Dans la nuit du 21 au 22 juin 2025, l’Amérique de Donald Trump a franchi un nouveau seuil dans l’abjection morale et la soumission totale à l’entité sioniste criminelle. Sous le nom de code grotesquement biblique « Midnight Hammer », des bombardiers furtifs américains ont déversé leurs charges destructrices sur plusieurs sites stratégiques du territoire iranien. Fordow, Ispahan, Natanz : autant de centres de recherche visés, non pas pour neutraliser une menace imminente, mais pour obéir à un impératif religieux, sacrificiel, fanatique. Car ce raid ne fut pas une simple opération militaire, mais un acte de dévotion : une offrande expiatoire présentée par les chrétiens évangélistes et les juifs sionistes de Washington au Mamon de Tel-Aviv.
Contrairement aux mensonges de la campagne MAGA qui promettaient de recentrer l’Amérique sur elle-même et de se désengager des conflits mondiaux, désormais, l’Amérique ne définit plus ses actions selon ses intérêts mais à des croyances. Dans le délire apocalyptique des cercles évangéliques et juifs sionistes américains, l’Iran incarne Gog et Magog, ennemis eschatologiques qu’il faut anéantir pour précipiter le retour du Messie. Nous ne sommes plus dans la diplomatie : nous sommes dans la théologie armée. Trump, réélu en 2024, se prend pour un prophète. Rescapé d’un attentat, persuadé d’être guidé par Dieu, il gouverne comme un possédé, agissant moins comme chef d’État que comme exégète illuminé et halluciné de la fin des temps, critiquant tout et tout le monde dans un délire de grandeur que personne ne croit plus. La folie sioniste a contaminé Trump comme une fièvre religieuse : il ne gouverne plus, il exécute des oracles.
Son axe du Bien ne passe plus par le droit ni la paix, mais par les bombes et les anathèmes. Il relie Washington à Tel-Aviv, et désigne l’Iran comme ennemi absolu. Car l’Iran, fier, enraciné, réfractaire au dollar, insoumis aux injonctions de Wall Street et de la Maison-Blanche, possède ce que l’empire abhorre : une souveraineté authentique. Son existence même est un scandale pour le monde marchand et sionisé. Comme l’Irak, la Libye ou la Syrie avant lui, l’Iran paie le prix de son indépendance.
Ce raid n’avait aucun but militaire cohérent. Il s’agissait d’un rituel. Une liturgie du feu, scellée par l’accord tacite de Netanyahu, qui ne dissimule même plus le rôle de vassal joué par l’Amérique. L’Empire bombarde, Israël exulte. Les américains se contentent de recopier la propagande de Tsahal. On n’interroge rien. On répète. On exécute. L’Amérique n’est plus une superpuissance : c’est un suppléant.
Les médias occidentaux, eux, chantent la même rengaine. Ils prétendent que l’Iran veut « rayer Israël de la carte ». C’est un mensonge. Ce que dénonce Téhéran, c’est le sionisme, pas un peuple. Une idéologie d’occupation, de haine, d’apartheid. Ce que l’Iran veut voir disparaître, ce n’est pas un territoire, mais un projet mondialiste et fanatique qui veut modeler le monde à son image, par le chantage et la guerre. Et pour cela, il faut faire taire l’Iran, faire taire sa parole, sa dissidence, sa capacité à dévoiler les mensonges de l’ordre impérial.
En bombardant un pays qui avait respecté tous les traités, qui avait tendu la main, qui avait laissé l’AIEA inspecter ses sites, l’Occident global a définitivement détruit ce qui restait de sa crédibilité. Téhéran a compris : négocier ne sert à rien. Respecter les règles ne protège pas. La modération conduit à la mort. L’Iran est donc libéré. Il ne croit plus aux institutions internationales, à la diplomatie occidentale, aux organisations infestées par l’argent sioniste. Il est libre de construire son avenir en dehors du mensonge.
Et le monde observe. Les BRICS prennent acte. Le « Sud global » note avec méfiance que le respect du droit international ne suffit plus à éviter la dévastation. Il faut des armes, des alliances, des systèmes alternatifs. Le monde multipolaire s’accélère. L’Empire se vide de sa force, mais reste dangereux. Plus que jamais, il tue non pour survivre, mais pour retarder son agonie.
Car ce que veulent les sionistes, ce n’est pas un compromis. C’est une soumission. Ce qu’ils désirent, c’est un Moyen-Orient fragmenté, déraciné, balkanisé. Ils veulent faire de l’Iran un nouveau Liban, un champ de ruines. Démembrer les peuples, briser les résistances, étouffer les voix libres comme ils l’ont fait en Libye et en Syrie et comme ils continuent de le faire en Palestine. Le projet est toujours le même : détruire les nations pour mieux régner. Ce projet porte un nom : le Grand Israël. Une vision biblique qui exige l’effondrement de tous les États entre le Nil et l’Euphrate. L’Irak, la Syrie, le Liban, et maintenant l’Iran sont les étapes successives d’un dessein messianique dont Washington est l’instrument docile.
Mais cette guerre n’est pas finie. Elle vient de franchir un cap. Et dans cette nouvelle phase, chaque mensonge officiel, chaque missile, chaque article complice, joue un rôle. Le monde n’est plus divisé entre gauche et droite, entre Est et Ouest : il est divisé entre les esclaves volontaires de l’Empire et les peuples qui rêvent encore de dignité. L’Iran, aujourd’hui tient debout, meurtri mais vivant, bombardé mais fier.
Le 22 juin 2025 entre dans l’histoire. Non comme un simple fait militaire, mais comme une révélation. Ce jour-là, les masques sont tombés. Le trumpisme n’était qu’une illusion, un mensonge, une trahison. Les électeurs MAGA sont cocus et humiliés. Ceux qui ont voté pour des promesses de paix et de recentrage sur les intérêts américains sont trahis.
Il est temps de dire non à l’Empire, non au sionisme mondial, non à la guerre sacrée des fanatiques sionistes contre les nations libres.
La chute de l’Iran serait une victoire de plus pour nos ennemis communs sur le grand échiquier mondial. Ce que vise l’Empire, ce ne sont pas seulement des pays : ce sont les hommes libres. Ceux qui se souviennent de leur nom, de leur terre, de leur lignée. Ceux qui refusent de devenir des consommateurs zombifiés dans un monde unifié. Ceux qui, même seuls, même encerclés, peuvent encore dire : « Nous sommes debout. »
À ceux qui brandissent l’argument des Mollahs et des droits des femmes pour justifier les bombes, rappelons ceci : on ne fait pas de la géopolitique avec des émotions, et on ne libère pas un peuple à coups de missiles.
Un résultat tangible de cette attaque illégitime, c’est d’avoir réussi à unir tout un peuple derrière ses dirigeants dans l’union sacrée contre l’ennemi.
À Téhéran comme à Gaza, l’Empire ne passera pas !