Charlie Hebdo : vive les morts !
Alors que Hollande et son gouvernement de Charlots, mené par l’ineffable Valls, étaient au plus bas dans les sondages, acculés par des résultats cohérents avec leur médiocrité (chômage, insécurité…) voilà que ces attentats inespérés retentissent.
L’occasion est trop belle et tout semble dès lors leur sourire.
Ces morts, c’est l’occasion d’une nouvelle vie !
L’heure est à la célébration des coupables. Ne reste qu’à revêtir les habits de super héros, qu’importe l’infamie, le pyromane se pavane avec l’uniforme de pompier.
Ils en arrivent à faire oublier que les véritables responsables, c’est eux !
Coupables !
Les coupables, c’est eux ! Coupables des morts de Charlie hebdo, de l’HyperCacher, du sang versé, mais également en amont, des coups portés à la France et de cette petite mort à laquelle ils la condamnent chaque jour, par leur politique migratoire et leur rêve mondialiste.
Eux qui ont percé nos frontières, eux qui ont démantelé notre armée, eux qui ont fait venir cette immigration en masse, dans un but idéologique unique vers lequel tout converge.
Ils sont remerciés, salués en héros, eux, coupables et lâches, planqués derrière leur bureau pendant que des centaines d’hommes armés jusqu’aux dents « risquaient leur vie » pour arrêter, ou plutôt abattre ces 3 terroristes. (La peine de mort étant abolie en justice, mieux vaut l’exécuter avant la case tribunal – c’est plus républicano-compatible ! )
Par contre, pour rouler des mécaniques, ils étaient là, à la grand-messe mondialiste ! On ne pouvait pas les manquer. C’était carnaval.
Alors que ces islamistes ont abattu des symboles, coupables d’avoir tourné en dérision ce en quoi ils croient, les politiques ont eux tenté de tuer la France, en se servant de ces populations immigrées afin de déliter notre culture et notre sang, dans le métissage, la décadence, le cosmopolitisme.
Ils ont voulu se servir d’eux pour nous détruire, pensant qu’aucune religion, aucune valeur ne survivent à celle de la consommation. Mais voilà que la foi de certains fait obstacle et que les pantins coupent les ficelles. Ça fait mal. Ils sont incontrôlables. Simple petit imprévu, il est encore temps de retourner la situation à leur avantage. Une partie du peuple est désormais aveuglée par une haine qu’elle pense pouvoir déverser en toute légitimité contre ceux présentés comme étant les assassins d’une sacro-sainte « liberté d’expression », pourtant déjà morte et enterrée par les républicains qui nous gouvernent. Une autre partie exorcise enfin ce besoin naturel de se retrouver dans une unité nationale, là aussi sciemment brisée par les politiques et les partis, avec en prime le sentiment de défendre une cause noble qui nous dépasse dans un monde où les véritables valeurs sont bafouées, où le fait même de penser est condamné. En magie, pour faire disparaître quelque chose, on attire l’attention ailleurs, le leurre porte le nom de Charlie. L’attention détournée, les vrais criminels poursuivent leur course tout en maintenant leur jeu de rôle qui consiste à prendre un air contrit de vierge sainte pour dénoncer les amalgames qui pourraient se produire entre les musulmans et les islamistes, eux, leurs choses utiles.
Au lieu d’être condamnés, ils sont applaudis. Au lieu d’être suivis en procession par le peuple jusqu’à la potence, on les suit en héros jusqu’à la synagogue, dans une grande transhumance républicaine (même si les sondages montrent que les Français ne sont pas complètement dupes). Terminer cette marche laïque, en partie en hommage à des journalistes mécréants, dans le lieu de culte synagogue, c’est tout un symbole.
Voilà où conduit leur République !
À la synagogue pour les uns, en garde à vue pour les autres.
La grand-messe républicaine
L’occasion est trop belle, la grand-messe mondialiste est célébrée en kippas, menée par des terroristes chevronnés comme Netanyahu, servie par « l’enfant de cœur » BHL qui n’hésite pas à prôner l’ingérence et le massacre d’innocents, en Libye, ou en Syrie par exemple, où le grand Bachar Al Assad lutte réellement contre les islamistes, non par soumission au sionisme, mais par fidélité à son pays, lui. La nuance est de taille. La lutte ne supporte pas la soumission. Ils ne sauraient lutter contre le terrorisme islamiste, en se soumettant au terrorisme sioniste. Ils ne sauraient lutter contre un mondialisme, en se soumettant à un autre. La seule manière de lutter, la seule manière de vaincre, est le nationalisme qu’ils condamnent avec verve.
Bachar Al Assad rappelait avec lucidité dans un entretien au Figaro la soumission de l’État français à la politique américaine, le reniement de notre indépendance, relevant avec justesse « comment les parlementaires français pourront convaincre leurs concitoyens que la France est un État laïque et en même temps appuyer le confessionnalisme ». Ce jour-là en tous cas, leur république avait assumé son choix.
La guerre de l’anti-France
L’occasion est trop belle, les représentants de l’anti-France vont pouvoir se servir de l’évènement à dessein, prêts à brandir les cadavres encore chauds en étendard pour la lutte contre le terrorisme et l’antisémitisme, qui se fera guerre contre notre patrie, contre notre France, notre France et ses enfants, notre France éternelle et irrévocable. Elle est là leur priorité ! La répression va se poursuivre, va se durcir mais va revêtir ses plus beaux atours, ceux de la pseudo légitimité nationale. Pendant ce temps, les Charlies, à intégrer au dictionnaire des synonymes 2015 à la lettre M comme Moutons, vont se battre, tout en prônant l’unité nationale, afin d’acheter ce qui était un torchon mécréant et blasphématoire avant, et le demeure, après. Oui il y a une guerre, mais la guerre ce sont ceux qui gouvernent qui la mènent, contre la France. Celle objective que vont mener les islamistes est une guerre importée par nos dirigeants, eux qui ont fait de la France une cible privilégiée et une proie de choix en tant qu’annexe du monde israélo-américain. Les morts de Charlie hebdo sont des dommages collatéraux qui viendront servir les chantres de ladite liberté d’expression, une liberté qui n’a d’étendue que la longueur de la laisse qui les soumet. Liberté d’expression… ils l’ont tant invoquée que l’humoriste Dieudonné s’y est essayé… et a fini en garde à vue 48 heures plus tard. Il n’avait pas choisi la bonne liberté, celle de leur camp. Si le peuple avait été Français hier, avec ce que cela implique, il n’aurait pas eu besoin d’être Charlie aujourd’hui.
L’occasion est trop belle, c’était la bonne aubaine. Le moment leur est propice, mais c’est ignorer ce besoin flagrant que révèlent une fois de plus les Français de s’unir, de se soulever. Ils sentent d’instinct qu’ils devraient se soulever contre ce qui les détruit, et le jour viendra où ils sauront contre qui.
C’est ignorer que pendant qu’eux apprennent à nos fils et filles la théorie du genre à coup de matraquage intellectuel, il est enseigné à des enfants de 10 ans à tuer de sang-froid les ennemis d’Allah. Des temps plus durs jailliront dont ce ne sont que les balbutiements.
C’est ignorer que leur mascarade n’a qu’un temps, et que le jour viendra où ils devront rendre des comptes à celle qu’ils tentent d’abattre, la France. Car France vivra. Et tant que France vivra, elle enfantera des nationalistes, chacun étant une petite parcelle de France, de son sang, de son souffle inextinguible. Nous sommes la France et la France les fera tomber. Ce gouvernement d’occupation a fait son temps. Ce gouvernement est coupable. Révolution nationale !