Le mardi 5 Septembre 1944, entre 17h45 et 19h30, pour des raisons encore inconnues aujourd’hui, l’aviation anglaise détruit le centre du Havre par les bombes, sans causer de tort aux Allemands. 5123 civils sont tués. Le cœur historique de la ville est rasé, les bombardements réduisant en miettes les admirables constructions médiévales en colombages, la cathédrale dont la voûte s’effondre sur les nombreuses personnes qui avaient trouvé refuge à l’intérieur est réduite en cendres. Il est évident que les conditions météorologiques et l’importance des moyens déployés excluent une bavure : 300 bombardiers lourds, 500 Lancasters et des dizaine de milliers de tonnes de bombes explosives et incendiaires ne peuvent pas avoir été envoyés sans raison. Or seule la population a été touchée et la ville détruite. D’autant plus que les précédents bombardements avaient déjà détruit les infrastructures du port.
Le bombardement du Havre est à ajouter à la très longue liste des villes détruites par les « libératueurs » entre 1940 à 1945.
Une bombe sur cinq larguée sur l’Europe pendant la Seconde Guerre mondiale est tombée en France. Le résultat fut impressionnant : 1 570 localités touchées, prés de 80 000 Français tués, des centaines de milliers d’habitations entièrement ou partiellement détruites…
On le voit là : le but des alliés n’étaient pas de « libérer la France », selon la théorie officielle ressassée depuis plus de 75ans, mais bien d’éradiquer le national-socialisme, tous les fascismes et au-delà toute défense et promotion des principes d’indépendance et de souveraineté pour les peuples et les nations qui s’étaient développés en Europe, dans une guerre qui fut essentiellement idéologique.
Les habituels salauds rosbeef qui haïssent et jalousent la France en ont bien profité pour démontrer leur frustation comme à Mers el Kebir, sous des prétextes fallacieux. Ils ont plus démoli la France que les Allemands.
Vous me faites rire à aduler le troisième reich. Il fallait bien qu’il perde la guerre pour que les prisonniers et les STO rentrent en France (le problème était identique aux pays bas ou en Belgique). Ce que voulait HITLER, c’était réduire en esclavage les autre européens et plus particulièrement les russes et les polonais. Ce n’est pas un programme bien séduisant pour quelqu’un qui n’est pas allemand (ou scandinave ou britannique, car A H appréciait ces « races »). Maintenant, c’est vrai que l’on est sous domination américaine, laquelle s’est considérablement renforcée ces dernières années. Que voulez vous, mes compatriotes croient en la propagande des médias et votent massivement pour des traitres ou des vendus. C’est bien malheureux, mais cela ne suffit pas à me faire regretter la défaite du troisième reich.
Cher « Momo »…
Vous raisonnez bien, me semble-t-il, mais peut-être devriez-vous mieux vous documenter…
Si je puis me permettre, relisez Léon Degrelle, qui, bien que Wallon, a été honoré par les dignitaires du Reich.
Relisez Saint Loup, qui vous parlera de l’amitié entre les jeunesses françaises et allemandes toujours vivaces, même à la veille de la guerre.
De plus, de nombreux historiens se sont étonnés des conditions de l’armistice, étonnamment favorables pour la France qui n’aurait pu s’opposer à une invasion totale par les troupes du Reich. Au point que certains ont évoqué une faute du Führer…
Enfin, même vaincue, l’Allemagne a eu plus d’égards pour les français qui avaient combattu à ses côtés et qu’elle a accueillis et tenté de protéger… à comparer avec l’abandon honteux et, pout tout dire, la trahison envers ses amis Vietnamiens ou Algériens que le gouvernement français a abandonnés à l’ennemi, en 1954, puis en 1962…
Quant à l’attitude d’Hitler vis à vis des Slaves… je n’exclue pas que vous ayez en partie raison. Mais relisez les documents d’époque : l’ennemi désigné par la propagande de guerre Nationale Socialiste n’était pas le Slave, mais le « Judéobolchevique » !
Un langage guère différent que celui de Soljenitsyne, dans le second tome de « Deux siècles ensemble »… avez-vous lu ce livre ?
Mon avis est que « les gogolistes » de l’extrême-droite devraient avoir un parti politique rien que pour eux.
En 1991, déjà, on les entendait bruyamment quand il s’agissait d’aller faire la guerre à l’Irak de Saddam Hussein pour servir les intérêts de l’Oncle Sam et surtout de l’Etat d’Israël. Je me souviens fort bien que Roland Gaucher, qui était alors le rédacteur en chef de « National-Hebdo » — le journal quasi-officiel du Front national — m’avait dit qu’ils avaient perdu la moitié de leurs abonnés quand Jean-Marie Le Pen s’était positionné contre la guerre en Irak. Le fait est que l’Irak était alors un important partenaire économique de la France.
Mais les gogolistes avaient alors déclaré unanimement que leur savoir et leur connaissance de la politique étaient bien supérieurs aux réflexions de Jean-Marie Le Pen. Pour eux, il est toujours légitime d’aller « casser du b…oule » à dix mille kilomètres d’ici. Il paraît que ça va faire baisser l’immigration !
En 1940, ils avaient déjà le réflexe du « gros con stupide ». Ils étaient donc très contents et très honorés d’aller se battre contre les Allemands pour sauver la république de Daladier et de Léon Blum, celle-là même qui avait commencé à faire entrer massivement des immigrés du tiers-monde sur notre sol, des Algériens, des Annamites, des jfs et des Arméniens par centaines de mille, après avoir fait exterminer les Français de souche au cours de la Première guerre mondiale.
Après la cuisante défaite de 1940, les gros cons stupides guidés par leur infaillible instinct sont évidemment allés rejoindre le général De Gaulle. Les gogolistes de 40 défileront quatre ans plus tard sur les Champs-Élysées avec leurs potes communistes en nous faisant croire qu’ils avaient gagné la guerre à eux tout seuls.
La république fut ainsi restaurée, et ce fut le début de la fin. Soixante-dix ans plus tard, la population française ressemble à celle du Brésil, avec les Arabes en plus.
Mais le gros con stupide d’extrême-droite est toujours là pour chanter la Marseillaise avec « nos amis jouefs » quand les Israéliens bombardent les Palestiniens ou les Libanais.
On disait avant que la France avait « la droite la plus bête du monde ». Mais notre droite dite « libérale » ou ce qu’il en reste, n’a jamais été qu’un des piliers du système cosmopolite.
Nos gogolistes à nous sont bien meilleurs. Dès qu’il s’agit d’aller faire la guerre pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres, ils se dressent tous comme un seul homme et se mettent au garde-à-vous, prêts à crever comme des paquets de viande (« à mourir au champ d’honneur ») pour sauver les miches de la république.
Peut-être devrions-nous avoir un peu plus d’indulgence pour eux ? Je ne sais. Après tout, leur force bovine pourrait un jour nous êtes utile si nous parvenions un jour à reprendre le pouvoir. Comme dans l’empire romain, on ouvrirait un front militaire permanent aux confins de l’empire pour vider le corps social de sa purulence et contenir nos ennemis, sans quoi ces abrutis seraient capables de fomenter un complot avec des gens beaucoup plus intelligents qu’eux. HR
https://x.com/insoumix2/status/1837454541740011765
pour les anglos américains il fallait tout simplement affaiblir la France via des bombardements ou des sabotages d’ouvrage d’art pour qu’au lendemain de la libération ce pays soit un pays en ruine