Les députés ont adopté hier soir tard l’article 9 du projet de loi de modernisation (sic) du système de santé français à la dérive. Cet article permet la mise en place de salles de shoot à titre expérimental durant six ans. Une « expérimentation » qui durera donc plus qu’un quinquennat présidentiel censé pouvoir changer le destin d’un peuple.
La fausse droite et la vraie gauche ont fait semblant de s’affronter pendant plusieurs heures sur le sujet, alors que tous partagent le même point de vue global sur la question et qu’aucun de ces partis, quand il a été au pouvoir ces 40 dernières années, n’a pris de mesures radicales et globales pour s’opposer à la diffusion des drogues malgré les innombrables études scientifiques montrant la dangerosité de la drogue. Aucune remise en cause des politiques libérales laxistes mises en place vis-à-vis des asociaux drogués n’a été opérée. Les députés ont fait comme si rien n’avait été tenté dans ce domaine et une fois encore, comme s’il pouvait être résolu sans que ne soient résolus les problèmes fondamentaux qui minent la société française.
L’expérimentation de salles de shoot – officiellement salles de consommation à moindre risque (SCMR) – pourra être faite à travers la France. Le contribuable payera donc pour l’installation de centres (trois sont déjà évoqués) destinés à permettre que des violations de la loi soient réalisées. Ils concentreront des populations marginales jusque-là présentes de manières diffuses dans la société sous le patronage direct du gouvernement. Outre la possibilité de s’y droguer, les asociaux y trouveront diverses autres ressources.
Ces maisons des drogues seront gérées par un CARRUD (centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques chez les usagers de drogue) et coûteront plusieurs millions d’euros par an au contribuable : l’estimation lancée par les députés – 800 000 par an – semble totalement irréaliste au vu des moyens financiers – la simple construction de ces centres coûtera très chers – et humains (médecins, qui conseilleront les drogués, psychologues, médiateurs sociaux, matériels pour se droguer, etc.).
Ces maisons bénéficieront d’une sorte de statut d’extraterritorialité : les policiers ne pourront pas y arrêter les gens qui y prendront de la cocaïne : les députés ont pris soin de le préciser.
Comme nous le rappelions en août dernier, avec l’extrême gauche, aucune attaque n’est jamais gratuite. Comme le PACS fut le prélude aux parodies de mariages entre paires d’invertis, à l’adoption, et demain à pire, ces salles de shoot ont pour objectif de laisser croire qu’il est normal sinon respectable de se droguer, en attendant la légalisation dont rêvent de nombreux députés, incapables eux-mêmes de se passer de leurs petites doses quotidiennes.
Une fois encore, ils passent outre les avis des experts qu’ils n’écoutent que quand les conclusions scientifiques vont dans leur sens : ces « salles de shoot » ont déjà été dénoncées par l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), une institution dépendant de l’ONU, comme par l’Académie nationale de médecine.
Marisol ‘MST’ Touraine a ainsi pu introduire dans la loi Santé un amendement favorable à la… consommation de la drogue. L’ensemble de ce texte doit être confirmé par un vote le 14 avril prochain.
Dans leur logique,il est normal des créer ces salles de dépravation.
Il est beaucoup plus facile de diriger un troupeau drogué et alcoolisé,et si en plus on lui supprime les moyens de se former un esprit critique,grâce à l’instruction nationale,cela devient un jeu d’enfant de le mener…à sa perte,puis à sa disparition.(avortement,métissage,célibat…).
Sans qu’il s’en rende compte,il s’éteint puis disparaît.On lui donne des jeux,du divertissement,de l’occupation pour ne pas penser et réfléchir.
Mais comme l’on dit,après moi le déluge!
L’égo a gagné en 1945,il ne faut pas l’oublier,face au sentiment de communauté,de clan et de famille et de TRAVAIL.
Nous voilà arrivé dans le meilleur des mondes d’Aldous Huxley!