Contre la culture de mort, nous choisissons la vie.
Le 27 mai 2025, l’Assemblée nationale a franchi un nouveau seuil dans l’effondrement moral de la République : elle a adopté en première lecture une loi instaurant un « droit à l’aide à mourir ». Présentée comme une avancée compassionnelle, cette loi autorise désormais l’État à administrer la mort à des malades, atteints de maladies graves, incurables et en phase terminale.
Un simple avis médical, une demande orale, un second avis à distance, et l’acte peut avoir lieu — à domicile, à l’hôpital, en EHPAD. Pas de procédure collégiale systématique, pas d’écrit exigé. La mort devient une option médicale, remboursée, prescrite, injectée.
Une médecine de la fin
Ce texte ne vise plus à soigner, mais à interrompre des vies fragiles. Il ne place plus l’accompagnement au cœur de la médecine, mais l’élimination douce.
Ce glissement n’est pas soudain. En mars 2020, un décret autorisait déjà, en silence, l’usage du Rivotril injectable pour les personnes âgées atteintes du Covid, jugées « non transférables ». La République s’était habituée à sédater plutôt que soigner. Aujourd’hui, elle légalise cette logique.
Une pression invisible, mais réelle
On prétend respecter la liberté du patient. Mais qui ignore que beaucoup demanderont la mort non pas par réelle volonté, mais pour ne plus être un poids ? Pour ne plus coûter, ne plus déranger, ne plus peser sur les proches ? Cette pression morale, cette fatigue sociale, pousse les plus vulnérables à choisir la mort. Ce n’est pas une liberté : c’est une résignation.
La République organise ainsi un suicide assisté d’État, sous masque humaniste.
Une République incohérente : la vie pour les criminels, la mort pour les innocents
Cette loi révèle une contradiction éthique abyssale. La République refuse la peine de mort, même pour les assassins, même pour les pires criminels. Mais elle constitutionnalise l’avortement, autorise l’euthanasie, et encadre désormais le suicide assisté. Elle va même jusqu’à
Elle protège la vie des coupables, et supprime celle des innocents.
L’enfant à naître, la personne âgée, le malade incurable : ce sont eux que la République autorise à éliminer. Le crime est épargné. La fragilité est condamnée. Voilà le monde à l’envers.
Ce glissement idéologique n’est pas neutre : il s’inscrit dans une vision du monde largement portée par les milieux maçonniques que le chef de l’État a publiquement salués quelques jours avant le vote.
Sortir des dogmes : pour une médecine ouverte et vivante
Ce renoncement est d’autant plus scandaleux que tant de patients déclarés « en fin de parcours » retrouvent la vie grâce à des soins adaptés. Mais pour cela, encore faut-il une médecine ouverte, libre, non soumise au carcan académique.
Oui, des soins alternatifs, complémentaires, non conventionnels existent. Parfois non validés, mais efficaces. Et quand un patient est prêt à mourir, qu’a-t-on à perdre à essayer encore ? Une civilisation digne tente tout. Une société démissionnaire abrège.
Nous choisissons la vie
Ce texte doit encore passer devant le Sénat. Il est encore temps d’arrêter cette dérive. Nous appelons solennellement les sénateurs à refuser ce projet funeste.
👉 Soigner plutôt que tuer. Entourer plutôt qu’éliminer. Accompagner plutôt que de résigner et choisir la facilité.
👉 Nous choisissons la vie.
Depuis quand la peur de la mort est-elle un principe de civilisation?
Encore un exemple de défaut d’analyse et de raisonnement ! Après ceux relevés dans l’article pour Elias, ça commence à faire beaucoup… décidément, il y a bien un problème dans notre petit milieu…
La peur de la mort est-elle le sujet ?
Notre civilisation défendait LA VIE (la vie de ses jeunes, de ses membres et de ses anciens) parce qu’une société qui ne fait plus de gosses, qui néglige la santé de ses actifs, et qui méprise ses anciens au lieu des les honorer est une SOCIETE FOUTUE à terme. C’est sur cette vision, cette conception de la vie que s’est bâtie notre civilisation, avant que les francs-maçons ne passent par là.
C’est ça que disait l’article et à votre niveau, comment cela a-t-il pu vous échapper ?
bla bla bla
Il faut en finir avec la République et sa Révolution qui n’en finit pas. C’est par une contre Révolution CATHOLIQUE que nous stopperons cette folie meurtrière qui s’entête à vouloir créer un Homme Nouvea, cet être émancipé du Créateur et soumis au malin
LES AMES QUI BRULENT
LEON DEGRELLE
Alors, si je doute de ma chair, de mes os, de ce qu’a forgé jadis mon action publique, si je doute de la
réalité de mon passé et de la part que j’ai pu prendre à quelques années d’édification de l’histoire
des hommes, que puis-je croire encore des idéaux qui naissaient en moi, qui me brûlaient, que je
projetais, de la valeur de mes convictions d’alors, de mes sentiments, de ce que je pensais de
l’humanité, de ce que je rêvais de créer pour elle ?
Chaque être humain est une succession d’êtres humains, aussi dissemblables les uns des autres que
les passants dont nous scrutons dans la rue les visages disparates.
A cinquante ans, en quoi ressemblons-nous encore au jeune homme de vingt ans dont nous essayons
de nous souvenir et dont nous voulons à tout prix être la survivance ? Même sa chair n’est plus la
même chair, s’en est allée, a été refaite, renouvelée. Plus un millimètre de peau n’est la peau de ces
temps-là.
Et l’âme alors ? Et ce que nous pensions ? Les sentiments qui nous projetaient vers l’action ? Et les
sentiments qui nous passaient, comme des souffles de feu, à travers le cœur ?…
*
* *
Même combien d’hommes distincts ne portons-nous pas en nous, qui se combattent, qui se
contredisent, ou même qui s’ignorent ? Nous sommes le bien et nous sommes le mal, nous sommes
l’abjection et nous sommes le rêve. Nous sommes les deux, emmêlés dans des rets inextricables.
Mais l’atroce du destin n’est pas là. L’atroce, c’est de rompre ces rets eux-mêmes pour jeter son âme
par-dessus bord ; l’atroce, c’est de devoir se dire que l’essentiel dans nos vies fut caricaturé, défiguré
par mille souillures et par mille reniements.
Qui n’a pas connu ces débâcles… ?
Les uns se rendent compte de leur faillite avec douleur. Les autres en font le constat avec cynisme,
ou avec le sourire futé de ceux ou de celles qui ne s’en laissent pas conter, qui sont convaincus que la
connaissance de l’homme et la supériorité de l’esprit consistent à avoir passé par toutes les
« expériences », à en avoir épuisé délibérément les sucs les plus pervers, sans étonnement excessif
et sans regret postérieur, ayant trouvé, dans l’usage et dans la profanation de tout, l’information, la
condescendance et l’équilibre d’une « éthique » de décomposition, libérée de tout contrepoids
d’ordre spirituel.
Sans doute, le monde où nous vivons est-il devenu, pour une large part, le monde de ces amoraux, si
sûrs d’eux-mêmes ?… Sans doute, ceux qui s’acharnent à imaginer encore une humanité que de
hautes vertus pourraient embellir sont-ils devenus des êtres anachroniques, des non-évolués, collés
à de vieilles marottes, vivant à part des hommes, à part de leur temps, à part de la mode,
Et ce n’est là que l’un des nombreux projets Contre la vie et l »humain, sur lesquels les pouvoirs travaillent depuis des décennies et qui semblent s’accélérer depuis ces dernières années.
[28/05 à 14:56] https://vm.tiktok.com/ZNdkHpQfm/
Un autre monde est possible, imaginons un autre monde…
[29/05 à 22:51] https://vm.tiktok.com/ZNdkWXJvh/
Transhumanisme : L’hybridation finale
[30/05 à 07:40] https://vm.tiktok.com/ZNdkvVYBU/
Mise en esclavage numérique de l’humanité
Je vois qu’il y a de grands défenseurs des principes civilisationnels auxquels nous autres, pauvres mortels, n’avons pas accès.
Qu’ils aillent juste faire un tour dans une EPADH, qu’ils essaient d’y tenir 2 heures d’affilées.
Qu’ils reviennent ensuite nous dire s’ils y ont vu la lumière de la civilisation (la lumière, et son odeur aussi, n’oublions pas l’odeur).