Le violeur du PS Dominique Strauss-Kahn est présenté comme un « économiste », comme un « expert » par des individus oubliant souvent de rappeler qu’il fut directeur du Fonds monétaire international (FMI) avant et pendant la grande crise économique de la fin des années 2000 sans qu’il n’apporte aucune solution.
Les mêmes oublient tout aussi curieusement de rappeler que lorsque ce « grand économiste » a dirigé le grand ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, le chômage, pour ne prendre que cet indice, n’est jamais descendu sous la barre des 10 %.
Les mêmes oublient enfin de rappeler que sa dernière entreprise dans le domaine, sa société LSK, s’est achevée en fiasco général agrémenté du suicide de son ami, codirigeant et coreligionnaire Thierry Leyne.
La société de l’individu, mis en cause par ailleurs dans diverses affaires – MNEF, favorisme et abus de position dominante au FMI contre Piroska Nagy, cassette Méry, Sofitel, Banon, Carlton –, laisse un « passif » d’au moins 100 millions d’euros. Cet argent volé aux Européens n’a pas été perdu pour tout le monde.
En mal de publicité ces derniers jours, il a publié une « note » sur la situation en Grèce, la même qu’il n’a aucunement aidée lorsqu’il dirigeait la plus importante organisation mondialiste, sinon par des mesures qui ont conduit le pays dans la situation où il se trouve.
L’inefficacité de ses méthodes lors de son passage au gouvernement en France et au FMI, le krach retentissant de sa société personnelle et le vol de 100 millions d’euros, ses affaires de viols, tout cela aurait dû conduire les médiats sollicités par ses réseaux pour donner de l’importance à ce non-événement à adopter une position de silence gêné.
Il n’en a rien été. Cette « note » a été accueillie comme un message libérateur. Dominique Strauss-Kahn, ou le deus ex machina de la crise grecque à l’heure où tout semble s’écrouler dans le berceau de la civilisation européenne. En guise de solution, le démagogue juif veut que « la Grèce ne reçoive plus aucun financement nouveau de la part de l’Union européenne comme du FMI mais qu’elle bénéficie d’une très large extension de la maturité et même d’une réduction nominale massive de sa dette à l’égard des institutions publiques [souligné par nous] ». C’est une certaine version « gagnant-gagnant » : les Grecs sont « libérés » d’une dette qu’on leur a imposée, le gouvernement d’extrême gauche est sauvé, le FMI et l’UE ne financent plus la Grèce et… les institutions publiques, c’est-à-dire le contribuable européen, ne seront pas remboursées. À l’inverse, les groupes de parasites apatrides financiers privés, eux, continueront à racketter les Grecs. Si LSK n’avait pas fait faillite, il aurait sans doute trouvé là l’opportunité d’engranger quelques millions…
Le communiqué du ministre socialiste failli s’achève tout de même par cette phrase :
« Il n’est pas sûr que cela marche »,
qu’une autre peut expliquer :
« Forcer le gouvernement grec à céder créerait un précédent tragique pour la démocratie européenne et pourrait mettre en marche une réaction en chaîne incontrôlable ».
Si la « réaction en chaîne », c’est la fin de leur prétendue démocratie et la punition des responsables de la situation, la réaction de Dominique Strauss-Kahn peut s’expliquer. Comme sa diffusion par les médiats complices.
En attendant, la cessation des négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers a conduit à un vent de panique en Grèce. La sortie de l’euro du pays est de plus en plus évoquée et les Grecs se ruent sur les billets de banque, alors que le gouvernement a annoncé la fermeture de toutes les banques pour une semaine.