Le 27 mai 2025, Le Figaro a publié une lettre bouleversante. Écrite deux jours plus tôt, le 25 mai, par Stéphanie, la mère d’Elias, adolescent assassiné à Paris le 24 janvier, ce témoignage glaçant brise le silence. Il dit l’amour d’une mère, la douleur sans nom, mais aussi l’indignation d’une citoyenne lucide.
On y lit une peine immense, mais surtout une accusation : celle d’un système qui a failli à protéger les enfants. Elias avait 14 ans. Il rentrait d’un entraînement de football, à deux pas du stade Jules-Noël, dans le 14e arrondissement. Comme chaque vendredi. Mais ce vendredi-là, il n’a pas téléphoné à sa mère. Ce sont ses amis qui ont appelé. Elias gisait à terre, frappé à la machette.
Dans cette lettre, d’une dignité implacable, Stéphanie demande : « Mais qui s’est moqué d’Elias ? »
Cette question, nous devons l’entendre. Et y répondre. Parce que ce n’est pas un fait divers. C’est un scandale. Un crime permis par la lâcheté, l’idéologie, et l’abandon.
« Mais qui s’est moqué d’Elias ? »
La mère d’Elias ne réclame pas seulement justice — elle dénonce l’impunité. Et chaque ligne de sa lettre cible, avec justesse, les responsables d’une chaîne de renoncements criminels.
« Ces deux adolescents de 16 et 17 ans, qui, en toute impunité, depuis 2021, réitèrent des vols avec violence ? »
« Les juges des enfants qui ordonnent à deux reprises (en 2023 et 2024) une interdiction d’entrer en contact des deux délinquants, sans vérifier leurs adresses et sans s’apercevoir qu’ils habitent dans la même résidence ? »
Ils étaient connus. Signalés. Condamnés. Mais ils rôdaient encore autour du stade. Pourquoi ? Parce que la République a abandonné le peuple à la violence. Elle a remplacé l’ordre par le laxisme judiciaire, et la justice par le pardon systématique. Ce ne sont pas des ratés. Ce sont des choix.
« Les chiffres de la vie se sont moqués de moi »
Stéphanie évoque aussi l’intimité d’une vie brisée, les petits rituels d’un adolescent amoureux de la vie :
« Elias va bientôt avoir 15 ans, il est en troisième au lycée Montaigne. Elias est un adolescent gentil, vraiment gentil, joyeux, beau et fort. Aimé et aimant. »
Mais Elias ne soufflera pas ses 15 bougies. Il a été assassiné en pleine rue, à deux pas de chez lui. Ce ne sont pas les bas-fonds d’un pays lointain. C’est Paris. C’est la France qu’on assassine — une France douce, familiale, enracinée, et désormais vulnérable.
« Elias a été poignardé avec une machette. »
Le mot est répété. Machette. Pas couteau comme les médias-menteurs l’annoncent dans leurs rubriques de faits divers. Pas simple bagarre. Une machette, comme dans les guerres tribales. Mais les médias ont maquillé la scène, édulcoré l’horreur. Car dire la vérité, ce serait remettre en cause les dogmes. Et ces dogmes, ils préfèrent les protéger plutôt que de défendre nos enfants.
République complice, juges aveugles, maire absente
« Cette maire qui n’a pas jugé bon de sécuriser les abords du stade qu’elle savait mal fréquentés ? »
« Les différents ministres de la Santé, de l’Éducation nationale, de la Justice, de l’Intérieur qui n’ont pas pris la mesure depuis des années de la dérive d’une partie de la jeunesse, de son ensauvagement, de l’impact des réseaux sociaux et de la banalisation de la violence chez les adolescents entre eux et contre eux-mêmes ? »
Tout est dit. L’État est partout… sauf là où il faut. Il taxe, il régule, il punit les honnêtes gens, mais il abdique devant la violence réelle. Pire : il la nourrit. Il fabrique des générations sans père, sans limites, sans justice. Et quand ces enfants deviennent des assassins, la machine républicaine les couvre au nom de leur âge, de leurs “contextes”, de leurs “fragilités”.
Mais qui protège les Elias ? Qui protège les enfants bien élevés, les familles sans histoires, les jeunes enracinés ? Personne.
Elias, symbole d’une jeunesse abandonnée
« Qui se moque d’un joueur de foot qui rentre d’un entraînement, comme des milliers de jeunes en France ? »
Elias, c’est l’image même de la jeunesse française sacrifiée : il n’a pas “provoqué”, il ne “traînait pas”, il ne “connaissait pas ses agresseurs”. Il vivait sa vie, paisiblement. Et c’est pour cela que son meurtre est un message terrible : personne n’est à l’abri.
La République, devenue complice par idéologie, a renoncé à sa mission première : assurer la sécurité des siens. On préfère pleurer des victimes que prévenir des drames. On préfère nier la réalité que l’affronter.
L’État interdit à un honnête citoyen de porter un opinel, mais laisse traîner des adolescents avec des machettes
Voilà où nous en sommes : un père de famille, un artisan, un paysan risque une amende s’il porte un opinel dans la poche de son pantalon. Mais des mineurs multirécidivistes armés de machettes rôdent dans les rues, connus de la justice, sans contrôle, sans sanction sérieuse.
Cette inversion des responsabilités est le cœur du naufrage. Le citoyen paisible est suspect. Le délinquant armé est une « victime sociale ». Le système protège les uns… et sacrifie les autres.
Nous n’oublierons pas Elias
« Je patiente. Et je saurai qui s’est moqué de nous. »
Madame, votre lettre est un acte de courage. Un acte d’amour. Un acte de vérité.
Nous n’avons pas confiance en l’État.
Pas confiance en ses ministres, ses juges, ses maires, ses journalistes.
Mais nous avons confiance dans la mémoire des peuples, dans la voix des mères, et dans la flamme de ceux qui ne veulent pas baisser les yeux.
Elias n’est pas un chiffre. Elias est un nom. Un visage. Une vie fauchée.
Nous n’oublierons pas Elias
Nous n’oublierons pas Lola
Nous n’oublierons pas Thomas
Nous n’oublierons pas Matisse
Nous n’oublierons pas Louise
Et tant d’autres jeunes Français victimes de la faillite républicaine.
La grande faucheuse n’épargne personne et ne fait pas de discrimination. Ceci dit, je me pose tjs des questions au sujet du profil de cette personne en ce qui concerne la mère. Est-elle une maman solo? gauchiste comme la grande majorité des femmes? L’origine de tous ces drames est surtout la castration de l’homme Blanc, auquelle cette femme a sans doute contribué, et la fin du patriarchat.
Il existe des femmes fortes…LIVRE DES PROVERBES DE L’A;T
Chapitre 31
1 Paroles du roi Lamuel; sentences par lesquelles sa mère l’instruisit:
2 Que te dirai-je, mon fils? Que te dirai-je, fils de mes entrailles? Que te dirai-je, mon fils, objet de mes voeux?
3 Ne livre pas ta vigueur aux femmes, et tes voies à celles qui perdent les rois.
4 Ce n’est point aux rois, Lamuel, ce n’est point aux rois de boire du vin, ni aux puissants de rechercher les liqueurs fermentées:
5 de peur qu’en buvant ils n’oublient la loi, et ne faussent le droit de tous les malheureux.
6 Donnez des liqueurs fortes à celui qui périt, et du vin à celui dont l’âme est remplie d’amertume:
7 qu’il boive, et qu’il oublie sa misère, et qu’il ne se souvienne plus de ses peines.
8 Ouvre ta bouche en faveur du muet, pour la cause de tous les abandonnés.
9 Ouvre ta bouche, rends de justes arrêts, et fais justice au malheureux et à l’indigent.
10 Qui peut trouver une femme forte? Son prix l’emporte de loin sur celui des perles.
11 Le coeur de son mari a confiance en elle, et les profits ne lui feront pas défaut.
12 Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie.
13 Elle recherche de la laine et du lin, et travaille de sa main joyeuse.
14 Elle est comme le vaisseau du marchand, elle apporte son pain de loin.
15 Elle se lève lorsqu’il est encore nuit, et elle donne la nourriture à sa maison, et la tâche à ses servantes.
16 Elle pense à un champ, et elle l’acquiert; du fruit de ses main, elle plante une vigne.
17 Elle ceint de force ses reins, et elle affermit ses bras.
18 Elle sent que son gain est bon; sa lampe ne s’éteint pas pendant la nuit.
19 Elle met la main à la quenouille, et ses doigts prennent le fuseau.
20 Elle tend la main au malheureux, elle ouvre la main à l’indigent.
21 Elle ne craint pas la neige pour sa maison, car toute sa maison est vêtue de cramoisi.
22 Elle se fait des couvertures, la byssus et la pourpre sont ses vêtements.
23 Son époux est bien connu aux portes de la ville, lorsqu’il siège avec les anciens du pays.
24 Elle fait des chemises et les vend, et elle livre des ceintures au marchand.
25 La force et la grâce sont sa parure, et elle se rit de l’avenir.
26 Elle ouvre la bouche avec sagesse, et les bonnes paroles sont sur sa langue.
27 Elle surveille les sentiers de sa maison, et elle ne mange pas le pain d’oisiveté.
28 Ses fils se lèvent et la proclament heureuse; son époux se lève et lui donne des éloges:
29 «Beaucoup de filles se sont montrées vertueuses; mais toi, tu les surpasses toutes.»
30 Trompeuse est la grâce, et vaine est la beauté; la femme qui craint Yahweh est celle qui sera louée.
31 Donnez-lui du fruit de ses mains, et que ses oeuvres disent sa louange aux portes de la ville.
C est facile de s en prendre aux mère solo actuelles…Mais c est le résultat du bulletin de vote des babyboomers qui determine sa triste vie.
Vous me direz qu elle n a pas eu d éducation catholiques et la je vous répondrais que si on regarde les bulletins de vote des bastions catholiques tradi compris on tombe de haut.
Je pense que les plus mauvais des français sont les catholiques de droite qui bien que drapés dans leur vertue face à la masse arbitrent leur vie professionnelle et electorale en fonction de l’intérêt de leur classe sociale sachant en toute conscience que c est rarement dans l intérêt général des plus modestes.
Donc non cette pauvre femme fait sa vie avec les miettes laissées sur la table par la génération précédente qui a imposé des codes sociaux et moraux nouveaux pour notre malheur.
Je suis tjs étonné par cette réaction épidermique dès qu’on se fait la moindre réflexion au sujet d’une femme, ce besoin de vouloir encore sauver « la veuve et l’orphelin » dans une société qui a littéralement castrée l’homme. Elles n’ont pas besoin de votre protection, elles sont déjà sur-protègées et jouissent de tous types d’avantages auxquels un homme n’ose même pas rêver. Que vous l’ignorez ou prétendez ne pas le savoir en dit long sur vous même. Y pas si longtemps, j’avais écouté un podcast de Boris le Lay où deux jeunes français venaient témoigner de leur calvaire dans une école où ils étaient une minorité. Pas de besoin de rentrer dans les détails au sujet des harcèlements et humiliations qu’ils y subissaient. Mais tu sais qui semblaient y avoir le plus de plaisir à les voir se faire humilier et tabasser jusqu’au moment où ils décidèrent de suivre des cours de combat? Tes françaises de souche…Elles étaient toutes liées à des Noires et des Arabes. Je te conseille les bouquins de Sylvain Durain avant de venir içi jouer les Chevalier Blancs.
Qu’est-ce que c’est encore que ces commentaires débiles pour se demander si la mère d’Elias était une maman solo et gauchiste ? C’est le problème ? C’est le sujet dont on parle ?
Et quand je vois qu’on y répond pour incriminer les catholiques de droite, non mais ça va la tête ?
Moi, je crois que le problème, il est plutôt chez nous, dans notre milieu natio où, de moins en moins au fur et à mesure que le temps passe, je suis témoin, de plus en plus souvent, de semblables inaptitudes à l’analyse avec des propos et des réactions sans rapport avec le sujet abordé. Faut-il s’étonner si on n’arrive à rien ?
Et pourquoi pas? Mes arguments eux tiennent la route…à vous donc de m apporter la juste contradiction.
On est de plus plus de plus nombreux à être hostile avec votre vieille garde de boomers maurassienne. il va falloir vous y faire les catholiques n ont plus la cote.
Je partage entièrement votre avis. La réalité, c’est que la France est gouvernée par des criminels qui protègent les délinquants et les criminels. Des criminels qui sont en guerre, de facto, contre la paix, contre la justice et contre les honnêtes gens.