Le Conseil de l’Europe est une institution mondialiste intergouvernementale instituée en 1949. Aux pays fondateurs (Belgique, Danemark, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède) se sont ajouté au cours du temps l’ensemble des États européens jusqu’aux pays de l’Europe de l’Est et d’Asie (Ukraine, Géorgie, Russie, Azerbaïdjian, Arménie), et avec pour pays observateurs des pays tels que les États-Unis, le Canada et le Mexique, et des entités telle qu’Israël.
Son drapeau est le même que celui d’un autre organisme mondialiste, l’Union européenne (UE). Son logo, formé sur ce dernier, a de surcroît une lettre pouvant être interprétée comme un « c » ou un « e ». Son hymne est également le même que celui de l’UE, l’Hymne à la joie.
Officiellement, c’est lui qui le dit, « le Conseil de l’Europe préconise la liberté d’expression et la liberté des médias, la liberté de réunion, l’égalité et la protection des minorités ». Clairement, ces droits ne concernent pas les Blancs. La liberté d’expression n’est acceptable que pour ceux qui prônent le métissage, l’invasion de l’Europe, la haine des Blancs, la vie en marge et contre les lois et traditions européennes ; et si les Blancs s’expriment autrement, il s’agit de « discours de haine » et de « diffamation ».
Car loin de « l’égalité » et de la « liberté d’expression », les campagnes lancées par le Conseil de l’Europe sont contre « le discours de haine sur l’internet » et « les droits des Roms », « minorité la plus importante en Europe » (sic).
Dans son combat à mort contre les Européens debout, le Conseil ne recule devant rien, pas même devant les mensonges les plus éhontés.
« Le Comité consultatif est préoccupé par la montée d’un sentiment antimusulman, ainsi que d’attitudes négatives à l’égard des immigrés et des demandeurs d’asile. Il est alarmé par la tenue ces derniers mois de marches régulières à Dresde, auxquelles ont participé des milliers de personnes, sous la bannière « Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident » (« Pegida », selon l’acronyme allemand). Il constate aussi avec inquiétude que des marches xénophobes similaires ont eu lieu dans plusieurs autres villes d’Allemagne, avec un discours articulé autour de l’exclusion des personnes d’origines ethniques ou religieuses différentes. Ces manifestations stigmatisent les immigrés, les demandeurs d’asile et les musulmans, alimentant et attisant les préjugés contre ces groupes. Elles engendrent aussi un climat d’insécurité pour les musulmans et les personnes issues de l’immigration ou des minorités »,
affirme l’un de ses rapports publié courant octobre, le Conseil tentant d’interférer dans la politique intérieure allemande et prétendant interdire aux Allemands le droit élémentaire de manifester et de vouloir vivre comme ils l’entendent.
Il ajoute :
« L’agression odieuse et mortelle à coups de couteau d’un Érythréen à Dresde, le soir de l’une de ces manifestations, seulement trois jours après qu’une croix gammée eut été peinte sur la porte de son appartement, est particulièrement inquiétante dans ce contexte ».
Il s’agit d’un odieux mensonge qui a provoqué une – timide – réaction des autorités de la ville. Nous avions évoqué ce fait divers à l’époque : il avait donné lieu à des émeutes de l’extrême gauche dans les rues de la ville, les racailles ayant commis de nombreuses agressions et dégradations pour protester contre ce « crime de l’extrême droite ».
Le tueur fut arrêté peu après : loin des mensonges du Conseil de l’Europe et des fantasmes de ses agents marxistes, la « victime » érythréenne avait été tuée par l’un des siens, un étranger ayant, comme lui, violé les frontières de l’Europe.
(Sur l’affaire de l’Érythréen voir : « Agitation de l’extrême gauche après la découverte du corps d’un d’Érythrée à Dresde » et « Le meurtrier de Khaled Idris est un Africain. Retour sur une manipulation de l’extrême gauche »)