Le 2 août, l’associé de mon avocat m’a informé que, dans mon affaire, le procureur s’appuierait sur le cas d’Alison Chabloz pour tenter de convaincre le Tribunal d’assimiler le revisionnisme aux discours « grossièrement offensants ». L’objectif est d’obtenir mon extradition en vertu du principe de la « double culpabilité » (les actes pour lesquels la France me réclame afin de me juger sont aussi réprimés en Grande- Bretagne).
Rappelons que ces dernières années, Alison Chabloz, une artiste britannique, a été condamnée à la prison pour des chansons satiriques sur l’Holocauste et sur les Juifs. A ses procès, elle s’est présentée comme une révisionniste.
Dès le début, d’accord avec Peter Rushton, j’avais pressenti que l’affaire Chabloz me mettrait en danger. Malgré cela, j’avais refusé de condamner son action.
Trois raisons justifiaient ma réserve :
- Je n’ai nulle autorité jour juger les stratégies des uns et des Elles visent des publics différents ;
- Je ne voulais pas contribuer à déchirer davantage le camp révisionniste déjà affaibli par de nombreuses querelles intestines inconnues du public ;
- Les satires d’Alison Chabloz me paraissaient rester dans le domaine de la liberté d’expression acceptable. Je me souvenais par exemple qu’à la fin du XIXe siècle, la propagande anticléricale présentait les prêtres comme d’odieux prédateurs sexuels et comme des individus avides d’argent. Une caricature montrait un homme qui tirait sur un curé. Celui-ci détalait en lançant : « Ce n’est pas du plomb que je veux, mais de l’argent ». D’autres caricatures montraient des prêtres détroussant des agonisants ou se livrant à la débauche avec des religieuses, des femmes du monde ou des jeunes filles. Ces œuvres offensaient grandement les catholiques ; certaines pouvaient être considérées comme des incitations à la haine et à la violence. Mais elles étaient autorisées en vertu de la liberté d’expression. Le législateur estimait, qu’exceptés les appels directs au meurtre, à la violence ou à la sédition, un texte, un discours ou un dessin à caractère général ne pouvaient être jugés comme un acte. Il restait dans le domaine des opinions. Telles étaient, à mes yeux, les chansons d’Alison Chabloz.
Bien qu’aujourd’hui, les avertissements de Peter Rushton menacent de devenir réalité, je ne regrette rien. Le risque d’extradition ne me conduira pas à fustiger l’œuvre d’Alison Chabloz pour tenter de me dédouaner. Déjà parce que ce genre d’initiative ne sauve rien : me désolidariser de la chanteuse serait considéré par le Tribunal comme une hypocrisie dictée par l’opportunisme. Mais elle serait ensuite utilisée par les adversaires qui lanceraient : « Même Reynouard a condamné Chabloz ! ».
Ensuite parce que face à la stratégie du procureur, la défense ne restera pas désarmée. Mon avocat plaidera qu’il existe une limite entre le revisionnisme académique et des chansons satiriques. Si la Justice écossaise le reconnaît et refuse de m’extrader, alors ce sera une grande victoire pour le révisionnisme tel que le professeur Faurisson l’a développé toute sa vie. En cas d’extradition fondée sur l’argumentaire du procureur, il conviendra de souligner ce qui suit : à supposer que le révisionnisme en lui-même soit un discours « grossièrement offensant », alors ce n’est pas Alison Chabloz qu’il aurait fallu poursuivre, mais, dès 2014, Nicholas Kollerstrom. Ce Britannique est l’auteur d’un ouvrage publie en Angleterre et intitulé Breaking the Spell. The Holocast: Myth & Reality ( Rompre le sortilège. L’Holocauste, mythe et réalité). On y trouve une très bonne synthèse des arguments révisionnistes, en particulier ceux relevant de la science. Or, les gardiens de la Mémoire se sont abstenus de saisir la Justice. Ils ont préféré lever un mur du silence autour du livre puis exiger son retrait de la vente par Amazon. En revanche, ils ont monté en épingle le cas d’une chanteuse afin d’obtenir la mise hors-la-loi de tout révisionnisme en Grande-Bretagne.
Cette manœuvre est un aveu ! Si, vraiment, mille preuves solides venaient attester la réalité des « chambres à gaz » homicides allemandes, alors les gardiens de la Mémoire auraient convié Nicholas Kollerstrom à un débat afin de le ridiculiser. Ils s’en sont bien gardés. Leur abstention démontre qui, dans cette affaire, dit la vérité et qui craint la vérité.
Les antirevisionnistes prétendent lutter contre la haine et la violence. Je leur opposerai Denis Marquet, un philosophe nullement suspect de sympathie révisionnistes. Dans son ouvrage Aimez à l’infini, il souligne : « La violence commence dès que je veux limiter la liberté de parole de l’autre (pour éviter d’être blessé, par peur de quelque vérité). » (p.96). Il ajoute : « empêcher la parole par la censure ou la sommation à l’auto-censure est une violence qui risque fort de générer une violence en retour. » (p.283). Les gardiens de la Mémoire devraient méditer ces avertissements.
Quant aux révisionnistes, je les invite à comprendre l’inutilité d’offenser les Juifs. Sous nos latitudes, l’histoire de la Seconde Guerre mondiale racontée par les vainqueurs sert d’abord à susciter, chez les peuples, le rejet de toute idéologie d’ordre.
Dans cette affaire, l’origine des victimes alléguées est indifférente ; c’est le national-socialisme qui est visé, en tant que symbole de la droite nationale. C’est sur ce terrain idéologique qu’il faut se placer, en se servant de la force de la vérité, et d’elle seule.
Maurice Bardèche l’avait bien compris. J’invite le public à relire son ouvrage Nuremberg ou la Terre promise, paru en 1948. L’auteur expliquait que la seconde guerre mondiale avait été une lutte idéologique. Il avait raison. Dans cette tragédie, les Juifs sont l’arbre qui cache la forêt. Certes, l’hitlérisme était anti-juif. Mais en tant qu’idéologie universelle et atemporelle, le national-socialisme repose sur quatre piliers : la primauté du Bien Commun sur les biens particuliers, la justice sociale, la protection de la race au sein de la nation préservée. Défendant la primauté du Bien Commun, le national-socialisme heurte de front le modernisme qui place l’individu au centre de tout. Sous l’Occupation, le Collaborateur Martin de Briey l’avait expliqué : cette guerre n’était pas une lutte entre des nations, mais un conflit à mort entre des idéologies radicalement incompatibles. La seconde guerre mondiale fut un épisode armé d’une confrontation idéologique séculaire entre la modernité et la tradition. Sortie vainqueur, la modernité exploita les « chambres à gaz » pour lancer : « Voilà où mènent les tentatives de renaissance nationale. Plus jamais ça. Désormais, œuvrons pour le mondialisme géré par un ensemble de pouvoirs démocratiques et libéraux – sauf lorsqu’il s’agit du fascisme. »
C’est sur ce terrain qu’il faut descendre et combattre, avec pour arme la force de la vérité des conclusions des chercheurs du révisionnisme historique. Et expliquer pourquoi, en exposant les raisons historiques et techniques. Enfin, il m’apparait nécessaire de dévoiler l’origine du mythe : une guerre idéologique dans laquelle un camp exploite le mensonge afin de susciter un rejet définitif du camp opposé.
Telle a été ma stratégie, après avoir découvert l’ouvrage de Maurice Bardèche.
J’invite mes soutiens et mes successeurs à l’adopter.
Vincent Reynouard
Je lui souhaite tout mon soutient!
Comme toujours, M. Reynouard est trop bon!
En effet, si M. Reynouard risque aujourd’hui l’extradition, c’est parce qu’un précédent judiciaire anglais fait l’amalgame entre révisionnisme académique et propos grossièrement offensant.
Et ce précédent n’a pas être posé qu’à cause Alison Chabloz qui, lors de son procès en 2017-2018, a choisi de se définir « révisionniste » devant le tribunal.
Certes, par abus de langage, dans une conversation privée, on se définit ainsi dès qu’on adhère aux thèses dites « révisionnistes ».
Toutefois, devant les tribunaux où des précédents judiciaires peuvent être créés, il est capital de n’utiliser ce terme que dans son sens strict.
Un révisionniste est un historien qui, s’appuyant sur des documents authentiques et des recherches méticuleuses, remet en question la vision communément admise d’un événement historique.
Alison Chabloz n’est qu’une artiste (libre à chacun d’apprécier ou non son style) qui adhère aux conclusions des révisionnistes, mais son travail n’est pas celui d’un historien ; elle compose des chansons, satiriques de surcroît. En conséquence, elle n’aurait jamais dû se présenter aux juges comme « révisionniste ».
Dès le début de son procès, certains ont averti du danger — Peter Rushton en tête; mais Mme Chabloz a choisi de ne pas tenir compte de ceux qui l’avertissaient du danger que sa stratégie représentait pour les chercheurs révisionnistes du Royaume-Uni.
Grâce à elle, un procureur écossais peut aujourd’hui exciper d’un précédent judiciaire posé par l’affaire Chabloz pour demander l’extradition de V. Reynouard.
Tout notre soutien à Vincent Reynouard dans cette épreuve!
Non, le révisionnisme est bel est bien un antisémitisme, dès qu’on adhère à l’idée que la vérité est une arme, c’est ce que fait VR, on se situe dans le cadre d’une guerre, ce qu’il faut plutôt dire:
1 – le révisionnisme est une guerre tout autant que l’holocauste est une arme contre les aryens.
2 – l’antisémitisme est essentiellement une saine réaction de défense contre une agression sémitique, une réaction de défense pour la survie, rien de moins, à partir de là, c’est de la légitime défense et non de la persécution.
3 – Si notre existence n’était pas en jeu, les mensonges des Juifs n’auraient aucune importance, il ne faut d’ailleurs pas se focaliser sur l’Holocauste qui n’est qu’une de leurs armes, une sorte d’avantage évolutionnaire psychologique qu’ils ont acquis en 1945 sur le reste de l’humanité.
Et dans une guerre, on prend des coups, il y a des morts, il faut l’admettre, VR le sait, je le sais.
L’innocence du révisionnisme est une idée indéfendable et je ne la défendrai pas, la France et l’Occident doivent par contre être défendus coûte coûte, c’est ça qui compte.
à mon procès, j’ai déclaré: »peut-on encore parler d’antisémitisme lorsqu’il ne s’agit que d’une réaction de défense contre une agression sémitique caractérisée », c’était déjà meilleur et plus franc, pas encore parfait, bien sûr, mais ne pas perdre de vue que le juridique n’est pas le champ de bataille idéal pour nous en ce moment; cela dit, ça a eu son petit effet, le juge et le procureur m’ont demandé de répéter tant ils n’ont pas l’habitude d’une franchise aussi frontale.
@Monsieur X
Monsieur Reynouard vous répondrez que vous vous trompez doublement:
— d’une part sur les causes de la décadence qui touche l’Europe: M. Reynouard vous répondrait que l’origine de cette décadence réside dans la vision matérialiste adoptée par les sociétés occidentales, vision qui élimine toute transcendance et, dès lors, réduit la finalité de l’Homme à l’hédonisme;
— d’autre part sur le révisionnisme: M. Reynouard a plusieurs fois dit que ses conclusions d’historien demeureraient inchangées quelle qu’eussent été les victimes des « chambres à gaz » hitlériennes, car elles sont basées sur l’étude des faits et des documents, et son sans rapport avec l’ethnie ou la nationalité des gazés: il aurait pu s’agir de Bantous ou Malgaches que cela n’aurait rien changé.
D’ailleurs, deux autres rappels s’imposent ici:
— Ce ne sont pas les Juifs qui ont les premiers instrumentalisés les « chambres à gaz », mais les Alliés — des Aryens, comme vous dites — qui s’en sont servi pour condamné à perpétuité le national-socialisme; ce n’est qu’après que les sionistes ont saisi l’occasion pour réclamer un foyer national;
— lisez le dernier article en date de M. Reynouard paru sur son blogue (Les Européens se sentent-ils concernés par la Shoah?) et vous comprendrez rapidement que les Européens veulent croient en l’existence de la Shoah non par affection pour les Juifs, mais par amour égoïste de leurs libertés individuelles et par refus d’un régime national-socialiste qui leur demanderait de placer le Bien commun au-dessus de leur bien particulier.
Vincent Reynouard, en abrégé VR,
La Vérité comme arme de
Vengeance et de Représailles, en abrégé VR,
ou tout simplement,
la Vérité en Représailles, aussi VR en abrégé.
Hello MI6
Si Rushton avait si peur, alors pourquoi a-t-il choisi de me defendre lors de mon premier procès?
Pour info, (je ne le savais pas avant que ce soit trop tard) Rushton est longtemps désigné comme « R.G. » >
https://www.borderland.co.uk/component/k2/item/135-brexit-resisted.html
« .. Rushton is a long-term Searchlight/state mole, and as the former’s star is waning, it is entirely plausible he has hooked up with HNH too. In 2002 the Nick Griffin-led BNP expelled him because of cumulative evidence: which the late John Tyndall ignored, as I commented at the time, with sagacity unrivalled since Emperor Caligula chose his horse as a Consul. Well, actually, rather less. To quote (for the first time anywhere) a contemporary (22/10/02) intelligence report by one of Rushton’s handlers:
« has been at the centre of an ongoing war between various factions within and outside of the BNP… » «
bonjour VINCENT , je souhaite ardemment votre retour parmi nous , je pense que mes priéres vers notre guide finiront par étre entendues , LA SOLUTION doit étre mise en oeuvre à l’échelon planétaire .
Bonne conclusion de RJ, en effet les européens veulent tellement conserver leur mode de vie hédoniste et matérialiste qu’ils, je pense, refuseraient, à l’heure actuelle, un régime d’ordre et de bien commun même en ayant connaissance de la vérité du révisionnisme.
1) Vincent, pensez-vous que les tracts « néo-nazis » diffusés par des soutiens de D.P. sont utiles et nécessaires ? Quelle est leur fonction objective ? A qui profitent-ils ?
2) Pensez-vous vraiment qu’une large et libre diffusion des conclusions révisionnistes, dont les vôtres, changerait quoi que ce soit dans l’état d’esprit actuel ? Plus de 80 ans après, ce n’est pas pensable.
3) Quant à réhabiliter A. H., essayez, c’est plié.
Mais dans ce combat pour le triomphe de la Vérité , Vincent tient-il compte des masses immigrées souvent musulmanes qui peuplent aujourd’hui l’Europe de l’Ouest ? L’Europe de l’Ouest est aujourd’hui une prison à ciel ouvert pour les Blancs et les immigrés sont leurs geôliers
Ces peuples ont été introduits sur notre continent pour éliminer les Européens et finalement les remplacer . Je souhaite que CEUX qui ont pensé cet odieux projet soient forcés de s’expatrier pour sauver leur peau quand ils se verront physiquement menacés à leur tour . Ça a déjà commencé ,d’ailleurs : une mamie poignardée à mort chez elle , une femme médecin défenestrée, un employé de téléphonie torturé ´ pendant des semaines avant sa fin , des parents et des enfants assassinés dans une école… Et pourtant ILS étaient si heureux en France… on disait « heureux comme EUX en France « mais leur jalousie les a aveuglés , ils ont désiré détruire cette belle civilisation crée par d’autres peuples dans laquelle ils avaient la chance de vivre et puis ils ont été « touchés « eux aussi , finalement . Ce sont des sont des sorciers fous de jalousie, ils en mourront .