Les trahisons se suivent et se ressemblent chez les « antifascistes » : hier, ils trahissaient le peuple en s’alliant aux capitalistes mondialistes qui, avec leur complicité, ont détruit les frontières et organisent les migrations de centaines de millions de personnes pour assurer la bonne marche du marché. Aujourd’hui, c’est avec les islamistes qui soutiennent les égorgeurs de l’État islamique (ÉI) que les « antifas » se mobilisent. Ce fut le cas samedi à Wuppertal (Rhénanie-du-Nord-Westphalie, ouest).
Plus de mille Allemands (selon la police) se sont réunis dans la ville malgré de grandes difficultés (train annulé, quadrillage de la commune par la police, multiples contrôles des policiers, attaques des islamistes et des antifascistes) à l’appel des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes). À l’origine, PEGIDA avait appelé à contre-manifester après l’annonce de la tenue d’une manifestation islamiste pour réclamer la libération des prisonniers politiques, c’est-à-dire des terroristes. Les antifascistes avaient alors annoncé une contre-contre-manifestation. Dès le début du rassemblement, les ennemis de l’Europe ont multiplié les attaques, jets de bouteilles, de fumigènes et d’objets divers sur les policiers qui s’étaient interposés entre les différents groupes. Les activistes de PEGIDA sont restés pacifiques.
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Si des partisans de l’État criminel d’Israël se trouvaient parmi la foule des manifestants pro-PEGIDA, tout ce que l’Allemagne compte d’ennemis (déviants sexuels, racistes antiblancs, communistes kurdes, associations juifistes, islamistes, etc.) a organisé des contre-manifestations. Les islamistes avaient annoncé plusieurs centaines de participants, mais seules quelques dizaines d’étrangers criminels ont finalement perturbé le rassemblement.
Les antifascistes n’ont réuni que quelques centaines de personnes (700 selon la police). Malgré leur faible nombre, les extrémistes, à force de provocation et d’attaques contre les policiers ont réussi à pousser les autorités – qui n’attendaient que cela – à annuler le défilé à travers la ville avant « d’interdire » les rassemblements des islamistes et extrémistes qui étaient pourtant présents.
La manifestation contre l’islamisation représentait à Wuppertal un symbole particulier, puisque durant l’été précédent, les islamistes y ont organisé des patrouilles, menaçant et faisant pression sur la population pour qu’elle n’écoute pas de la musique et ne consomme pas d’alcool. Les initiateurs de ces provocations l’avaient appelée la Police de la loi islamique (Sharia Police). Ils distribuaient de la propagande islamiste et des dépliants proclamant une « zone sous contrôle de la loi islamique » (Shariah Controlled Zone). Ces provocations n’avaient amené aucune réponse de la part des autorités allemandes.
Parmi les agressions les plus notables commises par les extrémistes, signalons l’attaque de quatre patriotes, dont une femme, par une vingtaine de racailles rouges. Grâce à leur courage, les Allemands n’ont été que légèrement blessés. La violence de l’attaque a néanmoins conduit la police à publier un communiqué appelant les témoins à se manifester pour identifier les racailles.
Les plus motivés des manifestants patriotes se sont rendus dans le quartier d’Eberfeld où ils ont réussi à marcher dans les rues de la ville en déployant leurs banderoles. Les patriotes ont pu défiler durant environ une demi-heure avant que le gouvernement ne parvienne à redéployer ses troupes et arrêter tous les participants.