En préambule, rappelons que fin septembre, après l’attentat « low cost » commis par un Pakistanais vendeur de marrons, les ordures rouges de Charlie Hebdo s’étaient fendues d’un communiqué appelant à lutter contre « le fascisme sous toutes ses formes ». En effet, personne n’ignore que c’est Benito Mussolini qui inspira idéologiquement les islamistes partout dans le monde. Selon certains chercheurs, le Coran serait directement issu de la doctrine fasciste. Retour au réel donc, pour cette gauche qui fantasme sans arrêt sur le fascisme qu’elle ne connait pas.
Un sanglant retour au réel
Vendredi 16 octobre, un Tchétchène de 18 ans muni d’un titre de séjour découpait méticuleusement la tête d’un professeur de l’éducation nationale.
Le « hussard » de la république avait quelques jours avant son assassinat montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, issues du torchon Charlie Hebdo. Il pensait sans doute naïvement que la devise creuse et incantatoire de la république maçonnique « liberté, égalité, fraternité » allait le protéger de la barbarie musulmane. Il a vu se déchaîner contre lui des agitateurs musulmans, des militants politiques soutenus par de parfaits inconnus, qui n’admettent pas que l’on touche à leur prophète. L’information de sa hiérarchie n’a pas suffi à empêcher que sa tête soit séparée de son corps.
Aveuglé par « l’esprit Charlie », ce pauvre Samuel Paty a cru au mythe de la liberté d’expression et au fameux « droit au blasphème ». La liberté d’expression n’existe pas, et encore moins en terrain islamique. Ce professeur l’a appris à ses dépens. Ceux qui pensent pouvoir se protéger derrière la catin Marianne subiront inévitablement le même sort que lui.
La charia s’installe au Francistan
La guerre sémantique étant importante, il est utile de préciser que nous n’avons pas ici affaire à un attentat. Je vous renvoie à l’article de notre Marginal de Retz : « la cible était choisie, pour les raisons précises que l’on connaît. C’est un assassinat religieux, un meurtre punitif ».
Je n’ai jamais apprécié les caricatures outrancières et vulgaires de Charlie Hebdo ; pour autant, insister sur ce sujet me semble hors de propos. L’islam n’a rien à faire en France et en Europe. Les affaires de Charlie Hebdo sont à régler en interne, par des blancs entre blancs. Ce n’est pas à des ignares sortis de je ne sais quel désert de faire la loi, le droit coutumier du tiers monde n’a pas vocation à s’imposer en France.
Il n’y a pas davantage à dire sur l’acte en lui-même qui devient banal dans l’enfer multiracial qu’est devenu la France. Un homme coloré muni d’une arme blanche qui saigne un français, tristement commun en 2020. Il convient en revanche d’évoquer le traitement médiatico-politique de cette affaire, et les questions qu’il soulève.
Dédouaner l’islam avec la carte Mossad
Un peu comme le point Godwin, la carte « Mossad » permet d’évacuer les questions gênantes. Elle est utilisée à outrance par les éternels conspirationnistes lèche-babouche qui surgissent de l’ombre pour nous expliquer que chaque musulman égorgeur est piloté par un agent du Mossad ou de je ne sais quel service. Je ne ferai pas dans l’anti-complotisme primaire, mais ici nous avons clairement affaire à un justicier de l’islam en mission solo pour réparer l’offense faite à son prophète. De plus, déblatérer sur les éventuelles zones d’ombres ne sert à rien, si ce n’est à exonérer ces allogènes coupeurs de têtes qui n’ont besoin de personne pour commettre des crimes. Peu importe les potentielles manœuvres obscures qui pourraient peut-être entourer cette affaire, cela n’enlève rien aux dizaines de milliers de réactions de musulmans se félicitant de la décapitation du « kouffard ». Cela n’enlève rien à tous ces policiers auto-proclamés de la charia qui pullulent sur notre sol et qui empêchent nos femmes de sortir le soir. Tous ces « gens », trop lâches pour passer à l’acte (fort heureusement) mais prompts à se déchaîner sur Internet, existent bel et bien. Les anonymes qui se cachent derrière ces multiples comptes ne sont pas des agents du Mossad ou de je ne sais quel service de renseignement. Il y a une violence intrinsèque à l’islam et au monde musulman, c’est tout simplement indéniable.
Avec ou sans voile, hors de chez nous !
En réaction à la décapitation du professeur, nous avons vu la gauche institutionnelle et les officines dites « antiracistes » tortiller du cul en avouant à demi-mot leur échec devant des français médusés par tant de mauvaise foi et de pilpoul. D’autre part, les bourgeois de salon se réclamant d’une « droite forte » n’ont pas manqué l’occasion pour nous vendre leurs arabes des lumières pour contrer l’islamisme. Ne tombons pas dans ce piège. Oui l’islam est un problème, oui l’islam n’a rien à faire en Europe, mais c’est une conséquence de l’immigration. Nous n’avons que faire d’un islam des lumières, comme le voudrait Marine Le Pen, nous n’avons que faire d’une « Corinne » zemmourienne, ni d’un Érythréen à lunettes sorti de l’ISSEP. Notre sujet, c’est la France ! Nous ne voulons pas d’une France peuplée d’extra-européens grimés en patriotes, de beurettes laïcisées ou encore d’indiens en costumes.
Notre combat, ce n’est pas celui de leur République contre l’obscurantisme musulman. Notre combat c’est celui de la sauvegarde de notre race et de notre civilisation.
La question religieuse n’est qu’une partie du problème, en témoignent les multiples affaires « Victorine » avec leurs lots de suspects et de coupables aux profils raciaux presque toujours exotiques, mais pas nécessairement mahométans. Seuls quelques souverainistes allumés pensent que l’on peut construire un peuple marron artificiel à coup de prénoms français et de cartes d’identité. L’animal assoiffé de chair fraîche blanche Ludovic Bertin avait pourtant un prénom bien français … Éric Zemmour et Marion Maréchal (Auque) auraient-ils quelque chose à nous dire à ce sujet ?
La question raciale doit être abordée sans détour dès qu’il s’agit d’ensauvagement, d’insécurité, de criminalité ou encore d’invasion migratoire.
Il y a depuis ces dernières années une montée des violences envers les blancs de la part de toutes les pseudo-minorités faussement opprimées. L’adoubement du mouvement subversif Black Lives Matter, sponsorisé par les agents d’influence Juifs, a été un catalyseur pour beaucoup d’allogènes qui y voient à juste titre un permis de se payer du blanc !
Ne cédons pas à l’émotion, et restons lucides devant la pitoyable tentative de récupération orchestrée par les mêmes qui ont contribué à islamiser le pays. Derrière la lutte contre l’obscurantisme, nous voyons clairement se dessiner la lutte contre le prétendu « suprématisme blanc », comprendre la lutte contre les blancs qui ont encore une conscience raciale.
Nous n’avons pas vocation à être les tirailleurs de la République maçonnique contre l’islam politique. Le message qui est le nôtre est clair : avec ou sans voile, hors de chez nous !
France d’abord, Blanche toujours !
Oscar Walter
Ni charia Islamique, ni charia republikhaine, libérons le Royaume de France.
Les Français aiment tout le monde, mais ils doivent réapprendre à savoir qui les haient pour les tenir en respect, pour aimer en vérité, sans chercher à nier ce qui est incompatible avec notre Royaume de France.
La France doit renouer avec sa vraie religion catholique pour renouer avec elle-même, la civilisation et sa destinée, sans quoi les protestants de toutes sortes, matérialistes et spiritualistes, atheistes et islamistes, finiront par tuer la Nation.
Chassez le catholicisme, vous aurez le reste, qui sera toujours le pire.
La France avait déjà souffert sévèrement des frondes protestantes, soit disant « guerres de religions », et la voilà confrontée aux Islams et aux idéologies islamo-gauchistes, liberalo-marxistes… Même certains clercs finissent par douter de la vraie foi catholique !
Qui peut être pris en exemple sinon le Christ ? La Vérité est UNE, tout comme Dieu.
Est-ce la République (d’ailleurs ce concept aux relans totalitaires n’a aucun sens), est-ce l’islam ? C’est le manque de sens de la République qui conforte le mahomettan dans son hérésie.
Dis moi ton idéal, je te dirai qui tu es.
Notre relation à Dieu, commande notre relation à autrui.
Le 29 janvier 1881, suite à l’interdiction de la pièce « Thermidor » de Victorien Sardou, jugée « antirépublicaine », Georges Clemenceau répondait à Joseph Reinach :
« J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts. J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre-vingt-dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.
Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.
Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat ».
Pierre Chaunu : « La Révolution française a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition, au nom de Dieu pendant tout le Moyen Age et dans toute l’Europe ».