps cela peut-il encore durer ? On l’ignore. La belle France, la fille aînée de l’Église, comme l’appelaient les catholiques à l’époque brillante du Moyen Âge, s’est irrévocablement transformée en dépotoir – en commençant par l’âme et en terminant par les rues et les banlieues. Notre-Dame a brûlé. Toutes les peintures et sculptures qui pouvaient gâcher l’humeur des immigrés et des féministes ont été retirées du Louvre.
Seulement Macron et son miroir. Comme dans la pièce “Orphée” de Jean Cocteau avec des décors de Jean Hugo et des costumes de Coco Chanel.
Alex, votre réponse me rappelle les propos d’un de mes amis, vrai « prolétaire » et vrai (ancien) militant. Même expérience et même constat.
Courage.