Jose Antonio Primo de Rivera – Socialisation des pertes

« Une des caractéristiques les plus sympathiques et les plus attrayantes de la période héroïque du capitalisme libéral disparait aussi. Il s’agit de l’arrogance de ses débuts lorsqu’il disait : « Je n’ai pas besoin d’aide publique, au contraire, je demande aux pouvoirs publics qu’ils me laissent en paix ». Très rapidement, le capitalisme baissa aussi la tête sur ce terrain. Quand survinrent les époques de crise, il fit appel à l’aide publique, et ainsi nous avons vu comment les institutions les plus fortes ont recouru à la bienveillance de l’État… C’est-à-dire… que le capitalisme, si dédaigneux et si réfractaire à une possible socialisation des profits, est le premier à demander une socialisation des pertes lorsque les choses tournent mal. »

Jose Antonio Primo de Rivera