« Les fils de Proudhon, c’est nous ; nous, qui ne sommes ni des politiciens, ni des fabricants de livres, nous qui voulons travailler et qui travaillons à l’organisation de notre pays. C’est nous qui faisons revivre ces deux vertus françaises, dont l’une au moins anime toute l’œuvre proudhonienne et dont l’autre y affleure, je veux dire cet esprit d’indépendance, de fierté républicaine et ce loyalisme monarchique qui font que le Flamand, le Breton, le Lyonnais, le Provençal, tout homme du pays français enfin, se fera tuer pour la défense des droits, des libertés qui assurent sa vie, parce qu’il veut vivre en travaillant ou mourir en combattant, mais est prêt à mourir aussi, avec joie, avec bonheur, pour notre Sire le Roi de France ».
Crever pour le ci-devant “roi” de France ? tu peux toujours courir, mon pote. Gloire à la République !
(Écrit en ce 29 fructidor de l’an CCXXI…)