Un trio de Maghrébins est jugé à Montpellier depuis le mardi 19 septembre pour un déchainement de violence inouïe lors d’une attaque crapuleuse à domicile qui a eu lieu en mars 2014, à Saint-Just, près de Lunel
La photo, terrifiante, un gros plan sur son visage défiguré, où l’on voit la trace de la basket incrustée sur la joue et le front, a été projetée devant la cour d’assises de l’Hérault. Josette, 72 ans, ne peut retenir ses larmes. Dans son malheur, elle a échappé au pire. Mais pas sa mère Odile, 90 ans, décédée après l’attaque du fait du traumatisme physique et émotionnel qui lui a été infligé par les trois envahisseurs à domicile.
« Je leur avais dit qu’elle était cardiaque, qu’elle était fragile… C’est pas possible de voir sa fille en sang et des hommes cagoulés, personne ne le supporterait », lance la victime, en sanglots. Elle poursuit alors son récit gorgé d’émotion et d’effroi, glaçant la cour, jusqu’au box où deux des trois accusés originaires d’Afrique du Nord, Mourad Chaloukh, 33 ans et déjà connu pour braquage de bijouterie, et Hedi Bennamar, 25 ans, contestent toute implication. « Ce matin-là, j’entends des pas, je me retourne, je vois un homme cagoulé et un deuxième, plus petit, qui se précipitent, m’attrapent et je me suis retrouvée face contre terre, projetée au sol », se remémore-t-elle.
Elle a en fait pris une décharge électrique de Taser de Bennamar, si l’on en croit les dires de Radouane Quabbari, 28 ans, le troisième envahisseur, le seul à reconnaître sa participation et à charger ses comparses. « Le coup était prévu la veille mais Bennamar ne s’est pas réveillé, ça devait être un simple cambriolage, mais malheureusement non… », minimise l’accusé. Ils ont pourtant ce pistolet électrique, des cagoules et du gros scotch… Et ils sont persuadés de trouver de l’argent chez les victimes qui louent des appartements. « J’ai senti qu’on me ligotait, qu’on me bâillonnait, je ne pouvais plus respirer », poursuit Josette. Le pire arrive alors.
« Je sentais un pied qui s’appuie sur ma tête et qui écrase, j’ai entendu “crac”, des craquements, j’avais plein de sang, je croyais que j’allais mourir… Plus je criais, plus il appuyait, je lui disais d’arrêter, il continuait encore plus fort… ça a duré je ne sais pas combien de temps. »
La cour se fige. Le professeur Baccino évoque quatre fractures, des dents cassées et des coups portés avec force, a minima le poids d’un corps sur le visage écrasé : « Oui, ça aurait pu être mortel », certifie le légiste. Quabbari, lui, désigne Mourad Chaloukh comme l’auteur. Ce dernier, récidiviste déjà condamné aux assises pour une agression à domicile au couteau, qui aurait du être expulsé depuis longtemps dans un pays ayant un État digne de ce nom et qui protège ses citoyens, réfute sa participation.
« Ils me disaient “où est le coffre ?, où est le coffre ?”, mais on n’avait pas de coffre !, continue la septuagénaire. Maman est arrivée, ils l’ont attrapée et forcée à s’asseoir et lui criaient dessus pour qu’elle “ferme sa grande gueule”. » Le trio se rabat sur 780 malheureux euros en liquide et s’enfuit. Josette réussit à se libérer. Les secours arrivent. Elle doit être hospitalisée : « J’ai dit à maman que j’en avais pas pour longtemps sans savoir que c’était la dernière fois que je la voyais, lance-t-elle en sanglots. Et à l’hôpital, je vomissais du sang et l’infirmière m’a dit “y’a un problème”… » Trop choquée par l’agression, Odile, la maman, vient de succomber à une crise cardiaque…
Énième drame de l’invasion étrangère que la France et l’Europe subissent depuis des dizaines d’années qui installe sur notre sol des populations déracinées par centaines de milliers.
Énième drame du « vivre-ensemble » et de la « diversité » qui obligent nos compatriotes à subir les pulsions criminelles des barbares envahisseurs et, à tous le moins, à côtoyer leurs mœurs et coutumes de toute façon incompatibles avec ceux de notre civilisation européenne et chrétienne.
Énième tragédie du laxisme généralisé qu’une classe politique aux ordres des lobbies de l’étranger a instillé dans le droit ou dans les faits et qui empêche de châtier comme il se doit, et d’expulser, toute la voyoucratie « chance pour la France », libre alors de s’en prendre à l’autochtone sur son propre sol.
Chassons la clique des corrompus ! Et foutons-les dehors !
Les Français, pour la plupart, se foutent de ces faits-divers car ils ne se sentent pas concernés. Chacun ne voit que midi à sa porte alors ce qu’il se passe chez le voisin, ils s’en tapent ou même pensent que c’est bien fait pour lui, il n’a qu’à pas avoir une plus belle voiture, une plus belle maison, etc. La vraie devise des Français, me disait un ami, est « hypocrisie, jalousie, mauvaise foi ». Personne n’a pu lui dire le contraire. Ce peuple est destiné à disparaître car il est incapable de cohésion, rongé par la lâcheté et la facilité. Il ne songe qu’aux loisirs & plaisirs en ce disant que « c’est pas possible », et pensant que tout ces crimes et ces guerres sont dans des pays lointains ou dans les films. Jamais ça n’arrivera en France…On ne peut pas virer à la guerre civile… Sauf que nous sommes en guerre civile froide. La seule question est : quand cela se déclenchera-t-il ?