Tous les jours les médias nous abreuvent des exploits de Tsahal, armée israélienne, en train de « pacifier » la bande de Gaza et de découvrir d’innombrables tunnels où se cachaient les terroristes du Hamas.
Depuis 3 mois, ce territoire de la Palestine subit une avalanche de bombes israéliennes de toutes sortes et les victimes se comptent en dizaines de milliers, dans l’indifférence des médias européens. Fort de sa puissance militaire, l’Etat hébreu multiplie ses opérations pour « éradiquer le Hamas » et son réseau de tunnels en réponse aux attaques du 7 octobre.
Surgissent aussi des réseaux sociaux d’étranges images qui ressemblent plutôt à de la « démolition contrôlée » des bâtiments à Gaza, rasant des quartiers entiers, et qui témoignent d’une volonté d’empêcher tout retour des populations palestiniennes sur leur terre…
Devoir de mémoire.
Dès 1948, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 :
« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.
Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.
Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.
Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »
Le 9 mars 1943 les alliés avaient bombardé Tokyo en faisant plus de 100.000 morts.
En juillet 1943, à Hambourg, les avions anglo-américains infligeaient 42.600 victimes.
A Hiroshima et Nagasaki, en août 1945, 214.000 japonais succombaient aux bombes atomiques américaines.
Le 13 février 1945, à Dresde, ce sont 125.000 civils qui décédaient sous les bombardements alliés.
Selon les derniers chiffres, plus de 23.000 palestiniens sont morts sous les bombardements aériens et terrestres des Israéliens. Et selon les déclarations de Benjamin Netanyahu, ce n’est pas demain que ces déluges de feu vont s’arrêter. En effet, les sionistes disposent encore de milliers de bombes en tous genres et de milliers de tonnes d’obus dont le but est d’éliminer tous les combattants du Hamas. Les Israéliens prennent exemple sur les bombardements alliés en Allemagne durant lesquels Berlin avait reçu 67.600 tonnes larguées par l’USAF et la RAF et Cologne 44.900 tonnes pour sa part. A Gaza, on en est loin…
A quand la fin du conflit ?
A ce jour, personne n’envisage la fin des combats et sans mesures de rétorsion ni embargo sur les armes livrées par les Yankees aux Israéliens, les hostilités se poursuivront. En outre, les Houthis étendent le conflit en mer Rouge en attaquant les navires marchands et sur le front sud au Liban, le Hezbollah harcèle Tsahal avec des tirs de missiles. La paix entre les belligérants reste un vœu pieux et la solution de deux Etats pour deux peuples en Palestine, proposée par l’ONU il y a des décennies parait une utopie aujourd’hui.
Evidemment, s’il n’y avait plus de Palestiniens à Gaza, enterrés sous les décombres, cela simplifierait le problème, pour le plus grand bonheur des sionistes, qui pourraient aussi profiter de l’exploitation des gisements de gaz et de pétrole aux large des côtes de Gaza !
Mais peut-on réellement croire qu’en éliminant le dernier des combattants du Hamas, Israël aurait également mis fin à l’idéologie de l’indépendance de la Palestine ? On en doute…
Ne pas donner dans l’humanitaire et la pleurnicherie.
Il n’y a pas et il n’y aura pas de solution à deux états.
9 janvier (Reuters) – L’armée israélienne a annoncé mardi que neuf de ses soldats avaient été tués en une journée dans la bande de Gaza
C’est si peu, hélas !
Moi aussi, je rêve parfois d’une solution à deux états:
La France d’un côté, Israël de l’autre …
Mais qu’en pensent Attal et son père Attali?
Avé!
Encore: #BirouchalayimAtBirobidjan!
#AliyahBirobidjan!
Quant aux Attal+i & co, condamnés qu’ils sont via leurs rituels, écrits, paroles & actions, ils seront bien contents de se (((réfugier))) derrière un grand mur au Birobidjan (même raçine hébraïque que Birouchalayim) lorsque le Jour Viendra!
Ils pourront aussi embarquer « leur » mur Romain, ou Zuk’face de bouc pourra leur fournir des lunettes de vision virtuelle: ce sera mieux pour leurs affaires de « glory Shakina »…
Pensez GRAND: Pensez Birobidjan!
Salut à la Vérité!
Avé!
Monsieur X, veuillez savoir que la « solution à deux états » existe officiellement depuis 1934, grâce à leur fidèle Staline!
Environ 1.65 fois plus grand qu’Israthell, avec ménorah, drapeau talmudiste LGBT, yiddish, théâtre juif, sin à gogues, ressources naturelles en forêt, mines, agricoles, industries de papier, tissus, électronique…
Voisins tranquilles, pas besoin de dispendieux « dôme de fer » ni bombe nucléaire: réputée leur terre (((promise))), aucune personne sensée n’irait les y déranger!
Plus qu’à construire autour un GRAND mur (ces xxxx (cf chabads sortis récemment des égouts de NY), aiment les murs pour eux), y envoyer leurs noachides maçons & golems piqués, même si cela n’atteindra pas leurs rêves écrits de 2800 esclaves par « qui n’a pas le droit de travailler »…
Quant à leur lamentable mur Romain (reste du Fort Antonia où a stationné un moment la Légion après ne « pas avoir laissé pierre sur pierre » du temple à leur maître, conformément à la parole du Christ des décennies plus tôt), car oui: ils se mentent à eux-mêmes, dignes fils du père du mensonge qu’ils sont!
Donc: Palestine aux Palestiniens, Birobidjan aux juifs!
#BirouchalayimAtBirobidjan!
#AliyahBirobidjan!
CQFD?
Salut à la Vérité!
Pour que nous puissions dire un jour « Palestine aux Palestiniens », il faudra qu’il n’y ait plus jamais aucun quatre-lettres nulle part.
Souffrez que tous n’adhèrent pas à votre point de vue habituellement plus avisé et pertinent. Serait-ce les effets de la conversion de votre Belgique à l’islam politique qui vous troubleraient l’esprit? Bonne continuation quand même.
La PAX judaica en action…
Les juifs se plaignent toujours de ce que l’on leur aurait fait subir partout où ils sont passés mais il ne nous disent jamais pourquoi.