Un loubavitch extrémiste
Le rabbin Nachum Shifren est un extrémiste juif, membre de l’une des communautés les plus violentes, activistes et extrémistes du judaïsme : les loubavitch. C’est cette communauté qui prétend imposer le judaïsme au monde, notamment ces dernières années par l’élévation de ménorahs géantes au cœur de toutes les villes du monde, des grandes capitales ou métropoles comme Washington, Budapest, Moscou, Berlin ou Nice, et jusqu’à Béziers et même certains villages les plus reculés d’Italie.
Le mouvement loubavitch auquel se rattache Nachum Shifren est largement soutenu par les autorités à travers le monde bien que prônant des valeurs à l’opposé de celles que le même système impose aux peuples. Ainsi, les loubavitch voient la femme comme inférieure ; raciste et politisé, ce mouvement religieux milite pour l’expulsion de tous les non-juifs d’Israël, catholiques compris. C’est essentiellement cette communauté qui a multiplié, avec la complicité du pouvoir, les atteintes à la laïcité ces dernières années en France, ouvrant la voie aux islamistes. Ainsi des loubavtichs ont non seulement obtenus des heures spécifiques dans des piscines municipales, mais, à l’intérieur de ces horaires, les réservaient uniquement soit à des hommes soit à des femmes, interdisant tout contact entre les genres. Les extrémistes juifs ont également obtenu dans plusieurs villes de France le droit d’enjuiver les rues par des « erouv », distinguant les quartiers juifs « purs » et respectueux de leur faux Dieu, du reste de la population.
Nachum Shifren infiltré au cœur de l’extrême droite
Né en 1951, Nachum Shifren a « découvert » le judaïsme auprès d’un rabbin qui, comme lui à l’époque, affectionnait le surf – un film serait d’ailleurs en préparation sur le « rabbin surfeur ». Son mentor utilisait les plages publiques du monde pour y donner des sermons et y diffuser la propagande sioniste.
Après sa reconversion, Nachum Shifren s’engagea donc dans l’une des plus sectaires des communautés juives, jusqu’à partir en Israël lors de la guerre d’Octobre en 1973 pour travailler dans un « kibboutz » avant d’émigrer dans l’État criminel en 1977. Il passa plusieurs mois au sein de l’armée israélienne.
Ordonné rabbin, il travailla ensuite pour Meir Kahane, fondateur du groupe terroriste Ligue de défense juive (JDL, Jewish Defense League, LDJ pour son antenne française), puis de Kach et Kahane Chai, un parti figurant sur la liste des groupes terroristes d’Israël, mais aussi du Canada, des États-Unis, ainsi que de l’Union européenne (UE). En 2010, la direction de l’UE, sous la pression de ses maîtres, le retira de la liste.
Comme plusieurs de ses coreligionnaires, il a tenté d’infiltrer la droite radicale en Europe. De nombreux partis électoralistes (Front national (FN), Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ, Freiheitliche Partei Österreichs), Intérêt flamand (VB, Vlaams Belang)), ainsi que des groupes et groupuscules prétendument « radicaux », en France et à l’étranger, se laissèrent, passagèrement ou définitivement, corrompre.
L’EDL
L’une des plus belles réussites de Nachum Shifren fut la main-mise sur la Ligue de défense anglaise (EDL, English Defence League). Ce groupuscule fut fondé en 2009 par Tommy Robinson et Kevin Carroll, sur des bases libérales totalement contraires au nationalisme (défense de l’immigration non musulmane, promotion de la pédérastie, absence de critique du libéralisme, du matérialisme, etc.). Loin de viser l’invasion du pays, le groupe se spécialisa dans la seule dénonciation de « l’islamisme radical » (sic).
Bénéficiant d’une complaisance médiatique évidente, le mouvement se développa rapidement, bien que ne réunissant généralement qu’entre quelques dizaines et quelques centaines de participants. Grâce à l’instrumentalisation de groupes de hooligans, de « nationalistes » et l’invitation de délégations étrangères, il put réunir jusqu’à 2 500 personnes en 2011 à Luton. « Représentant » la France, vinrent le groupe sioniste Bloc identitaire (BI) ainsi que l’une de ses scissions, Jeune Bretagne, dont les porte-parole furent Yann Vallerie et Mickaël Prima.
Comme tous les groupuscules de ce genre, l’EDL, moins de cinq ans après sa formation, est déjà mort. Ses deux fondateurs l’ont abandonné lâchement en 2013, prétendant être effrayés par l’extrême droite et avoir appris à connaître l’islam. L’EDL n’a plus organisé de manifestations depuis plusieurs mois, même s’il tente actuellement d’utiliser les incidents de janvier en France pour relancer le mouvement, organisation deux marches en février et en mars à Dudley et Manchester. En attendant, le groupuscule se contente essentiellement de diffuser sur les réseaux sociaux la propagande pro-israélienne islamophobe, et de faire croire à l’existence de division « pakistanaise chrétienne », « sikhe », juive ou LGBT au sein de l’EDL.
En octobre 2010, prenant la parole lors d’un rassemblement de l’EDL, durant lequel les drapeaux de l’État criminel d’Israël voisinaient avec ceux des revendications des homosexualistes, Nachum Shifren rappelait que le vrai racisme n’était pas celui des Européens, mais se trouvait dans les synagogues !
http://pensetouseul.unblog.fr/2013/02/07/le-blason-de-la-ville-de-paris-est-une-menorah/
Ce phénoméne est mondial … Menorah partout !