Raisons de notre engagement :
Nos militants parisiens se sont rendus sur le parvis de l’église de saint-Nicolas du Chardonnet pour une action militante avec tractage, le but était de montrer notre présence en réaffirmant les volontés du maréchal Pétain chères aux nationalistes, et plus particulièrement sa dernière volonté qui est que sa dépouille soit transférée à Douaumont et non à l’île d’Yeu ; qu’il puisse enfin reposer parmi ses poilus de 1914-1918.
Quel symbole pour nous nationaliste que de contribuer à l’aboutissement de cette dernière volonté émanant d’un chef d’État comme le Maréchal !
L’action militante :
Elle ne se limitait pas un simple tractage robotique, l’action se faisait en tentant le dialogue avec la population, tout en cherchant aussi à leur faire signer la pétition mise en place parl’Admp.
Pourquoi ce terrain ? :
Le fait de choisir un terrain relativement favorable était fait exprès, c’est ce qui nous a permis de recueillir une centaine de signatures ainsi que de distribuer plus de deux cents prospectus.
Une autre raison explique ce choix, c’est du fait qu’il y a un nouvel abbé de paroisse dépolitisé en cette église, car l’abbé Beauvais qui nous était très favorable a été remplacé par l’abbé de la Rocque ; c’était d’une certaine façon fait pour déroger, et par la même déranger…
Récapitulatif de l’activité :
La mobilisation s’est faite sur deux dimanche d’affilé.
La première journée qui s’est déroulée en compagnie de « l’arrière arrière-petite-nièce du maréchal Pétain », a été quelque peu interrompue par un contrôle effectué par les policiers mandatés par la préfecture de l’arrondissement concerné ; ce qui nous a limitait au tractage uniquement, sous la surveillance de deux agents en civil…
Nous sommes alors revenus une seconde fois, pour refaire et bien finaliser cette action. Après un discours militant, pour conclure dans la joie et la bonne humeur, nos militants ont chanté « Maréchal nous voilà ! », en entier. Certains passants nous ont regardés, d’autres ont chanté avec nous ; et il faut croire qu’une autre personne a fait l’objet d’un malaise, puisque tout juste à la fin de ce chant nationaliste, une ambulance est arrivée juste en face de nous !
Une guerre de principe :
La France doit rejeter la République de 1789 issue des loges et de la synagogue, afin de rester fidèle à son histoire et à ses promesses issues du baptême de Clovis. Et ce n’est qu’avec une Seconde révolution nationale que nous la rénoverons !
Lorsque le maréchal est devenu chef de l’État, « Divine surprise ! » proclama un maître du nationalisme français, Charles Maurras. C’est bien cela que nous entendons faire renaître.
Le maréchal qui sauva la France par deux fois, en tant que vainqueur de Verdun et en tant que chef de l’État français, fût arrêté à ladite Libération de 1944-1945 pour finalement être fait prisonnier à l’île d’Yeu, lieu où il sera par ailleurs enterré malgré sa dernière volonté…