« Nous avons besoin de deux bus pour garantir la sécurité de nos citoyens. Un pour les citoyens, l’autre pour les Roms [qui] nous dérangent depuis plus de 20 ans »
a déclaré Claudio Gambino, le maire du Parti démocrate (PD, Partito Democratico) de Borgaro Torinese. En cause, la présence nuisible d’environ 600 Gitans dont la présence a conduit à une brusque aggravation de la situation sécuritaire. Claudio Gambino souhaite mettre un terme aux méfaits commis dans les bus contre les Italiens par les étrangers. Il réclame donc pour la ligne 69 du Groupe de transport turinois (GTT) qui dessert sa ville un bus réservé aux Italiens.
La solution peut paraître scandaleuse : il n’y aucune raison de mettre en place une ligne pour des gens qui ne participent pas à la société et qui ne payent pas d’impôt. Faute d’expulsion immédiate et générale, le minimum serait de les empêcher simplement d’accéder aux bus. La mise en place de bus séparés ne serait qu’une solution partielle et provisoire, d’autant moins efficace que Claudio Gambino « rejette toutes les accusations de racisme ». Mais cette proposition a le mérite d’exister et d’émaner de la gauche habituellement la plus idéologiquement corrompue en ce domaine.
Claudio Gambino explique :
« Les citoyens souffrent de vol et de harcèlement. Lundi, il y a eu un incident quand une jeune fille de 13 ans a été attaquée par deux filles gitanes. D’abord, elles ont essayé de lui voler son téléphone portable et elles sont ensuite passées à la confrontation physique, jusqu’à l’arrivée à l’arrêt de bus. […] Nous ne pouvons pas, et je ne tolérerai pas le manquement aux lois et l’absence de l’État. Nous avons besoin que l’État prenne ses responsabilités »
ajoutant : « on ne peut pas parler de l’intégration sans respect des lois ». Mais s’il semble croire encore au mythe de l’intégration et dénonce le racisme, Claudio Gambino se montre clair :
« Je suis d’abord et avant tout un maire et mon premier devoir est de protéger mes concitoyens. Ensuite, comme maire du Parti démocrate, et la tête haute, je demande que les règles soient respectées, comme ceux qui paient pour un service »
rappelant que non seulement les indésirables agressent les Italiens mais vivent en parasite sur le dos de la société, ne payant plus d’impôts que les billets de bus.
Claudio Gambino a envoyé un document à l’ensemble des autorités concernées : le préfet, le maire de Turin, la direction de la société de bus, réclamant une réunion d’urgence et des solutions « rapides et radicales ».
« Ce qui se passe sur la [ligne] 69 […] exige des solutions rapides et radicales. […] Il est inacceptable qu’il existe des zones de non-droit et où n’intervient pas l’État. L’État et ses institutions ne peuvent pas être mis en échec par un groupe d’enfants nomades, génération après génération, s’introduisant dans les services de transport pour répéter les mêmes comportements criminels pour les usagers ».
Après 70 ans d’existence d’un monde fondé sur le mensonge et la haine de l’Europe, le maire commence seulement à prendre la mesure de la situation. L’« intolérance » et la « xénophobie » n’ont jamais été pour les Européens – qui ont offert au monde leurs connaissances, leur savoir, ont apporté sur tous les continents la médecine et ont tenté d’éradiquer l’esclavage – des sentiments négatifs préexistants, mais ont été des réactions de légitime défense contre les agressions.
Certains – de plus en plus nombreux – citoyens se sont débarrassés des oripeaux de l’ethnomasochisme dont prétendaient les affubler les forces d’occupation. C’est ce qui alarme le maire qui met en garde, si la situation n’est pas réglée, sur les risques de réactions violentes de la part de la population. Dans des pays moins touchés par le virus de la tolérance et de l’antiracisme – le racisme antiblanc –, les habitants réagissent régulièrement contre les criminels. Ce fut le cas à Bedriska (Tchéquie) et Siofok en Hongrie en 2010, à Krosnica en Pologne en 2011, mais aussi en France où le fléau s’est abattu ces dernières années avec violence, en Italie, en Croatie, etc.
L’initiative a provoqué les réactions habituelles de toutes les associations étrangères antiblanches, criant à « l’apartheid » – le seul régime viable qui a existé en Afrique du Sud –, au « racisme », à la « xénophobie ». Mais sur place, même le conseil municipal Luigi Spinelli, du parti Gauche, écologie et liberté (SEL, Sinistra Ecologia Libertà) défend la proposition de son maire.