26 avril 1983 : Robert Faurisson condamné pour avoir fait de la peine « à autrui »

Robert, dit «Ajax» par les étudiants qui eurent le bonheur d’apprendre de ses leçons, à l’université de Lyon. Ajax, de la marque d’un « détergent » (dessinez-moi cela…) propre à décaper toute trace de freinage, au fond des culottes comme sur l’entier des revêtement.
Promu premier de sa promotion, Robert Faurisson put crééer sa chaire: critique tous azimuts, écrits, images, radio- et cinématographie, enfin!… après des décennies de lavage de cervelles en mode loisirs de masse, etc. Honni par tout intellect-sans-truelle pour avoir rendu tout bien tout honneur à la mémoire d’Arthur Rimbaud, de Gérard de Nerval, de Lautréamont… ravis, enfin, de la sale encre d’onanistes ravagés de contes à exploser en l’air.
S’interessa de trop près à ce qui ne doit guère vous intéresser, mais profiter à d’autres… conchieurs de peuples, natio-abolitionnistes, avorteurs comme « avortatrices » de toute saine raison, etc.
En raison des bouts de loi made in France, ne put être sacqué… de l’université. On lui tailla un poste de professeur par correspondance, puisque des miliciens anti-fascistes (point des nôtres) menaçait d’embraser l’aula où il donnait ses cours ainsi que les couloirs qui y menaient.
Solidement tabassé par des multi-nationaux au point d’y passer… Sauvé par des intellects-avec-truelle, quoique, l’un d’entre-eux, une fois mis au courant de l’horreur inhumaine et castratrice du personnage, aurait déclaré: qu’à tout reprendre, il l’aurait laissé crever!
L’homme sans aucun doute le plus détesté des J… et, plus encore, des enJ…vés (ceux-là, nous ne somme guère près de nous en débarasser…) jusqu’à la couleur de leur slip. Alors que, bonhomme, Robert n’en voulait qu’à de pseudo-boches et autres Polo_niais, plus quelques mémorialistes new-yorkais !
Au soir de sa vie, il se révéla bon comédien, à la diction parfaite (ce qui n’a rien d’étonnant pour un philologue pétri de grec ancien et de latin), et avec un sens comique avéré… Comique, au sens que ce bon mot revêtait du temps de Paul Scarron. Tenez, s’il n’avait manqué sa vocation, les feujs vivraient comme Bon Dieu in France…. Comme partout ailleurs.
Bref, ce que Lermontov, illustre poète, désigna comme un «Héros de notre temps», non point zéro ! Peut-être le seul professeur de sa génération et des suivantes qui n’aura point été payé par d’honnêtes travailleuses et travailleurs à ch…er dans-de-ces-têtes.

Bravissimo….
…à cet athée revendiqué, viré de l’association des athées made in France, pour manque de foi à propos d’histoires de robinetterie, nous souhaiterions qu’un Dieu juste, point haineux, ni vindicatif, inventât un Paradis, si ce n’était déjà fait…. Un truc bien, pas un bordel mahométan, s’entend.

En tout cas, sa mémoire est d’ores et déjà éternelle…. Pas la peine d’aller violer comme voler du marbre à Carrare!

Amen

signé, Der Fliegende Helvetiker.