2021, 192 pages, 15 €
Avec ce manifeste, l’auteur nous offre un essai de métapolitique en forme de Que faire ? euro-américain qui déconstruit à la perfection tous les sophismes mondialistes. Il convoque à cette fin aussi bien le court terme (les conséquences négatives de l’accroissement de la « diversité », euphémisme pour désigner le remplacement des Blancs par des non-Blancs) que le long terme (menace de génocide lent et « froid » de notre race sous l’effet d’idées et de valeurs se substituant à nos valeurs traditionnelles, puis modifiant lois et institutions). Les causes biologiques du génocide blanc en acte (perte d’habitat, espèces envahissantes, hybridation et prédation) étant désormais bien visibles, il importe à présent d’engager le combat politique pour la survie à partir de la base la plus profonde, la race. En effet, « plus tôt nous nous verrons nous-mêmes comme des Blancs, unis par des ennemis et des défis communs, partageant une origine commune et un destin commun, plus tôt nous serons à la hauteur des tâches qui nous attendent ». Il est permis de dire, sans tomber dans la rhétorique, que la lecture de cet essai s’impose à tous ceux qui ont compris que, si l’on veut sauver toutes les espèces en danger, il faut commencer par sauver la race blanche.
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Pour expliquer les causes profondes du déclin biologique des fondateurs de la révolution industrielle, c’est-à-dire des peuples européens, il faut se donner le moyen de comprendre pourquoi le terme « hommes blancs » a de moins en moins de signification. Non parce qu’ils sont de moins en moins blancs, mais parce qu’ils sont de moins en moins « hommes » !
En cause : la prolifération d’une indifférenciation génétique d’ordre pathologique intervenant au cours de la gestation des foetus et dont ils résulte que nos femmes le sont de moins en moins et nos hommes de même.
Comme bien souvent, ce n’est pas un scoop mais une réalité médico-scientifique publiée depuis plus d’1/2 siècle mais que l’on passe sous silence. En témoigne le best seller vendu à des millions d’exemplaires, traduit dans pratiquement toutes les langues et considéré comme le livre fondateur de l’Ecologie moderne : « Le printemps silencieux » de Rachel Carson. (1968)
Livre qui démontre et dénonce l’action de plus de 200 substances chimiques omniprésentes dans les contrées industrialisées : les polychlorobipényles, agissant sur les foetus durant la gestation.
Ce n’est pas seulement la diminution catastrophique de la spermato génèse qui en résulte, mais aussi une baisse du niveau de testostérone, qui, comme chacun sait conditionne aussi la combativité des males… Combativité dont il est évident qu’elle est pratiquement réduite à néant par rapport à ce qu’elle était encore dans les années 1950 à 1970 !