Plus de dix ans déjà que le décret de dissolution de l’Œuvre Française a été signé par François Hollande : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000027755773.
Manuel Valls, celui qui, après avoir professé des amitiés particulières pro palestiniennes, avait viré girouette en se déclarant « par (sa) femme éternellement lié à Israël, quand même », avait revendiqué cette interdiction. Il rêvait alors, tout éveillé, de l’Elysée.
« Quand on dissous l’Œuvre française, on dissous la matrice même de ce qui a fait l’extrême droite de ces trente dernières années », dira Manuel Valls un mois plus tard à l’Université d’été du Parti socialiste (à 2 mn dans la vidéo ci-dessus)
Dix ans donc que nous sommes prétendument dissous. J’avais dit après cet acte de forfaiture qu’à moins de nous dissoudre dans l’acide ils ne nous feraient jamais taire… Et qu’on ne parlerait plus ni de Valls ni de Hollande alors que nous continuerions, nous, d’exister et de combattre.
Aujourd’hui les étrons Hollande et Valls ont été emportés par la chasse d’eau des toilettes démocratiques. Valls a perdu sa femme mais il erre toujours comme un fantôme dans les repas du CRIF. L’ex-préfet de Lyon, Carrenco, artisan zélé de la répression à l’encontre de l’Œuvre Française, après avoir été récompensé par une nomination à la préfecture de Paris, vient de se faire virer du gouvernement Borne après le dernier remaniement.
Ne reste en place que Mme Léglise surnommée « Mme Synagogue », à la tête du bureau dit des « libertés publiques » qui, tout fraîchement nommée à l’époque avait été le bon petit soldat docile et obéissant dans l’opération. Elle en avait été décorée de la Légion d’honneur en récompense des servilités rendues dans cette opération.
Et pourtant nous sommes toujours là. La croix celtique guide toujours nos pas. A moins de nous tuer, nous répondons chaque jour présent à l’appel de la lutte au service de notre idéal pour la France impériale et la forteresse Europe.
Et même s’ils nous tuaient, il se trouverait toujours des nationalistes pour relever le drapeau. Car nous ne sommes pas un rassemblement autour d’un Benedetti qui rêverait d’entrer à l’Elysée. Nous sommes le maillon d’une chaîne historique, forte de sa légitimité et de son histoire.
Ils ont interdit le Francisme par deux fois, en 1936 et en 1945 en assassinant son chef Marcel Bucard.
Ils ont eu Jeune Nation et l’instauration de la Croix celtique comme symbole permanent du nationalisme. La IVe république finissante a dissout Jeune Nation, ils ont eu le Parti nationaliste, dissout lui aussi après quelques jours d’existence.
Jeune Nation est encore aujourd’hui le site internet de réinformation et du souvenir nationaliste.
Après Jeune Nation, Pierre Sidos créa l’Œuvre Française en 1968. Et l’Œuvre dissoute, nous répondons encore et toujours présent comme des sentinelles postées aux avant-postes du combat pour le redressement national.
Aujourd’hui Darmanin a remplacé Valls. Avec encore la même petitesse et l’arrivisme forcené d’un ministricule qui pense nous utiliser comme un marchepied pour sa carrière politique, en menant une politique très répressive.
Pas plus qu’hier, cette politique d’aujourd’hui ne nous fera taire. Ils sont un éphémère instant démocratique, nous sommes l’irrévocable temps qui passe et qui fait l’histoire.
Qui vive ? France ! « Et l’Œuvre Française, quand même ! »
Il existe depuis toujours un véritable piège auquel ont succombé nombre d’organisations prétendument « de combat » :
– On commence à créer un outil de combat, journal, mouvement de jeunes ou parti politique.
– On se donne tout le mal du monde pour faire naître cet outil…
– On est très fiers de l’amener à son maximum d’efficacité…
TELLEMENT FIERS QU’ON FAIT LE MAXIMUM POUR CONSERVER CET OUTIL… LE PROTEGER… EVITER DE LUI FAIRE PRENDRE DES RISQUES…
De sorte que ce magnifique outil, avec de plus en plus d’adhérents, de plus en plus d’argent, de plus en plus d’accès aux médias… en vient à atténuer son vocabulaire… à servir de moins en moins la cause au service de laquelle il a été créé !
Jusqu’au moment où il glisse progressivement du combat POUR LA CAUSE au seule combat… POUR CONTINUER D’EXISTER !
Et combat pour exister qui évolue vers la négation même des idées à défendre.
Un mouvement de combat tel que JEUNE NATION, qui fut effectivement, comme le remarque cet excrément arriviste de VALLS, l’épine dorsale inflexible du nationalisme français, n’a jamais cédé à ce travers.
Bien plus que la simple interdiction de parole, les frères Pierre et Jacques SIDOS ont carrément risqué leur vie et connu la prison lorsque les circonstances du combat l’exigeaient !
C’EST PAR LE NOMBRE ET LA REPETITION DES DISSOLUTIONS QUI LES ONT VISES QUE L’ON PEUT JUGER DE LA CREDIBILITE DES FRERES SIDOS ET DE LEUR GARDE RAPPROCHEE !
un seul mot : Bravo !!!!! bien dit et expliqué ! merçi !
L’Oeuvre Française est a mes yeux non dissoute elle est et sera toujours dans mon coeur comme l’emblème de la croix celtique ..ces tyrans bolchéviques ne pourront jamais effacer d’un claquement de doigt la mouvance nationaliste et patriotique ..car ses braises seront toujours raviver et reprendrons sa vivacité habituelle ..Qui vive France ..Maîtres chez nous ..!