Venues des quatre coins de France, animées du même idéal, les Caryatides se sont réunies au milieu du mois de juin, pour un temps fort de cohésion, qualité essentielle au maintien de l’amitié et de l’unité pour être toujours plus fort !
Un vendredi soir, la dernière journée de travail terminée, nous nous retrouvons dans un cadre exceptionnel et ressourçant, dans le Puy-de-Dôme. Nous sommes sous le charme de cette belle région de notre France !
C’est autour d’un bon repas que débute notre fin de semaine ; les premières joies des retrouvailles passées, chacune ayant pris des nouvelles des unes et des autres, nous ne tardons pas à entamer les sujets de discussion plus politiques qui nous intéressent, autour d’Hélène, notre responsable, qui nous apportera tout au long de ces jours, son expérience de militantisme, de femme Française et nationaliste.
Après une bonne nuit de sommeil (malgré quelques péripéties pour l’installation du couchage qui resteront mémorables), sous un doux soleil, nous nous réunissons au cœur du hameau, dans la belle église dont le sol a sûrement été foulé, et les bancs usés par plusieurs générations de pieux Français : un moment de recueillement, de prière commune, confiant ces journées sous le regard maternel de la Vierge Marie.
Nous nous mettons au travail : un topo, présenté par une militante chevronnée, nous expose les différents courants de pensée de la droite, nous définissant les caractéristiques des différentes mouvances. Très intéressant, instructif, cela nous a permis de bien connaître toutes les raisons du combat nationaliste, l’esprit et les sentiments qui l’anime.
Après un temps d’échange autour de ce thème, Hélène nous parle de la femme, du nationalisme et de la femme nationaliste, comment en tant que femme nous pouvons et devons défendre toutes les valeurs du nationalisme, de la France, de la terre…, par notre mission première de femme : la transmission de la Vie.
Le déjeuner est aussi l’occasion de nombreux échanges sur les raisons de l’engagement de chacune, puis d’une discussion passionnée et passionnante sur de grands hommes politiques du XX° siècle !
Chaussures aux pieds, sac au dos et bâton en main, nous partons à la découverte des magnifiques paysages alentour ; sur une dizaine de kilomètres, avec un bon petit dénivelé, c’est l’occasion de se dépasser un peu. L’une d’entre nous nous a impressionnées par sa détermination et son sourire, malgré la marche plus que difficile pour elle, à cause d’une jambe bien malade ! Cette randonnée était un moment fort de cohésion, ensemble on ne va pas forcément plus vite, mais on va plus loin et on arrive toutes au bout.
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Jehanne de Brey
Salut respectueux à ces filles de notre France.
Salut respectueux à l’image de la Femme dans toute sa majesté.
C’est Alexis Carrel qui l’a écrit : » La vie n’a pas d’autre but que la vie elle-même »
Ce qui nous rappelle que la continuité de la vie,
– A l’échelle de l’univers…
– A l’échelle des peuples…
– A l’échelle des familles…
Implique qu’en dépit d’une propagande unisexe mortifère, des femmes aient l’intelligence et le courage de s’inscrire dans la continuité de ce qui a, au fil des millénaires, exprimé la seule véritable féminité : la transmission de la vie.
En remontant plus haut dans l’histoire, c’est Platon qui a enseigné que « La perversion de la Cité commence par la perversion du langage ».
C’est l’une des raisons pour lesquelles, loin de nous y opposer, nous devons contester à celles qui le dénaturent l’appropriation du terme FEMINISME et nous le réapproprier.
Pousser les femmes à vivre comme des hommes est – que cela plaise ou non ! – exactement l’inverse de féminisme. Le néologisme « masculinisme » étant le seul approprié !
Et, quant à comprendre comment ceux qui organisent la défaite démographique de nos peuples sont arrivés à pervertir nos femmes en quelques décennies, permettez-moi de conseiller l’étude sociologique remarquable que vient de publier Patrick Buisson sous le titre « Déca Danse ». Je crois pouvoir affirmer qu’il n’y a pas de diagnostic plus réaliste que celui-là…