Saint Germanicus
Martyr, disciple de saint Polycarpe (✝ 168)
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Persécutions judiciaire contre Yvan Benedetti et Jeune Nation
France
- Un couple d’Africains mis en examen après avoir noyé son enfant
- Amine Zzahri tue sa victime de 20 coups de couteau : 10 ans de prison
- Le voleur de 5,5 millions d’euros de bijoux à Paris arrêté en Roumanie
- Les « envahisseurs de Merkel » arrivent à Paris
- (((Serge Dassault))) absent à son procès
- Fillon convoqué au « Mémorial de la Shoah » renouvelle son allégeance au judaïsme politique
Etranger
Europe
- Royaume-Uni : Clare Moseley la « pasionaria » cynique et dégénérée de la jungle de Calais
- Europe : les centres d’accueil pour envahisseurs, des passoires lourdes de menaces
- Italie : des envahisseurs somaliens tentent de vandaliser la préfecture de Florence
- Russie : polémique autour d’une plaque à la mémoire de l’amiral Kolchak en Sibérie
- C’est à lire !
Monde
- La militante canadienne pro-vie Mary Wagner de retour en prison
- Davos : les mondialistes s’inquiètent de la faible adhésion des peuples
- Syrie : contre-attaques de la Garde présidentielle et du Hezbollah à Deir ez-Zor et Palmyre
- C’est à lire !
Vidéo
- À visage découvert : Le documentaire d’Arte censuré sur Bachar Al Assad
Radio
- Méridien Zéro Orages d’Acier #47 – “Une promenade en Provence avec Marcel Pagnol”
Kiosque
- Rivarol n° 3266
Ephéméride nationaliste
- 19 janvier 1907 : naissance de Robert Lee
- 19 janvier 1969 : mort de Jan Palach
Agenda
- Clermont-Ferrand : Galette des rois du PNF Auvergne
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Actualité nationaliste en France
Persécutions judiciaire contre Yvan Benedetti et Jeune Nation
Procès: Yvan Benedetti comparaîtra à l’audience du jeudi 26 janvier à 13h30 salle Grévy devant le Pôle 2 -chambre 7 de la Cour d’Appel de Paris 10, boulevard du Palais Escalier K au 2ème étage.
Il s’agit de 2 procès en appel, l’un pour diffamation envers le magistrat (((David Charmatz))) et l’autre pour des articles et visuels de Jeune Nation contre l’immigration.
France
Un couple d’Africains mis en examen après avoir noyé son enfant
La mère et son compagnon, soupçonnés du meurtre et d’actes de tortures sur l’enfant, ont été mis en examen et placés en détention.
Un couple d’africains a été mis en examen vendredi soir à Nantes et placé en détention provisoire pour meurtre et tortures sur le fils de la femme, âgé de huit ans. Ces mises en examen correspondent aux réquisitions du parquet qui avait retenu les qualifications d’« homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans » et d’« actes de torture et de barbarie ».
Le couple avait appelé les pompiers mercredi 11 janvier en fin d’après-midi, mais ceux-ci n’avaient pu que constater le décès de l’enfant dans l’appartement familial à Saint-Herblain, en périphérie de Nantes. La mère et son compagnon avaient d’abord évoqué un décès accidentel, mais les premiers éléments de l’enquête et les témoignages recueillis ont rapidement contredit cette thèse. L’autopsie a conclu à un décès par noyade du garçon, mais, « semble-t-il, dans un contexte de violences », son corps présentant plusieurs hématomes, a expliqué une source judiciaire.
Depuis plusieurs mois, l’enfant aurait, « de manière régulière, fait l’objet de sévices très appuyés, de coups, et à certaines occasions était entravé par des liens », a-t-on indiqué de même source. Mercredi, le jour du drame, l’enfant, David, aurait été de nouveau puni et frappé avec un objet non identifié à son retour de l’école avant de devoir supporter « la punition de la baignoire », remplie d’eau froide. Il aurait été entravé aux chevilles et aux poignets avec des liens qui ont ensuite été retrouvés dans l’appartement.
Un voisin a témoigné avoir entendu l’enfant crier, demandant à plusieurs reprises « pardon » à sa mère et promettant qu’il « ne recommencerai(t) plus ». Le couple est soupçonné d’avoir déjà infligé par le passé et à plusieurs reprises « la punition de la baignoire » au jeune garçon. Apparemment en bonne santé, deux autres enfants, âgés de trois ans et 18 mois, vivaient dans la famille, inconnue des services sociaux. Le plus jeune au moins serait l’enfant du couple.
Né en Côte d’Ivoire et élevé par sa grand-mère, David avait rejoint sa mère en France fin août dernier. Âgée de 26 ans, celle-ci était venue officiellement en France en 2008 pour poursuivre des études de droit. Elle était en fait femme au foyer.
Amine Zzahri tue sa victime de 20 coups de couteau : 10 ans de prison
Amine Zzahri, 23 ans, vient d’être condamné à dix ans de prison par la cour d’assises des Alpes-Maritimes.
Il a tué à coups de couteau Miguel Figaldo Goncalves, un Capverdien de 28 ans, dans un ascenseur d’un immeuble HLM de la cité des Moulins, le 25 septembre 2014. Les deux protagonistes étaient connus de la justice.
L’accusé a expliqué qu’il avait été menacé et qu’il était parvenu à désarmer son agresseur avant de lui asséner une vingtaine de coups de couteau.
L’accusé, lui-même victime d’une grave agression en 2013 à Juan-les-Pins, garde de graves séquelles qui pourraient expliquer sa réaction, selon son avocate Me Audrey Vazzana.
L’avocat général Julie Rouillard avait requis quinze ans de réclusion criminelle.
Le voleur de 5,5 millions d’euros de bijoux à Paris arrêté en Roumanie
Le 30 décembre, l’homme avait volé pour 5,5 millions d’euros de bijoux à Paris, sans arme ni violence.
L’homme qui avait subtilisé avec une agilité époustouflante deux diamants et deux bagues, pour un montant estimé à 5,5 millions d’euros, chez le célèbre joaillier et diamantaire De Grisogono à Paris le 30 décembre, a été arrêté en Roumanie le 12 janvier.
Surnommé « Le voleur aux mains d’or », ce Roumain de 42 ans, George P…, avait dérobé les écrins des diamants et des bagues par un tour de passe-passe en se présentant courtier pour un client. Le vol n’avait été découvert que quelques heures plus tard. L’escroc avait remplacé les pierres et les bagues par de vulgaires copies sans aucune valeur.
Le voleur a tenté de revendre en vain l’une des bagues dans un hôtel de Ploiesti (Roumanie). L’une des bagues a été retrouvée. Une équipe de la Brigade de répression du banditisme, (BRB) chargée de l’enquête, est actuellement en Roumanie où les services de lutte contre le crime organisé ont arrêté six autres personnes dans cette même affaire.
Les « envahisseurs de Merkel » arrivent à Paris
Chaque jour, entre 50 et 100 envahisseurs déboutés du droit d’asile en Allemagne entreraient en France. À Paris, les centres d’accueil sont saturés.
C’est le nouveau casse-tête du gouvernement. Combien d’envahisseurs, déboutés en 2016 de leur demande d’asile en Allemagne vont tenter leur chance en France ?
Depuis le début de l’année, la préfecture de police estimerait qu’ils sont entre 50 et 100 à arriver chaque jour dans la capitale, leurs conditions de séjour outre-Rhin étant de plus en plus difficiles.
Thomas de Maizière, le ministre allemand de l’Intérieur, a décidé de renvoyer à Athènes les migrants entrés dans l’espace Schengen par la Grèce. Cette procédure avait été suspendue en 2011. Mais depuis le 19 décembre et l’attentat de Berlin, la police fédérale a intensifié les expulsions de sans-papiers, déboutés du droit d’asile compris…
En 2016, Berlin a enregistré quelque 280 000 nouvelles demandes d’asile sur un total de 745 545 en cours de traitement, parmi lesquelles 162 510 ont été déposées par des Syriens et 127 892 par des Afghans… Or si les premiers obtiennent un titre de protection dans près de 100% des cas – lorsqu’ils réussissent à prouver leur identité –, ce n’est pas le cas des seconds. L’Allemagne refuse une demande afghane sur deux. Et la plupart de ces derniers atterrissent donc à Paris.
Un phénomène inquiétant car la capitale n’a plus de capacité d’accueil. La « bulle », le centre humanitaire de 400 places ouvert porte de la Chapelle au mois de novembre par Anne Hidalgo, est déjà saturée. La Mairie de Paris vient d’ailleurs d’annoncer l’ouverture prochaine de 200 places supplémentaires. Depuis quelques jours, les campements sauvages commencent à se reformer.
Il s’agit de migrants dont les empreintes ont déjà été enregistrées dans un autre pays de l’UE.
(((Serge Dassault))) absent à son procès
Le procès du sénateur (((Serge Dassault))) a démarré le lundi 16 janvier.
Le PDG du groupe Dassault, 91 ans, est poursuivi pour blanchiment de fraude fiscale. En cause, les comptes de quatre fondations et sociétés, basés au Luxembourg et au Liechtenstein, qui ont abrité jusqu’à 31 millions d’euros en 2006, près de 12 millions en 2014.
Mais le sénateur ne s’est pas présenté à son procès !
Comment la justice française peut-elle accepter d’être ainsi narguée par le milliardaire ? Est-ce qu’il est au-dessus des lois parce qu’il est né (((Serge Bloch))) ?
Fillon convoqué au « Mémorial de la Shoah » renouvelle son allégeance au judaïsme politique
La proposition avait été lancée il y a plusieurs mois déjà. « Les responsables du Mémorial de la Shoah souhaitaient recevoir François Fillon pendant la campagne de la primaire », expliquent les proches de l’ancien premier ministre. Mais l’invitation n’avait pas pu être honorée avant ce lundi 16 janvier. Toute la matinée, le député de Paris a visité le musée parisien retraçant l’histoire des juifs de France, a consulté certaines des archives – dont l’un des télégrammes de Klaus Barbie sur la déportation des 44 enfants d’Izieu. Le candidat à la présidentielle a longuement examiné le Mur des noms qui recense 76 000 juifs déportés de France et s’est recueilli dans la crypte creusée sous le parvis, accompagné par les représentants du Mémorial ainsi que par Serge Klarsfeld et son fils Arno.
Le candidat de la droite à la présidentielle a tenu à faire part de « l’émotion très profonde » qu’il a ressentie dans ce lieu d’études et de mémoire. Mais peine perdue, les maîtres du lieu n’ont pas manqué d’humilier François Fillon au sujet de son catholicisme, pourtant bien nuancé, en imputant quasiment à la religion multiséculaire des Français l’invention des persécutions contre leur petite communauté.
« Ce ne sont pas les nazis qui ont inventé l’étoile jaune, a ainsi rappelé le directeur du Mémorial, Jacques Fredj. C’est l’Église avec l’invention de la rouelle [morceau d’étoffe imposée aux juifs au Moyen-Âge] ».
Silence gêné et tête baissée de François Fillon qui venait là pour rencontrer à nouveau des représentants de la communauté juive avec qui les relations n’ont pas toujours été au beau fixe ces derniers mois. En novembre, à quelques jours du second tour de la primaire qui allait le consacrer champion de la droite pour la présidentielle, François Fillon avait expliqué sur Europe 1 que dans le passé « on a combattu la volonté des Juifs de vivre dans une communauté qui ne respectait pas toutes les règles de la République française ». La déclaration avait conduit le grand rabbin de France, Haïm Korsia, à demander un entretien avec l’ancien premier ministre.
A la fin de sa visite, François Fillon a bien rassuré ses maîtres en récitant sa leçon de valet du judaïsme politique. Dans une courte allocution il a clairement souligné combien les fils qui ont conduit au génocide sont entremêlés.
« On mesure devant la liste incroyablement longue des noms des victimes de la Shoah combien les Européens, les nazis singulièrement, et tous ceux qui leur ont prêté la main – en particulier le régime de Vichy – ont commis le crime ultime », a expliqué le député de Paris.
« On mesure à quel point il est nécessaire aujourd’hui de faire le travail de mémoire pour lutter contre ceux qui nient ce crime et lutter contre l’antisémitisme et le racisme qui continuent à être une forme de cancer pour notre humanité, a-t-il ajouté. L’antisémitisme est toujours présent. On l’a vu avec les enfants assassinés à l’école de Toulouse, avec les victimes de l’Hyper Cacher. »
Et pour justifier sa venue au Mémorial, il a expliqué « qu’ici, on se bat pour défendre les juifs, lutter contre l’antisémitisme et à travers ce combat, on se bat pour défendre la France et la République ».
On a bien compris que François Fillon ne sera pas le candidat de la transgression et de la libération de la France du lobby qui la tient sous sa coupe, le judaïsme politique.
Etranger
Europe
Royaume-Uni : Clare Moseley la « pasionaria » cynique et dégénérée de la jungle de Calais
L’association « Care4Calais » a été fondée en 2015, après que Clare Moseley ait été émue jusqu’aux larmes par le sort des migrants vivant dans la « jungle de Calais », cet ensemble de camps d’envahisseurs installés, depuis le début des années 2000, aux abords de l’entrée française du tunnel sous la Manche qui relie la France et le Royaume-Uni.
Une fois Care4Calais officiellement reconnue, Clare Moseley s’est mise en ménage avec Mohamed Bajjar, un envahisseur tunisien, ancien marchand boursier, se prétendant Syrien et menacé par l’État Islamique, qui est devenu le garde du corps et le traducteur de l’humanitaire britannique.
Selon un médiat anglais, « Clare Moseley était follement amoureuse de Kimo [surnom de Mohamed Bajjar] et là elle ne sait plus comment se dépatouiller, car il y a un sérieux risque qu’elle perde la direction de son association. Tout le monde ici, dans le camp, savait qu’ils sortaient ensemble. D’ailleurs, la plupart des migrants pensaient qu’ils étaient mari et femme, tellement on les voyait tout le temps ensemble… »
La volontaire britannique a donc quitté époux et domicile pour la jungle où elle était tombée amoureuse du jeune réfugié tunisien – alors qu’elle interdisait aux membres de son association tout acte sexuel avec les migrants… Et elle a entretenu cette relation avec Mohamed Bajjar, fait connu par la majorité des pensionnaires de la «jungle de Calais», au nord de la France, et par les humanitaires qui opéraient dans ce centre.
Au début du mois courant, la rumeur a circulé que la citoyenne britannique, âgée de 46 ans, a mis fin à cette relation avec le jeune tunisien, âgé de 27 ans qui lui aurait extorqué plusieurs milliers de livres sterling. Des proches de Mme Moseley ont déclaré que Mohamed Bajjar avait menacé son amie britannique de tout divulguer sur cette relation à son époux et même de faire parvenir à ce dernier des photos attestant de cette relation.
Et là revirement total ! Aujourd’hui, Mme Moseley accuse Mohamed Bajjar de lui avoir soutiré beaucoup d’argent, en prétendant qu’il en avait besoin pour aider sa famille en Tunisie. Et le 6 janvier, Bajjar a été arrêté pour suspicion de vol du téléphone de Clare Moseley.
Après un bref séjour où elle a retrouvé son époux Benjamin, 38 ans, et le domicile conjugal, un 5-pièces d’une valeur de 700 000 livres, soit près de 2 millions de dinars tunisiens, à Wirral, dans le Merseyside, centre-est de l’Angleterre, Mme Moseley a repris du service au port français de Calais, tout gardant « une distance de sécurité » d’environ deux kilomètres entre elle et Mohamed Bajjar.
Rappelons que Clare Moseley avait été élue parmi les « Six femmes de l’année 2015 » par le quotidien britannique The Guardian. Naïveté touchante des journalistes qui ne voyaient pas à travers son histoire un moyen commode d’émouvoir le bon peuple afin d’anesthésier toute velléité de résistance à l’invasion ?
Europe : les centres d’accueil pour envahisseurs, des passoires lourdes de menaces
Un journaliste pakistanais disposant de papiers allemands, Shams Ul-Haqa, a mené une enquête d’infiltration dans les centres de réfugiés en Allemagne, en Autriche et en Suisse pour découvrir le quotidien des envahisseurs qui y séjournent. Son enquête set accablante notamment du point de vue sécuritaire.
Il fait remarquer que l’enregistrement bâclé des demandeurs d’asile et les mauvaises conditions de sécurité qu’il a constatées dans les centres d’accueil sont lourds de menaces et pourraient entraîner une situation chaotique à travers toute l’Europe.
Il explique qu’il a réussi à pénétrer dans 35 centres d’asile situés en Allemagne, en Autriche et en Suisse durant l’été 2015 en se faisant passer le plus simplement du monde pour un réfugié : « Il m’a suffit de ne pas me raser quelques jours et d’enfiler des vêtements sales pour rentrer dans les centres sans aucun problème ».
Dans certains des centres, ses empreintes digitales ont été enregistrées sans qu’aucune vérification de son identité n’ait jamais été effectuée pour savoir s’il était une personne recherchée. Ainsi, à Traiskirchen, dans l’état autrichien de Basse-Autriche, il a simplement eu à franchir la clôture, sans aucun contrôle pour y pénétrer.
Dans un centre d’accueil situé à Kreuzlingen, dans le nord-est de la Suisse, lorsqu’il en a eu assez de rester à l’intérieur, il a demandé à ce que sa demande d’asile soit abandonnée, suite à quoi il a été lâché dans la nature, sans aucun document qui lui aurait permis de justifier son identité ou sa situation de demandeur d’asile.
Ces conditions complètement anarchiques permettent à des islamistes radicaux d’infiltrer les centres d’accueil afin d’y influencer des migrants « vulnérables », au profil psychologique fragile, et de les radicaliser pour les inciter à commettre des actes terroristes. « Les salafistes s’inscrivent comme bénévoles, se rasent la barbe pour passer inaperçus, entrent en contact avec les réfugiés, les influencent avec un discours extrémiste et les invitent à les suivre dans des mosquées », raconte Shams Ul-Haqa. « Les réfugiés dans les foyers s’ennuient, ils n’ont rien à faire, ils ont du temps à perdre, sont frustrés et insatisfaits. Ces conditions sont idéales pour les terroristes qui ont besoin de recruter ».
Au terme de son enquête, il conclu que les conditions de sécurité déplorables qui règnent dans les centres sont le terreau de l’infiltration de terroristes qui embrigadent les réfugiés.
Invasion migratoire : stop ou encore ?
Italie : des envahisseurs somaliens tentent de vandaliser la préfecture de Florence
La semaine dernière, une jeune ivoirienne est morte dans un centre près de Bologne et l’arrivée tardive des secours a fait polémique. Les envahisseurs accueillis là avaient alors spontanément pris en otage les bureaux du centre pendant quelques heures pour faire entendre leur colère.
Dans la nuit du jeudi soir 12 janvier, c’est après l’incendie d’un centre à Florence et la mort d’un Somalien que de nouveaux mouvements de colère ont explosé dans la rue. La situation a été très tendue devant la préfecture. Face à la police, des envahisseurs somaliens venus protester et demander des solutions de relogement. Une des baraques de fortune dans laquelle ils vivaient a pris feu, un homme est décédé. « Nous ne sommes pas des invités, nous voulons une vraie maison », réclament-ils sur un ton menaçant.
Et la manifestation a dégénérée : les envahisseurs ont tenté d’entrer de force dans le siège de la préfecture de Florence obligeant la police anti-émeute à intervenir pour contenir les Somaliens. Il a fallu plusieurs heures aux forces de l’ordre pour rétablir le calme.
Depuis début 2016 l’Italie a accueilli près de 180 000 envahisseurs sur son territoire, un record. Ils viennent en grande partie de la Corne de l’Afrique, c’est à dire pas vraiment des réfugiés de guerre… Et le climat en Italie est de plus en plus délétère, alors même que la saison hivernale ne voit pas le nombre d’arrivées en Méditerranée diminuer.
Vidéo :
Russie : polémique autour d’une plaque à la mémoire de l’amiral Kolchak en Sibérie
À Chipounovo, dans l’Altaï, un entrepreneur a installé une plaque commémorative au plus célèbre commandant des armées blanches, l’amiral Kolchak, et a provoqué l’indignation de ses voisins.
De loin, l’hôtel de Chipounovo, un village à 180 km au sud-ouest de Barnaoul, ressemble à un navire. Le deuxième étage est orné d’une passerelle avec son gouvernail. Sur la balustrade du « pont », au premier étage, des drapeaux sont dressés : celui de la Croix de Saint André, drapeau de la Flotte russe, le drapeau rouge soviétique et le russe tricolore. Auprès de l’entrée, à côté d’une ancre suspendue, une plaque de marbre noir est fixée au mur. Elle représente un homme en veste de marine blanche. Sur ses pattes d’épaules : deux aigles bicéphales.
« Je suis le propriétaire de ce bâtiment. Il abrite un hôtel, où je vis. Et nous avons fait installer, au rez-de-chaussée, cette plaque commémorative à l’amiral Koltchak, explique Vladimir Loktionov, retraité. Il est impossible de rayer cet homme de l’Histoire. »
« Autrefois, comme la majorité des Russes passés par l’école soviétique, je le voyais comme un personnage négatif », admet-il. Tout a changé en 1989, lorsque Vladimir, au cours d’une croisière en bateau sur le Cercle polaire, a assisté à la conférence d’une historienne sur l’amiral blanc. « J’ai alors entendu parler pour la première fois de beaucoup de choses, raconte le retraité : j’ai appris que Koltchak avait réalisé deux expéditions vers le Cercle polaire, qu’il s’était battu en mer du Japon. Il a défendu notre Patrie. Il a combattu sur la Baltique. Il a chassé de la mer Noire tous les Allemands. C’est, jusqu’aujourd’hui, le plus jeune amiral du monde. C’est un officier courageux, audacieux. »
Loktionov explique avoir mis un an à récolter les fonds nécessaires à l’installation de la plaque, qui lui a coûté 50 000 roubles (environ 790 euros). « Les clients m’ont aidé à en recueillir un quart », précise-t-il. L’inauguration s’est tenue le 16 janvier 2016 – jour de l’anniversaire de l’amiral. En prévision de cette cérémonie solennelle, Vladimir avait mis une annonce dans le journal, prévenu la télévision locale et envoyé des invitations personnelles à chacun des habitants de Chipounovo. Mais les journalistes ne sont pas venus et, au final, quatre personnes seulement ont assisté à l’inauguration. Les villageois ont expressément ignoré l’apparition de ce nouveau monument.
« Aujourd’hui, les petits jeunes se prennent en photo à côté de la plaque, ils font des selfies. Mais les anciens sont profondément indignés !, ajoute-t-il. La guerre civile est une tragédie pour notre peuple, et le rôle de Koltchak dans cette tragédie est loin d’être héroïque. Il a fait couler le sang dans notre village ! » affirme Vladimir Gorchkov, un retraité. Alexandre Vakaïev, premier secrétaire du comité de district du KPRF, Parti communiste de la Fédération de Russie pour Chipounovo, est d’accord.
Igor Vorobev, archiprêtre de l’église du lieu, s’efforce pour sa part de réconcilier les partisans du commandant et ceux de l’amiral. Il confie avoir donné sa bénédiction à Vladimir Loktionov pour l’installation de la plaque commémorative à Koltchak. « Nous avons décidé de bénir cette entreprise, afin de contribuer à la réunification des gens, explique le responsable religieux. Il ne faut pas porter sur l’Histoire un regard unilatéral. Dans notre pays, l’Histoire a été aussi bien blanche, que noire, et rouge. On sait que Koltchak voulait stabiliser la situation lors d’une période terrible de l’Histoire. Et à en juger par sa correspondance, il a tenté de le faire avec honnêteté. On ne peut pas rayer son nom de l’histoire de l’État ni de l’Altaï. »
Vladimir Loktionov, lui aussi, affirme avoir installé cette plaque commémorative afin, notamment, d’unir les gens. « Cent ans sont passés, et notre société est toujours divisée, poursuit Vladimir. Tout le monde est réconcilié : les Japonais, les Allemands… »
Alexandre Vassilievitch Kolchak, né le 16 novembre 1874 (4 novembre du calendrier grégorien) à Saint-Pétersbourg était un officier de marine russe, océanographe et hydrographe. Nommé n 1916 il fut le plus jeune vice-amiral et on lui confia le commandement de la flotte de la mer Noire. Pendant la Révolution russe, en 1918, il avait été élu Gouverneur suprême de la Russie et chef des armées blanches sibériennes par les forces anti-bolchéviques. Lâché par les « Alliés » et trahi par l’armée tchèque aux ordres du général Janin, il est livré au soviet local d’Irkoutsk et fusillé par les bolcheviques le 7 février 1920.
C’est à lire !
– L’influence israélienne aux Parlements anglais et français :
Combien de députés britanniques (et français) travaillent pour Israël ? par Jonathan Cook
Monde
La militante canadienne pro-vie Mary Wagner de retour en prison
Mary Wagner, Canadienne catholique de 42 ans, qui totalise désormais quatre ans et demi de sa vie en prison, mais qui peut se targuer d’avoir contribué à sauver plus de cent vies humaines. La dernière fois, c’était le 12 décembre dernier, pour la fête de Notre-Dame de Guadalupe, patronne des enfants à naître, dans un avortoir de Toronto où elle cherchait à convaincre les femmes venues se faire avorter de garder leur enfant. Mais cela lui a valu d’être arrêtée et de passer son troisième Noël de suite en prison puisqu’elle avait l’interdiction de s’approcher de tout lieu où l’on avorte après sa libération de prison le 26 avril dernier. Elle avait alors purgé une peine de quatre mois et demi de privation de liberté pour la même raison, comme toutes les fois précédentes.
Sa méthode, totalement non violente, consiste à s’approcher de chaque femme, l’une après l’autre, en lui demandant avec douceur pourquoi elle veut tuer son enfant et en lui assurant qu’elle peut obtenir de l’aide et que Jésus l’aime.
Fin novembre, Mary Wagner comparaissait dans un procès en appel pour une condamnation antérieure. Elle avait demandé à faire venir à la barre à titre d’experts deux professeurs de médecine, spécialistes de bioéthique, dans le but de démontrer scientifiquement au tribunal que chaque personne est un être humain dès le moment de sa conception, et qu’il n’y a pas d’autre moment que la fécondation qui puisse être scientifiquement désigné comme le début de la vie humaine. Mais le juge de la cour d’appel de Toronto a refusé d’entendre ces experts, considérant que puisque la jurisprudence canadienne ne reconnaît la personne humaine qu’une fois celle-ci entièrement sortie du ventre de sa mère, les considérations éthiques et biologiques n’ont aucune importance. Le tribunal a en conséquence rejeté en bloc l’argumentation de l’avocat de Mary Wagner, selon laquelle la jurisprudence canadienne, en autorisant l’avortement sur simple demande jusqu’au dernier jour de la grossesse, autorisait de fait un crime contre l’humanité et était donc contraire au droit international.
Une fois de plus, l’arrestation de Mary Wagner est passée sous silence par les grands médias canadiens, à l’exception du site Internet « pro-vie » Life Site News.
Davos : les mondialistes s’inquiètent de la faible adhésion des peuples
L’édition 2017 du Forum économique mondial s’est ouverte ce mardi 17 janvier à Davos, dans les Alpes suisses dans une ambiance contrastée.
En effet la semaine a commencé avec des propos iconoclastes de Donald Trump exposant à deux journaux européens son dédain de l’OTAN, de l’Union européenne et de la chancelière allemande. Le même homme sera, à la fin de la semaine, sacré 45e président des États-Unis.
D’ici là, la première ministre britannique, Theresa May, aura expliqué à ses concitoyens, sa stratégie de « sortie dure » de l’Union européenne, une rupture « claire et nette ». Et deux jours plus tard, jeudi, elle viendra à Davos tester les réactions d’une audience internationale aux modalités de son plan, sans précédent.
Ayant compris assez tôt qu’il y aurait cette année une sorte de vacance du pouvoir à Davos, entre deux administrations américaines qui se passent le relais de manière mouvementée et polémique, les Chinois ont décidé de combler le vide massivement : non seulement le Forum accueille une importante délégation chinoise, mais celle-ci est emmenée par le président Xi Jinping lui-même.
C’est d’ailleurs la première fois qu’un président chinois fait le déplacement à Davos. Non seulement les représentants de l’empire du Milieu viennent en force, mais ils apparaissent, compte tenu de la confusion générale, comme les garants de la stabilité et du libre-échange : vue de Pékin, la mondialisation reste une valeur sûre dans ce pays où pourtant le parti communiste reste, en coulisse, au commande y compris et surtout de l’économie… « Cela ne sert à rien de blâmer la mondialisation » pour les problèmes de la planète, a affirmé le président chinois. Certes, cette mondialisation n’est que la conséquence du déroulement du plan des oligarchies capitalistes et financières, les vrais responsables…
Loin d’abandonner ce « forum », pourtant, les élites aujourd’hui si contestées y viennent encore plus nombreuses : quelque 3 000 participants, dont 1 200 patrons et une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement se pencheront donc cette semaine sur le thème du « leadership réactif et responsable ». Ce thème est d’autant plus opportun qu’une étude PWC publiée à l’ouverture du Forum révèle un fossé béant entre les perceptions qu’ont les patrons et le grand public des effets de la mondialisation : 60 % des patrons les jugent positifs, tandis que ce chiffre n’atteint que 38 % dans la population.
C’est plutôt leur étonnement qui nous étonne au vu des résultats de leur mondialisation : crise financière sur crise de la dette, explosion des inégalités tout autant que des nouvelles bulles financières, paupérisation et chômage de masse et on en passe…
Syrie : contre-attaques de la Garde présidentielle et du Hezbollah à Deir ez-Zor et Palmyre
Cinq quartiers autour de l’aéroport de Deir ez-Zor ainsi que la base aérienne elle-même sont toujours sous le contrôle des forces syriennes, ce qui permet toujours l’acheminement des aides et des vivres vers l’aéroport ainsi que vers des quartiers civils. Néanmoins les jihadistes de l’État Islamique cherchent à couper les liens entre la base aérienne et le siège du 173e bataillon de l’armée qui en est le principal QG. Ainsi, ces derniers jours quelques milliers de terroristes, à renfort de voitures piégées et de kamikazes, ont pris d’assaut l’aéroport militaire d’où décollent de nombreux chasseurs pour viser quotidiennement les positions des terroristes. Parmi ces terroristes, nombreux sont venus de Mossoul, repoussés par l’avancée fulgurante des forces irakiennes.
Mais ce mardi 17 janvier des sources syriennes font état de l’arrivée parallèle des forces de la garde présidentielle syrienne et des combattants du Hezbollah à Deir ez-Zor où de très violents combats ont lieu entre les militaires basés à l’aéroport de la ville et les islamo-terroristes. Les renforts sont arrivés mardi matin sur les lieux alors que, selon les toutes dernières informations, l’aéroport militaire était encerclé.
De violentes frappes aériennes russes ont également visé les positions des terroristes. La Garde présidentielle syrienne formée de forces d’élite ainsi que le Hezbollah ont pour mission de reprendre les deux localités perdues ces quatre derniers jours et qui sont d’une importance stratégique puisqu’elles assurent la sécurité des voies d’approvisionnement vers l’aéroport.
De même depuis début décembre, des combats acharnés font rage aux abords de la ville de Palmyre. Les jihadistes ont lancé une violente offensive pour s’emparer à nouveau de la cité antique, reprise le 27 mars dernier par les troupes gouvernementales syriennes.
Et depuis mercredi 18 janvier, les forces gouvernementales syriennes appuyées par les forces aérospatiales russes ont lancé une nouvelle offensive près de Palmyre contre le groupe terroriste État islamique.
Les activités de la coalition dirigée par les États-Unis aux environs de la ville irakienne de Mossoul ont en grande partie provoqué le mouvement des forces de Daech vers la partie est de la Syrie. Ces forces transmettent presque sans aucun obstacle les armes, les explosifs et les combattants dans la direction de Palmyre, de Deir ez-Zor et de la ville d’al-Bab près de la frontière turque.
« Nous avons reçu l’information, confirmée par plusieurs sources, sur l’envoie par Daech d’une grande quantité d’explosifs dans la région de Palmyre, afin de détruire l’héritage historique mondiale de la ville. Actuellement, les forces gouvernementales soutenue par les forces aérospatiales russes ont lancé une offensive près de Palmyre contre les terroristes de Daech », a déclaré le général Sergueï Roudskoï, chef du Commandement opérationnel principal de l’État-major général des Forces armées russes.
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=udvtMPcUOdc
C’est à lire !
– Dans les coulisses de Davos :
Klaus Schwab, le maître de Davos par Isabelle Chaperon
Vidéo
À visage découvert : Le documentaire d’Arte censuré sur Bachar Al Assad
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Xtmgcp34aYA [/youtube]
Radio
Méridien Zéro
Orages d’Acier #47 – “Une promenade en Provence avec Marcel Pagnol”
L’équipe de Fréquence Orages d’Acier vous propose un itinéraire provençal sur les pas de Marcel Pagnol. A cet effet, Monsieur K reçoit Adrien Charvet & Julien Lebel.
L’émission est ici
Kiosque
Rivarol
N° 3266 du 19 janvier 2017
Sommaire :
Avortement : quand ces sacrifices humains s’arrêteront-ils ? ; Donald Trump, un homme d’Etat lucide et de bon sens ; Comment une grande partie de la presse est aux ordres de Georges Soros ; Les primaires de la gauche et l’imposture du revenue universel etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
19 janvier 1907 : naissance de Robert Lee
19 janvier 1969 : mort de Jan Palach (biographie)
Agenda
Clermont-Ferrand : Galette des rois du PNF Auvergne
21 janvier à 16h00
© Jeune nation – 2017
Portrait gravé de Lampsonius , circa 1585, Pieter Brueghel l’Ancien
Encore une « start up » israelienne qui place ses capteurs un peu partout sur le territoire.
http://coolamnews.com/une-start-up-israelienne-ameliorera-la-qualite-de-lair-a-paris/
http://www.economiematin.fr/news-vinci-sanef-autoroutes-partenariat-waze-google-critique-lafitte
Benjamin Sportouch, Rédacteur en chef adjoint de RTL, est aussi Président de l’association de la presse ministérielle.
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/c-etait-comment/c-etait-comment-quand-cazeneuve-rhabille-macron-pour-l-hiver_2013232.html
Karlie Kloss serait particulièrement bien acceptée par la famille Kushner. Mais avant tout, la jolie blonde doit se convertir au judaisme (ultra-orthodoxe).
http://www.parismatch.com/People/Amber-Heard-Serena-Williams-Ces-stars-qui-sortent-avec-des-geeks-1165028
Le député Glick, qui assistera à l’inauguration de Trump, prevoit d’annexer « toute la Judée et la Samarie ».
http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/135425-170118-israel-des-deputes-veulent-faire-voter-l-annexion-d-une-implantation