Gilbert Collar, Michael Brown : selon que vous serez Blanc ou Noir, les médiats juifs vous rendront…
Gilbert Collar avait 18 ans, comme Michael Brown. Comme ce dernier, il était sous l’emprise de la drogue le jour de sa mort, avec dans le sang des traces d’un hallucinogène, l’une de ces drogues avec lesquelles les ennemis des peuples empoisonnent la jeunesse.
Mais les ressemblances avec Michael Brown s’arrêtent là. Contrairement au criminel noir de Ferguson, Gilbert Collar n’avait attaqué personne avant sa mort ; il ne venait pas de commettre une agression violente contre un petit commerçant immigré pour lui voler de la marchandise. Contrairement au criminel noir de Ferguson, il a été démontré qu’il n’avait pas même touché le policier qui l’a assassiné. Il était nu, sur le campus de son université quand il a été abattu ; il ne faisait aucun doute qu’il était totalement désarmé et ne présentait aucun réel danger.
Les dissemblances sont tout aussi nombreuses concernant les répercussions de leur mort : il n’y a eu aucune manifestation en mémoire de Gilbert Collar – mis à part un rassemblement de quelques personnes et une veillée funéraire avec quelques dizaines d’étudiants –, aucune émeute de plusieurs jours avec des hordes de « frères de race » allant piller, agresser, frapper, détruisant une quinzaine de bâtiments en une nuit sans quasiment aucune réaction des autorités. Aucun médiat international, parmi tous ceux qui ont fait leur une durant plusieurs jours sur la mort de Michael Brown, n’a évoqué la mort de Gilbert Collar. Aucune accusation de « racisme » ne fut portée.
6 octobre 2012
Gilbert Collar était étudiant en première année à l’University of South Alabama (USA, Université d’Alabama du Sud) ; le jour de sa mort, il avait ingéré du 25I-NBOMe, une drogue de synthèse provoquant des hallucinations. Cette drogue, découverte en 2003, est à l’origine de plusieurs décès aux États-Unis ; à l’époque des faits, elle n’était pas inscrite sur la liste des produits interdits. Il était aussi drogué au cannabis.
C’est sous l’effet de ces drogues qu’il a dû ressentir une éprouvante sensation de chaleur qui l’a conduit à retirer ses vêtements et à avoir un comportement irrationnel. Il n’avait rien fait cependant méritant d’être abattu par un policier noir, a fortiori sur le campus de l’université de Mobile qui a connu des scènes autrement choquantes.
Ce jour d’automne 2012, Gilbert Collar court dans les rues du campus après s’être déshabillé ; il tente de monter dans une voiture, puis dans une seconde où se trouve un ancien joueur de football de l’université. Il veut s’asseoir à la place du conducteur ; ce dernier le frappe violemment repoussant sans peine le jeune étudiant. Ce dernier part alors vers le poste de police le plus proche. Là, il frappe à plusieurs reprises à la fenêtre du bâtiment, avant de tenter d’entrer, pour chercher de l’aide avec le peu de conscience qui lui reste.
Le policier noir Trevis Austin a dégainé son arme immédiatement dès les premiers bruits. Sans avoir pu une seule seconde évaluer la situation ni même tenté d’entamer une discussion ni appelé des renforts, et alors que Gilbert Collar est éloigné de lui de plusieurs mètres et ne présente aucun risque – ce dont témoigne les bandes vidéo –, Trevis Austin ouvre le feu et l’abat d’une balle en pleine poitrine. Un rapport note qu’il aurait pu tout aussi facilement et efficacement utiliser sa matraque et sa bombe lacrymogène pour immobiliser le jeune étudiant.
Aucune charge retenue contre le policier noir qui a assassiné un Blanc désarmé
La (non) affaire Gilbert Collar a été définitivement éteinte. La justice a décidé de ne retenir aucune charge contre le policier noir Trevis Austin, coupable d’avoir assassiné le jeune étudiant blanc désarmé Gilbert Collar. « Légitime défense » a osé déclarer le grand jury. Les parents, qui avaient porté plainte en juillet 2014, ont depuis perdu leur maison dans un incendie, dans lequel la mère de la victime a été grièvement blessée.
Cela rappelle le racisme de cette justice américaine qui laisse durant des décennies les criminels juifs tels que Bernard Madoff escroquer les Américains, qui acquitte des tueurs noirs tels qu’O. J. Simpson – qui avait récidivé quelques années plus tard en commettant une attaque à main armée avec enlèvement – ayant tué des Blancs, mais qui condamne très lourdement nombre de Blancs à cause de leur seule couleur de peau, simplement pour ne pas pouvoir être accusé de « racisme », ce SIDA mental imposé par le marxisme culturel, qui empêche toute saine réaction des Blancs et détruit leurs défenses immunitaires.
Car le « racisme », la mort de l’innocent blanc Gilbert Collar et du criminel africain Michael Brown le démontre à nouveau, ne peut jamais être pour le Système que commis par les Blancs contre les Juifs, d’abord, et ensuite les Noirs, les Arabes, les Jaunes et toutes les couleurs de l’arc-en-ciel multiculturel imposé aux nations blanches par nos ennemis.
Dillon Taylor, Gilbert Collar, sans oublier la famille de Randy Weaver, décimée sans raison par le FBI et son tueur asiatique Lon Tomohisa Horiuchi, et tant d’autres : tous ont été victimes de leur société multiculturelle antiblanche.
My Goodness.