L’occupation américaine en Amérique du nord a donné lieu à de multiples caricatures de « l’Uncle Sam » (US) terrorisant les populations indiennes lors de la conquête, et après la première guerre mondiale illustrant l’importance de la communauté juive dans le lobbying gouvernemental industriel et financier notamment depuis le début du XXe siècle. L’une d’entre elles, particulièrement célèbre, montre dans une « Histoire des Etats Unis » parue au début des années 30, la succession chronologique supposée d’une occupation territoriale de l’Amérique indienne par les Yankees eux-mêmes éliminés, selon le graphiste du temps, par les immigrés juifs…
(L’Indien qui règne sur la plaine contemple le pays du haut d’une falaise sans voir l’Oncle Sam en embuscade qui va l’en précipiter … Mais à son tour l’Oncle Sam, nouveau maître des lieux, ne va pas voir le juif planqué derrière le (même) rocher qui va à son tour le précipiter dans l’abîme avant… de prendre sa place…)
Illustration parfaite de la formule : « Ote toi de là que je m’y mette »
« En 1922, le président de Harvard, A. Lawrence Lowell, avait remarqué une hausse précipitée du nombre de Juifs acceptés dans son prestigieux établissement et il avait proposé que 15 % d’étudiants juifs seulement soient acceptés, grâce à un système de quota. D’autres universités américaines et canadiennes lui avaient emboîté le pas…/…
Harvard avait pris cette initiative, affirme l’organisation SFFA, parce que le président A. Lawrence Lowell et d’autres leaders d’université s’étaient alarmés du nombre croissant d’étudiants juifs qui présentaient leur dossier’ et ils avaient cherché, d’une certaine manière, à limiter le nombre de ces étudiants sans dire franchement qu’ils excluaient directement tous les candidats juifs au-delà d’un certain pourcentage. » (Times of Israël)
C’est apparemment toujours d’actualité aujourd’hui :
La présidente de la prestigieuse université américaine Harvard, Claudine Gay, première universitaire noire être nommée à ce poste, « a été démissionnée » sous la pression des lobbys sionistes, en fait pour non apologie de la politique génocidaire d’Israël à Gaza.
Les accusations rajoutées de « plagiat » (concernant une thèse parue 30 ans plus tôt !!!) ne sont que des prétextes éculés, particulièrement malvenus de la part de gens qui croulent sous les accusations et les procès divers pour plagiats, maquillages et usages de fausses attestations de diplôme…
On se rappellera, en France, entre autres, les scandales associés au rabbin désagrégé Gilles Bernheim (Gilles Bernheim: une agrégation fantôme et un nouveau plagiat, Le Nouvel obs)
Mais J Forum n’a pas pu cacher sa joie d’avoir vu la communauté parvenue à faire virer la première présidente noire de cette prestigieuse université :
« En décembre, Gay, aux côtés des présidentes de l’Université de Pennsylvanie et du Massachusetts Institute of Technology, a été critiquée pour ses réponses lors de cette audience. Elles ont évité de répondre catégoriquement à la question de savoir si un appel au génocide des Juifs violerait les codes de conduite de leurs écoles en matière d’intimidation et de harcèlement. Plus de 70 législateurs américains ont exigé la révocation de leur poste, reprochant leurs réponses et invoquant leur mécontentement à l’égard de leur témoignage. Non seulement Claudine Gay a été confrontée à des critiques liées à son témoignage, mais elle a également été accusée de plagiat. » (J Forum)
On ira même jusqu’à invoquer comme il se doit l’antisémitisme :
C’est ce qui explique (ou qui « justifie » ?) que le remplaçant dit « par intérim » (enfin pour l’instant) soit un membre de la communauté.
C’est que là le vice-président d’Harvard, Alan Garber, se tenait en embuscade :
« Dans une interview de novembre avec le journal étudiant Harvard Crimson, Garber a regretté la déclaration initiale de l’établissement sur l’attaque du 7 octobre par le Hamas, qui n’a pas condamné le groupe terroriste et n’a pas commenté une lettre signée par plus de 30 groupes d’étudiants de Harvard affirmant qu’Israël était « entièrement responsable » de la violence. [Comme d’autres présidents d’universités, Claudine Gay n’avait pas accepté d’accuser le Hamas de « terrorisme »] Le vice président Alan Garber a aussitôt été désigné comme président par intérim ! » (Times of israël)
La stratégie du « Ôte-toi de là que je m’y mette » est donc toujours d’actualité !
Peut être dirigeait il déjà de la coulisse ? Enfin, ce bourrage de crâne « wokiste » ça fait penser un peu à l’arroseur arrosé. Par ailleurs, si les étudiants de Harvard était si intelligents, d’une part ils n’aurait pas tant adhéré à cette idéologie débile (les plus intelligents doivent quand même, je pense faire semblant de croire à toutes ces fadaises) et surtout ils auraient compris que ceux qui dirigent réellement, c’est dangereux de les critiquer ! Finalement Harvard, cela me semble surfait, une université pour fils à papa ayant de l’argent et des relations.