AVERTISSEMENT À NOS LECTEURS : ce documentaire sur le « transgenrisme » appliqué aux enfants ou adolescents peut contenir des propos choquants ou erronés sur des sujets divers ou voisins (homosexualité, croyances religieuses, question morales ou éducatives). Nous le soumettons néanmoins à nos lecteurs car il présente le mérite de dénoncer et démonter la « mode », venue d’outre-Atlantique et promue par les apprentis-sorciers qui nous gouvernent, qui consiste à massacrer des enfants, à les faire « transitionner » et opérer dès leur plus jeune âge, sans considération pour la nature humaine et les conséquences irréversibles et tragiques qui la plupart du temps en découlent (santé sexuelle , mentale…).
Dans le monde entier, on constate une énorme augmentation du nombre d’enfants référés aux cliniques de genre – les garçons disent qu’ils veulent être des filles et vice versa. De plus en plus, les parents sont encouragés à adopter une approche de «genre affirmatif» – en soutenant pleinement le changement d’identité de leurs enfants. Mais cette approche est-elle correcte ?
Dans ce documentaire ambitieux, la chaîne primée BBC s’est rendue au Canada, où l’un des plus grands experts mondiaux de la dysphorie sexuelle (la condition où les enfants sont mécontents de leur sexe biologique) a perdu son travail pour avoir défier la nouvelle orthodoxie des enfants selon laquelle les enfants savent mieux que n’importe qui. Dans ce documentaire, le Dr Kenneth Zucker s’adresse pour la première fois à la télévision depuis la fermeture de sa clinique. Selon lui, il est victime de la politisation des problèmes transgenres. Ce film démontre que la plupart des enfants atteints de dysphorie de genre finissent par surmonter les sentiments confus qu’ils éprouvent sans aller jusqu’à la transition et interroge la science derrière l’idée qu’un garçon pourrait naître avec un «cerveau féminin» ou vice versa. Nous y découvrons aussi le témoignage de «Lou» – qui est née fille et a eu une double mastectomie dans le cadre de sa transition vers une identité masculine. Elle dit maintenant que c’est une décision qui la «hante» et que sa dysphorie de genre aurait dû être traitée comme un problème de santé mentale.
Ce documentaire examine les méthodes de Zucker, mais aussi ses critiques et partisans de l’affirmation de genre, y compris les activistes transgenres au Canada et les experts médicaux ainsi que les parents ayant des expériences différentes de dysphorie de genre et de chirurgie de changement de sexe.
Source : « Transgender Kids : Who knows best ? » | BBC
En cas de difficulté de lecture, le documentaire reste visionnable sur Dailymotion
Euh oui, c’est du tordu de chez tordu sorti de cerveaux malades. Rien de tout ça, quand j’étais enfant ( il y a bien longtemps). Dans le pire des cauchemars, Jamais je n’aurais imaginé un tel scénario, et encore moins qu’il se concrétise un jour.