Pavel Durov, ressortissant russe et français, fondateur et PDG de Telegram, a été interpellé par les autorités françaises à l’aéroport du Bourget le 24 août 2024. Le 28 août, la procureure de la République du parquet de Paris a annoncé dans un communiqué de presse que la garde à vue de Pavel Dourov a été levée et qu’il est désormais mis en examen pour une pléthore de faits. Le gouvernement de Macron l’accuse de plusieurs « crimes » et il risque jusqu’à 20 ans de prison pour, entre autre, avoir refusé de fermer plusieurs canaux Telegram non-conformistes ou avoir refusé de livrer des données personnelles d’utilisateurs.
Selon les médias français, l’interpellation, samedi dernier, en exécution d’un mandat d’arrêt délivré dans le cadre d’une enquête préliminaire, de Pavel Durov, serait motivée par le soutien au terrorisme, à la pédocriminalité, aux trafics de stupéfiants, dont il se rendrait coupable en sa qualité de « fondateur et PDG » de la messagerie sécurisée Telegram.
À raison, plusieurs acteurs politiques internationaux, dont Elon Musk et des représentants officiels des autorités russes, ont dénoncé cette arrestation comme une violation supplémentaire de la liberté d’expression par les autorités françaises.
Rappelons que la Loi du 29 juillet 1881 et la LCEN (Loi de confiance en l’économie numérique) définissent les responsabilités en matière de presse en France, et donc celle du Directeur de la Publication de Telegram.
Fort étrangement, les canaux qui ont été rendus inaccessibles, en France, sur cette messagerie, ne sont pas ceux qui concernent les trafics de stupéfiants, la pédocriminalité ou d’autres infractions de droit commun, mais bien ceux qui soutiennent la Palestine dans son juste combat pour ne pas disparaître purement et simplement de la carte du monde, qui exposent des analyses contraires à la doxa gouvernementale française sur le conflit russo-ukrainien ou encore – et surtout – qui « tiennent des discours de haine » c’est-à-dire qui défendent nos patries, nos peuples, contre l’hydre mondialiste et luttent pour la liberté de recherche historique.
Il nous reste à voir quelles seront les motivations de la mise en examen qui ne manquera pas d’intervenir sans doute très rapidement, avec un probable placement en détention provisoire à la clef.
Le prétexte de la « lutte contre la criminalité organisée » apparaîtra sans doute alors pour ce qu’il est, un « faux nez » destiné à masquer la seule vraie préoccupation de ceux qui, aujourd’hui, envoient en prison tous ceux qui osent ne pas croire aux vérités de l’histoire officielle qu’ils imposent pour asseoir leur projet de dictature mondiale et d’endettement des peuples à leur seul profit.
Mais l’avidité et la sécheresse de cœur de l’usurier, aidées de l’inventivité de ceux qu’il voudrait tant asservir, finiront, comme dans la pièce de Shakespeare, par le perdre.
Soyons cette minorité inaccessible au découragement qui empêchera le monstre de la finance apatride de prélever sur notre liberté sa livre de chair !
Je ne vois pas très bien en quoi « L’enfer est pavé de bonnes intentions » est en rapport avec le sujet traité ici !
Car qu’exprime cet axiome, sinon que, par erreur ou par sottise, on peut faire plus de mal que de bien, malgré les meilleures intentions du monde ?
– Ce que l’on observe par exemple lorsque des nationalistes, aussi stupides que bien intentionnés, croient intelligent et utile d’insulter grossièrement les forces de police sous tous les prétextes, allant même jusqu’à conseiller à ceux qui nous ont en sympathie de démissionner… pour laisser la place à nos adversaires ?
– Ce que l’on déplore aussi lorsqu’exploitant la moindre divergence, d’autres rejettent toute occasion de nous regrouper entre adversaires du système, nous retirant ainsi toutes chances de triompher.
Mais à l’inverse, où sont donc, selon vous, les « bonnes intentions » du Procureur de la République ou de ceux qui l’instrumentalisent, directement depuis la France et Bruxelles ou indirectement depuis la City de Londres ou Wall Street ?
Plutôt que des « bonnes intentions », ne conviendrait-il pas de dénoncer de « FAUX PRETEXTES »…
Ou des « prétextes de bonnes intentions »… qui ne trompent personne ?
Monsieur Le Perlier, je suis d’accord avec la réponse que vous faites à Pierre-Marie Bonneau, s’agissant du titre qu’il a donné à son article.
Je voudrais par contre vous faire remarquer que je fais partie de ces nationalistes qui croient intelligent et utile d’insulter grossièrement les forces de police.
Et je vais vous dire pourquoi : pas « sous tous les prétextes », mais tout simplement parce que je les ai toujours eus contre moi, inintelligemment et inutilement, au cours de mes activités de militant nationaliste, et que j’attends encore de rencontrer « ceux qui nous ont en sympathie » quoi qu’ils en disent. Tous n’étant en vérité que des agents, conscients ou non, volontairement ou non, de l’anti-France, et pour eux on aurait pu dire que l’enfer est pavé de bonnes intentions.