Alors que même Barack Obama a été contraint de reconnaître que l’État criminel d’Israël était totalement isolé sur cette question et que sa position relevait de l’acharnement psychiatrique sinon de la folie criminelle, le premier ministre de l’entité sioniste continue à tout faire pour entraîner la région, et peut-être le monde, dans la guerre.
« Toutes les nations du monde qui se sont publiquement exprimées, à l’exception du gouvernement israélien, ont apporté leur soutien »,
a constaté le président américain, alors que le criminel de guerre Benyamin Netanyahu appelé les colons juifs aux États-Unis à agir contre le gouvernement.
« Je ne m’oppose pas à cet accord parce que je veux la guerre. Je m’y oppose parce que je veux éviter une guerre. Or cet accord mènera à la guerre. Le moment est venu de se lever, de s’opposer à cet accord dangereux »
a-t-il déclaré aux nombreuses organisations extrémistes juives installées aux États-Unis qui lui avaient demandé son avis.
Le criminel n’a pas précisé par quels moyens il souhaitait que ses coreligionnaires déstabilisent le gouvernement américain, alors que le Congrès des États-Unis doit prochainement ratifier – ou rejeter – l’accord conclu à Vienne entre l’Iran et les principales puissances mondiales, Allemagne, Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie. Les élus étasuniens doivent se prononcer avant le 17 septembre et le vote s’annonce délicat pour la présidence : l’influence juive demeure très forte dans le pays et les prétendus « néoconservateurs », ces traîtres qui défendent le droit à Israël à réaliser des politiques d’épuration ethnique sur son sol mais imposent l’invasion aux Blancs d’Amérique où ils promeuvent comme leurs homologues de gauche le métissage et le multiculturalisme tout en dénonçant les Européens qui veulent se défendre et garder leur pays libre, sont décidés à utiliser ce vote pour déstabiliser Barack Obama.
« Un rejet de l’accord par le Congrès laisserait toute administration américaine absolument déterminée à empêcher l’Iran de se doter d’une arme nucléaire face à une seule option : une autre guerre au Moyen-Orient. Je ne dis pas cela pour être provocateur. C’est un fait »,
a déclaré Barack Obama alors que justement les néocons sont prêts à envoyer à la mort une fois encore des milliers de jeunes Américains pour les intérêts de l’État criminel.
Les « compensations » accordées par le gouvernement américain à son allié – la libération du criminel Jonathan Pollard et l’autorisation tacite de continuer les exactions en Palestine – n’ont pas suffi à calmer les ardeurs bellicistes du gouvernement israélien.
Hier, même le président israélien, pourtant opposé à l’accord, a dénoncé les agissements et provocations du premier ministre.
« Je suis très inquiet au sujet du front qui s’est ouvert entre Obama et Nétanyahou et au sujet des relations entre les États-Unis et Israël »,
a-t-il dénoncé.